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Auteur Yves Lichtenberger |
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Titre : Une stratégie internationale pour l'enseignement supérieur français Type de document : document électronique Auteurs : Martin Andler ; Daniel Bloch ; Christian Duhamel ; Antoine Élie ; Yves Lichtenberger ; Fabien Mahatsiangy ; Jean-François Mela ; Guillaume Miquelard-Garnier ; Marc-Olivier Padis ; Catherine Paradeise ; François Picques Editeur : Paris : Terra Nova Année de publication : 2019 Collection : Note Importance : 44 p Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ; MOBILITE GEOGRAPHIQUE ; FRANCE ; UNIVERSITE ; ETUDIANT ; ECONOMIE MONDIALE ; FINANCEMENT DE L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ; POLITIQUE DE L'EDUCATIONRésumé : Les étudiants sont de plus en plus mobiles à l'échelle internationale. Comment attirer en France ceux qui sont le plus à même de bénéficier de nos formations, qui pourront le mieux contribuer au développement des connaissances et à l’économie de notre pays ou de leur pays d’origine ? Pour que notre politique d'accueil porte ses fruits, elle doit viser avant tout une démarche de qualité. Ce qui passe nécessairement par une amélioration des conditions d'accueil des étudiants étrangers. Terra Nova développe ici une série de propositions pour y voir plus clair dans notre stratégie internationale d'enseignement supérieur. Document Céreq : Non En ligne : http://tnova.fr/notes/une-strategie-internationale-pour-l-enseignement-superieur [...] Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=67258 Une stratégie internationale pour l'enseignement supérieur français [document électronique] / Martin Andler ; Daniel Bloch ; Christian Duhamel ; Antoine Élie ; Yves Lichtenberger ; Fabien Mahatsiangy ; Jean-François Mela ; Guillaume Miquelard-Garnier ; Marc-Olivier Padis ; Catherine Paradeise ; François Picques . - Paris : Terra Nova, 2019 . - 44 p. - (Note) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Thésaurus CEREQ
ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ; MOBILITE GEOGRAPHIQUE ; FRANCE ; UNIVERSITE ; ETUDIANT ; ECONOMIE MONDIALE ; FINANCEMENT DE L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ; POLITIQUE DE L'EDUCATIONRésumé : Les étudiants sont de plus en plus mobiles à l'échelle internationale. Comment attirer en France ceux qui sont le plus à même de bénéficier de nos formations, qui pourront le mieux contribuer au développement des connaissances et à l’économie de notre pays ou de leur pays d’origine ? Pour que notre politique d'accueil porte ses fruits, elle doit viser avant tout une démarche de qualité. Ce qui passe nécessairement par une amélioration des conditions d'accueil des étudiants étrangers. Terra Nova développe ici une série de propositions pour y voir plus clair dans notre stratégie internationale d'enseignement supérieur. Document Céreq : Non En ligne : http://tnova.fr/notes/une-strategie-internationale-pour-l-enseignement-superieur [...] Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=67258 Documents numériques
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Terra-Nova_2019_Note-Strategie-internationale_Ens-Sup_210219.pdfAdobe Acrobat PDF
Titre : Etudes supérieures : rythmes subis, rythmes choisis Type de document : document électronique Auteurs : Martin Andler ; Laurent Daudet ; Gilles Halbout ; Jean-Pierre Korolitski ; Yves Lichtenberger ; Catherine Paradeise Editeur : Paris : Terra Nova Année de publication : 2017 Importance : 30 p Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ; ETUDIANT ; RYTHME SCOLAIRE ; CHEMINEMENT UNIVERSITAIRE ; TRAVAIL ETUDIANT ; UNIVERSITE ; FRANCE ; FORMATION TOUT AU LONG DE LA VIERésumé : Le parcours de nos étudiants dans l'enseignement supérieur est censé se dérouler de manière homogène, linéaire et concentrée. L'organisation de l'université est prévue pour un profil type d'étudiant à plein temps dont les apprentissages avancent rapidement en suivant un calendrier très resserré entre 18 et 23 ans. Or, ce profil ne représente plus, loin s'en faut, la norme hégémonique. En effet, un nombre croissant d'étudiants se trouvent en décalage avec les rythmes théoriques de l'institution. Celle-ci ne tient pas compte du fait que, pour presque la moitié d'entre eux, ils travaillent en même temps qu'ils mènent leurs études. Elle les prive en outre de la possibilité de mûrir leur choix d'orientation, de varier leurs parcours, de bifurquer si leurs choix ne sont pas assez assurés. Les universités ne sont pas organisées de manière à faire face à cette réalité. Résultat : peu d'étudiants mènent leur cursus dans les temps théoriquement prévus pour cela. Seuls 27% des étudiants qui achèvent leur licence l'ont fait dans les trois ans prévus par les maquettes. Ce n'est pas seulement une question de « niveau » ou de « réussite » mais aussi d'organisation des temps universitaires. C'est pourquoi, nous proposons ici de reprendre la question des rythmes universitaires à toutes les échelles de temps : la journée, la semaine, le semestre, le cycle et la vie entière (formation tout au long de la vie). Sans grande réforme législative chamboulant l'ensemble de notre système d'enseignement supérieur, il est possible d'introduire plus de souplesse dans l'organisation des cours et des examens, par la modularisation effective des unités d'enseignement et un système de validation des cycles d'étude repensé. Mais ceci ne pourra se faire que si les universités mettent en place de véritables contrats pédagogiques avec chaque étudiant et, d'autre part, si elles trouvent leur place dans les dispositifs de formation tout au long de la vie.(Terra Nova) Document Céreq : Non En ligne : http://tnova.fr/rapports/etudes-superieures-rythmes-subis-rythmes-choisis Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=60939 Etudes supérieures : rythmes subis, rythmes choisis [document électronique] / Martin Andler ; Laurent Daudet ; Gilles Halbout ; Jean-Pierre Korolitski ; Yves Lichtenberger ; Catherine Paradeise . - Paris : Terra Nova, 2017 . - 30 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : Thésaurus CEREQ
ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ; ETUDIANT ; RYTHME SCOLAIRE ; CHEMINEMENT UNIVERSITAIRE ; TRAVAIL ETUDIANT ; UNIVERSITE ; FRANCE ; FORMATION TOUT AU LONG DE LA VIERésumé : Le parcours de nos étudiants dans l'enseignement supérieur est censé se dérouler de manière homogène, linéaire et concentrée. L'organisation de l'université est prévue pour un profil type d'étudiant à plein temps dont les apprentissages avancent rapidement en suivant un calendrier très resserré entre 18 et 23 ans. Or, ce profil ne représente plus, loin s'en faut, la norme hégémonique. En effet, un nombre croissant d'étudiants se trouvent en décalage avec les rythmes théoriques de l'institution. Celle-ci ne tient pas compte du fait que, pour presque la moitié d'entre eux, ils travaillent en même temps qu'ils mènent leurs études. Elle les prive en outre de la possibilité de mûrir leur choix d'orientation, de varier leurs parcours, de bifurquer si leurs choix ne sont pas assez assurés. Les universités ne sont pas organisées de manière à faire face à cette réalité. Résultat : peu d'étudiants mènent leur cursus dans les temps théoriquement prévus pour cela. Seuls 27% des étudiants qui achèvent leur licence l'ont fait dans les trois ans prévus par les maquettes. Ce n'est pas seulement une question de « niveau » ou de « réussite » mais aussi d'organisation des temps universitaires. C'est pourquoi, nous proposons ici de reprendre la question des rythmes universitaires à toutes les échelles de temps : la journée, la semaine, le semestre, le cycle et la vie entière (formation tout au long de la vie). Sans grande réforme législative chamboulant l'ensemble de notre système d'enseignement supérieur, il est possible d'introduire plus de souplesse dans l'organisation des cours et des examens, par la modularisation effective des unités d'enseignement et un système de validation des cycles d'étude repensé. Mais ceci ne pourra se faire que si les universités mettent en place de véritables contrats pédagogiques avec chaque étudiant et, d'autre part, si elles trouvent leur place dans les dispositifs de formation tout au long de la vie.(Terra Nova) Document Céreq : Non En ligne : http://tnova.fr/rapports/etudes-superieures-rythmes-subis-rythmes-choisis Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=60939 Documents numériques
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Terra-Nova_Rapport_Rythmes-universitaires_14092017.pdfAdobe Acrobat PDFEntre travail et formation : la valeur de l'expérience / Yves Lichtenberger in Droit social, n° 12 + supplément (décembre 2016)
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[article]
Titre : Entre travail et formation : la valeur de l'expérience : Approche sociologique Type de document : texte imprimé Auteurs : Yves Lichtenberger Année de publication : 2016 Article en page(s) : pp. 974-980 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
FORMATION PROFESSIONNELLE ; FORMATION TOUT AU LONG DE LA VIE ; SAVOIR ; SAVOIR PROFESSIONNEL ; SAVOIR FAIRE ; EXPERIENCE PROFESSIONNELLE ; FORMATION EN ALTERNANCE ; INVESTISSEMENT EN FORMATION ; FRANCERésumé : En matière de formation professionnelle, tant initiale que continue peut-être sommes-nous – enfin – à un tournant. La loi du 5 mars 2014 confortée par celle du 8 août 2016, venant après celle sur l'éducation du 8 juillet 2013 et celle sur l'enseignement supérieur du 22 juillet 2013, redessinent en profondeur le paysage. Ainsi se trouvent valorisés à tous les niveaux l'apprentissage en formation initiale et la formation continue tout au long de la vie, en même temps qu'émerge un nouvel usage de la formation liant développement des individus, des emplois et des entreprises. Les opportunités ouvertes par une telle refonte seront-elles saisies, et surtout saisies de façon conjointe et coopérative par les acteurs concernés, pour permettre une réelle synergie entre leurs politiques et leurs actions ? Leur réussite est conditionnée à de profondes transformations dans le contenu et la nature même des formations, des liens entre formation formelle et informelle, entre formation et activité apprenante, entre acquisition de connaissances et d'expérience, à rebours des habitudes et des modes d'évaluation établis. Ce sont ces liens que le présent article cherche à mieux situer, leur nature et leurs possibilités de réalisation avec l'espoir de permettre ainsi aux acteurs de mieux y prendre leur part. Leur tâche est rude tant ils ont été façonnés par une conception industrielle du travail qui structure les relations sociales comme professionnelles. Il faut donc prendre le recul nécessaire pour en voir les particularités, s'ouvrir de nouvelles manières d'agir et de coopérer, et finalement construire de nouvelles formes de performance soutenable dans une société d'innovation. (Source : revue) Document Céreq : Non En ligne : http://dallozknd-pvgpsla6.dalloz-revues.fr/fr/pvPage2.asp?nu=201612&skin=dlz_knd [...] Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=59217
in Droit social > n° 12 + supplément (décembre 2016) . - pp. 974-980[article] Entre travail et formation : la valeur de l'expérience : Approche sociologique [texte imprimé] / Yves Lichtenberger . - 2016 . - pp. 974-980.
Langues : Français (fre)
in Droit social > n° 12 + supplément (décembre 2016) . - pp. 974-980
Catégories : Thésaurus CEREQ
FORMATION PROFESSIONNELLE ; FORMATION TOUT AU LONG DE LA VIE ; SAVOIR ; SAVOIR PROFESSIONNEL ; SAVOIR FAIRE ; EXPERIENCE PROFESSIONNELLE ; FORMATION EN ALTERNANCE ; INVESTISSEMENT EN FORMATION ; FRANCERésumé : En matière de formation professionnelle, tant initiale que continue peut-être sommes-nous – enfin – à un tournant. La loi du 5 mars 2014 confortée par celle du 8 août 2016, venant après celle sur l'éducation du 8 juillet 2013 et celle sur l'enseignement supérieur du 22 juillet 2013, redessinent en profondeur le paysage. Ainsi se trouvent valorisés à tous les niveaux l'apprentissage en formation initiale et la formation continue tout au long de la vie, en même temps qu'émerge un nouvel usage de la formation liant développement des individus, des emplois et des entreprises. Les opportunités ouvertes par une telle refonte seront-elles saisies, et surtout saisies de façon conjointe et coopérative par les acteurs concernés, pour permettre une réelle synergie entre leurs politiques et leurs actions ? Leur réussite est conditionnée à de profondes transformations dans le contenu et la nature même des formations, des liens entre formation formelle et informelle, entre formation et activité apprenante, entre acquisition de connaissances et d'expérience, à rebours des habitudes et des modes d'évaluation établis. Ce sont ces liens que le présent article cherche à mieux situer, leur nature et leurs possibilités de réalisation avec l'espoir de permettre ainsi aux acteurs de mieux y prendre leur part. Leur tâche est rude tant ils ont été façonnés par une conception industrielle du travail qui structure les relations sociales comme professionnelles. Il faut donc prendre le recul nécessaire pour en voir les particularités, s'ouvrir de nouvelles manières d'agir et de coopérer, et finalement construire de nouvelles formes de performance soutenable dans une société d'innovation. (Source : revue) Document Céreq : Non En ligne : http://dallozknd-pvgpsla6.dalloz-revues.fr/fr/pvPage2.asp?nu=201612&skin=dlz_knd [...] Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=59217 Quelle valeur accorder à la licence, pour quels étudiants ? / Yves Lichtenberger in Administration et éducation, n° 133 (mars 2012)
[article]
Titre : Quelle valeur accorder à la licence, pour quels étudiants ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Yves Lichtenberger ; Jean-Pierre Korolitski Année de publication : 2012 Article en page(s) : pp. 105-110 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
INEGALITES ; DIPLOME ; NIVEAU DE FORMATION ; ORIENTATION SCOLAIRE-PROFESSIONNELLE ; RELATION FORMATION-EMPLOIRésumé : De ces deux élèves de classe terminale qui viennent d’avoir leur bac, l’un très bon, l’autre juste suffisant, lequel sera à l’université à la fin de l’année ? Ne vous précipitez pas à donner la réponse. En fait aucun des deux : le premier, comme vous le saviez, sera assuré dès mai de sa place en « prépa », le second visitera l’université en juillet (« j’ai eu le bac, j’y croyais pas, à quoi j’ai droit ? »), il s’y inscrira, il y goûtera en septembre un air de liberté, il essayera en octobre de cacher ses difficultés à ses enseignants tout autant qu’à ses nouveaux amis qui bientôt ne le reconnaîtront plus comme un des leurs, il disparaîtra en novembre. Aucun des deux n’a été préparé à intégrer l’université, l’un parce que le lycée l’a gardé dans une voie scolaire, l’autre parce que le lycée s’en est désintéressé. Ils y (re)viendront peut-être plus tard par goût de la science, par désir de progresser, et se demanderont alors pourquoi, par ignorance ou impréparation, ils étaient passés à côté. (source : AFAE) Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=48357
in Administration et éducation > n° 133 (mars 2012) . - pp. 105-110[article] Quelle valeur accorder à la licence, pour quels étudiants ? [texte imprimé] / Yves Lichtenberger ; Jean-Pierre Korolitski . - 2012 . - pp. 105-110.
Langues : Français (fre)
in Administration et éducation > n° 133 (mars 2012) . - pp. 105-110
Catégories : Thésaurus CEREQ
INEGALITES ; DIPLOME ; NIVEAU DE FORMATION ; ORIENTATION SCOLAIRE-PROFESSIONNELLE ; RELATION FORMATION-EMPLOIRésumé : De ces deux élèves de classe terminale qui viennent d’avoir leur bac, l’un très bon, l’autre juste suffisant, lequel sera à l’université à la fin de l’année ? Ne vous précipitez pas à donner la réponse. En fait aucun des deux : le premier, comme vous le saviez, sera assuré dès mai de sa place en « prépa », le second visitera l’université en juillet (« j’ai eu le bac, j’y croyais pas, à quoi j’ai droit ? »), il s’y inscrira, il y goûtera en septembre un air de liberté, il essayera en octobre de cacher ses difficultés à ses enseignants tout autant qu’à ses nouveaux amis qui bientôt ne le reconnaîtront plus comme un des leurs, il disparaîtra en novembre. Aucun des deux n’a été préparé à intégrer l’université, l’un parce que le lycée l’a gardé dans une voie scolaire, l’autre parce que le lycée s’en est désintéressé. Ils y (re)viendront peut-être plus tard par goût de la science, par désir de progresser, et se demanderont alors pourquoi, par ignorance ou impréparation, ils étaient passés à côté. (source : AFAE) Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=48357
[article]
Titre : Sens et valeurs du travail Type de document : texte imprimé Auteurs : Yves Lichtenberger Année de publication : 2011 Article en page(s) : pp. 89-100 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
TRAVAIL ; DEFINITION ; REPRESENTATION DU TRAVAILRésumé : À l’heure où le travail est souvent vu comme épuisant et destructeur, comment peut-on lui redonner un sens, une valeur ? Il faut d’abord prendre acte de ce que la période actuelle ne marque pas la fin d’un monde, mais est une transition, d’un système hiérarchisé entre ceux qui donnent les ordres et ceux qui les exécutent à une relation plus mouvante qui doit se construire dans la coopération, qui n’est pas un évitement du conflit. En ligne : http://www.esprit.presse.fr/archive/review/article.php?code=36241&folder=3 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=47414
in Esprit > n° 378 (octobre 2011) . - pp. 89-100[article] Sens et valeurs du travail [texte imprimé] / Yves Lichtenberger . - 2011 . - pp. 89-100.
Langues : Français (fre)
in Esprit > n° 378 (octobre 2011) . - pp. 89-100
Catégories : Thésaurus CEREQ
TRAVAIL ; DEFINITION ; REPRESENTATION DU TRAVAILRésumé : À l’heure où le travail est souvent vu comme épuisant et destructeur, comment peut-on lui redonner un sens, une valeur ? Il faut d’abord prendre acte de ce que la période actuelle ne marque pas la fin d’un monde, mais est une transition, d’un système hiérarchisé entre ceux qui donnent les ordres et ceux qui les exécutent à une relation plus mouvante qui doit se construire dans la coopération, qui n’est pas un évitement du conflit. En ligne : http://www.esprit.presse.fr/archive/review/article.php?code=36241&folder=3 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=47414 Faire réussir nos étudiants, faire progresser la France : Propositions pour un sursaut vers la société de la connaissance / Yves Lichtenberger (2011)
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PermalinkPerspectives et blocages de l'université : entretien avec Yves Lichtenberger. / Yves Lichtenberger in Esprit, n° 354 (mai 2009)
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PermalinkPermalinkLa validation des acquis de l'expérience. Dossier. / Dominique Lataste in Cahiers pédagogiques, n° 457 (novembre 2007)
PermalinkLa validation des acquis de l'expérience entre dans les moeurs. Numéro spécial. / Marie-Christine Combes in Revue de l'IRES, n° 55 (2007/3)
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PermalinkUniversités et grandes écoles. Dossier. / Claude Thelot in Problèmes politiques et sociaux, n° 936 (mai 2007)
PermalinkPermalinkPermalinkEvaluation de la formation : les pratiques des Conseils régionaux. Dossier. / Bernard Hillau in Actualité de la formation permanente, n° 204 (septembre-octobre 2006)
Permalink1945-2005. Le modèle social français a 60 ans. De l'âge d'or à la crise. / Denis Boissard in Liaisons sociales numéros juridiques, Hors-série (17 octobre 2005)
PermalinkElaborer des référentiels de compétences : principes et méthodes. / ANACT - Agence nationale pour l'amélioration des conditions de travail (France) (2005)
PermalinkLa déclinaison des diplômes LMD en compétences et la présentation de l'annexe descriptive. / Yves Lichtenberger (2004)
PermalinkPermalinkDes pratiques en réflexion. 10 ans de débats sur l'intervention ergonomique. / Serge Volkoff (2003)
PermalinkLa théorie de la régulation sociale de Jean-Daniel Reynaud : débats et prolongements. / Claude Dubar (2003)
PermalinkFormation et éducation tout au long de la vie, 1971-2001 : deux réformes, un même défi. / Vincent Merle in Formation emploi, n° 76 (octobre décembre 2001)
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PermalinkCompétences, vers un système de reconnaissance. / François Eymard-Duvernay in La revue de la CFDT, n° 39 (mars 2001)
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkEfficacité de la formation pour les individus et les entreprises : Dossier n° 4. / Yves Lichtenberger (2001)
PermalinkLes enjeux d'une refonte de la formation professionnelle continue. Bilan pour un futur. / Philippe Méhaut (2001)
PermalinkEvaluation de la formation, rapport au temps de travail : Dossier n° 5. / Yves Lichtenberger (2001)
PermalinkFinancement, structure de la dépense, différences sectorielles, de taille, entreprises "non formatrices" : Dossier n° 6. / Yves Lichtenberger (2001)
PermalinkFormation initiale, accès des jeunes à l'emploi et l'alternance : Dossier n° 11. / Yves Lichtenberger (2001)
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkTransformation du travail, compétence, nouveaux enjeux pour la formation : Dossier n° 2. / Yves Lichtenberger (2001)
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkLa logique de la compétence. Deuxième partie. / Anni Borzeix in Education permanente, n° 141 (1999-4)
PermalinkCompétence, organisation du travail et confrontation sociale. / Yves Lichtenberger in Formation emploi, n° 67 (juillet septembre 1999)
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PermalinkPermalinkDéveloppement des compétences. La position des partenaires sociaux. / Bénédicte Roy in Travail et changement, n° 245 (avril 1999)
PermalinkPermalinkLes premiers entretiens de l'emploi. Les transformations du marché du travail. / Annie Fouquet (1999)
PermalinkPermalinkLa formation continue. / Yves Lichtenberger in Administration et éducation, n° 80 (4ème trimestre 1998)
PermalinkA quoi sert le travail social ? Chômage, précarité, insertion : la nouvelle donne. Anciennes professions, nouveaux métiers. De la tutelle à la médiation. / Philippe Estebe in Esprit, n° 241 (mars-avril 1998)
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