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Faut-il changer d’emploi pour améliorer ses conditions de travail ? / Thomas Coutrot in Dares Analyses-Dares Indicateurs-Dares Résultats, n° 055 (novembre 2019)
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[article]
Titre : Faut-il changer d’emploi pour améliorer ses conditions de travail ? Type de document : document électronique Auteurs : Thomas Coutrot Année de publication : 2019 Article en page(s) : 9 p. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
CONDITION DE TRAVAIL ; MOBILITE PROFESSIONNELLE ; CHEMINEMENT PROFESSIONNEL ; CHANGEMENT ORGANISATIONNEL ; SANTE AU TRAVAIL ; FRANCERésumé : Entre 2013 et 2016, 23 % des salariés qui ont changé d’emploi ou de profession ont fortement amélioré leurs conditions de travail, contre 13 % des salariés stables. Leur bien-être psychologique s’est lui aussi amélioré. Cependant, ceux qui ont changé d’emploi ou de profession sont également un peu plus nombreux (17 % contre 15 % des salariés stables) à voir leurs conditions de travail se dégrader.
Quitter l’industrie ou la construction réduit l’exposition des salariés à des contraintes physiques, tandis que ne plus travailler dans les secteurs des services limite l’insécurité socio-économique.
Pour les salariés qui ne changent pas d’emploi, la survenue d’un changement organisationnel est associée à un fort risque de dégradation des conditions de travail et de la santé entre 2013 et 2016. Ce risque est bien moindre lorsque les salariés ont été bien informés et qu’ils ont pu participer aux décisions concernant le changement.Document Céreq : Non En ligne : https://dares.travail-emploi.gouv.fr/dares-etudes-et-statistiques/etudes-et-synt [...] Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=66200
in Dares Analyses-Dares Indicateurs-Dares Résultats > n° 055 (novembre 2019) . - 9 p.[article] Faut-il changer d’emploi pour améliorer ses conditions de travail ? [document électronique] / Thomas Coutrot . - 2019 . - 9 p.
Langues : Français (fre)
in Dares Analyses-Dares Indicateurs-Dares Résultats > n° 055 (novembre 2019) . - 9 p.
Catégories : Thésaurus CEREQ
CONDITION DE TRAVAIL ; MOBILITE PROFESSIONNELLE ; CHEMINEMENT PROFESSIONNEL ; CHANGEMENT ORGANISATIONNEL ; SANTE AU TRAVAIL ; FRANCERésumé : Entre 2013 et 2016, 23 % des salariés qui ont changé d’emploi ou de profession ont fortement amélioré leurs conditions de travail, contre 13 % des salariés stables. Leur bien-être psychologique s’est lui aussi amélioré. Cependant, ceux qui ont changé d’emploi ou de profession sont également un peu plus nombreux (17 % contre 15 % des salariés stables) à voir leurs conditions de travail se dégrader.
Quitter l’industrie ou la construction réduit l’exposition des salariés à des contraintes physiques, tandis que ne plus travailler dans les secteurs des services limite l’insécurité socio-économique.
Pour les salariés qui ne changent pas d’emploi, la survenue d’un changement organisationnel est associée à un fort risque de dégradation des conditions de travail et de la santé entre 2013 et 2016. Ce risque est bien moindre lorsque les salariés ont été bien informés et qu’ils ont pu participer aux décisions concernant le changement.Document Céreq : Non En ligne : https://dares.travail-emploi.gouv.fr/dares-etudes-et-statistiques/etudes-et-synt [...] Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=66200 Documents numériques
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2019-055.pdfAdobe Acrobat PDFLes salariés utilisent-ils les outils de prévention des risques professionnels ? / Thomas Coutrot in Dares Analyses-Dares Indicateurs-Dares Résultats, n° 028 (juin 2019)
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[article]
Titre : Les salariés utilisent-ils les outils de prévention des risques professionnels ? Type de document : document électronique Auteurs : Thomas Coutrot Année de publication : 2019 Article en page(s) : 6 p. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
HYGIENE-SECURITE ; SANTE AU TRAVAIL ; CHSCT ; SALARIE ; MEDECIN DU TRAVAIL ; SECTEUR PRIVE ; SECTEUR PUBLIC ; ENQUETE SUR LES CONDITIONS DE TRAVAIL ; FRANCERésumé : Près de neuf salariés sur dix reçoivent des informations sur les risques que leur travail fait courir à leur santé ou à leur sécurité, notamment via des formations spécifiques ou lors de visites avec un médecin du travail. Cependant, les femmes en bénéficient moins souvent que les hommes, comme si les risques qui les concernaient étaient moins visibles. Les consignes de sécurité et les équipements de protection individuelle contre le bruit ou les risques chimiques ne sont pas toujours bien utilisés, notamment quand l’intensité du travail est élevée et le rythme des changements très rapide. Parmi les salariés les plus exposés, 38 % sont dans une situation de prévention défaillante : 6 % n’ont ni information ni consigne, 19 % ne peuvent pas appliquer les consignes et 19 % n’ont pas des équipements de protection suffisants. Les mesures de prévention sont mieux appliquées quand l’établissement tient des réunions régulières de service, suit des normes de qualité ou dispose d’un comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT). (Source : Dares) Document Céreq : Non En savoir plus : sur le site de la Dares En ligne : https://dares.travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/dares_analyses_salaries_outils_prev [...] Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=65262
in Dares Analyses-Dares Indicateurs-Dares Résultats > n° 028 (juin 2019) . - 6 p.[article] Les salariés utilisent-ils les outils de prévention des risques professionnels ? [document électronique] / Thomas Coutrot . - 2019 . - 6 p.
Langues : Français (fre)
in Dares Analyses-Dares Indicateurs-Dares Résultats > n° 028 (juin 2019) . - 6 p.
Catégories : Thésaurus CEREQ
HYGIENE-SECURITE ; SANTE AU TRAVAIL ; CHSCT ; SALARIE ; MEDECIN DU TRAVAIL ; SECTEUR PRIVE ; SECTEUR PUBLIC ; ENQUETE SUR LES CONDITIONS DE TRAVAIL ; FRANCERésumé : Près de neuf salariés sur dix reçoivent des informations sur les risques que leur travail fait courir à leur santé ou à leur sécurité, notamment via des formations spécifiques ou lors de visites avec un médecin du travail. Cependant, les femmes en bénéficient moins souvent que les hommes, comme si les risques qui les concernaient étaient moins visibles. Les consignes de sécurité et les équipements de protection individuelle contre le bruit ou les risques chimiques ne sont pas toujours bien utilisés, notamment quand l’intensité du travail est élevée et le rythme des changements très rapide. Parmi les salariés les plus exposés, 38 % sont dans une situation de prévention défaillante : 6 % n’ont ni information ni consigne, 19 % ne peuvent pas appliquer les consignes et 19 % n’ont pas des équipements de protection suffisants. Les mesures de prévention sont mieux appliquées quand l’établissement tient des réunions régulières de service, suit des normes de qualité ou dispose d’un comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT). (Source : Dares) Document Céreq : Non En savoir plus : sur le site de la Dares En ligne : https://dares.travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/dares_analyses_salaries_outils_prev [...] Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=65262 Documents numériques
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dares_analyses_salaries_outils_prevention_risques_professionnels.pdfAdobe Acrobat PDFLes ouvriers intérimaires sont-ils plus exposés aux risques professionnels ? / Thomas Coutrot in Dares Analyses-Dares Indicateurs-Dares Résultats, n° 045 (octobre 2018)
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[article]
Titre : Les ouvriers intérimaires sont-ils plus exposés aux risques professionnels ? Type de document : document électronique Auteurs : Thomas Coutrot ; Martine Léonard Année de publication : 2018 Article en page(s) : 7 p. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
TRAVAIL INTERIMAIRE ; OUVRIER ; CONDITION DE TRAVAIL ; HYGIENE-SECURITE ; RYTHME DE TRAVAIL ; SANTE AU TRAVAIL ; RISQUE PSYCHOSOCIAL ; ENQUETE SUMER ; ENQUETE SUR LES CONDITIONS DE TRAVAIL ; FRANCERésumé : En France, les ouvriers intérimaires, qui représentent la majorité des personnes en intérim et 8 % des ouvriers, sont très fortement exposés à des contraintes physiques dans leur travail. Ils sont 22 % à manipuler des charges lourdes plus de 20 heures par semaine contre 12 % pour l’ensemble des ouvriers. Ces contraintes s’expliquent toutefois davantage par les caractéristiques des métiers qu’exercent les intérimaires que par leur statut d’intérimaire. À première vue, les ouvriers intérimaires semblent moins exposés aux produits chimiques dangereux que les autres ouvriers. Mais ce résultat doit être nuancé du fait d’une large méconnaissance de leurs expositions par les médecins du travail ou par eux-mêmes. Les rythmes de travail des ouvriers intérimaires sont particulièrement contraints. Selon l’enquête Surveillance médicale des expositions aux risques professionnels, ils déclarent deux fois plus souvent que les autres ouvriers que leur rythme de travail est déterminé par le déplacement automatique d’un produit (23 % contre 11 %) ou par la cadence automatique d’une machine (25 % contre 12 %). (Dares) Document Céreq : Non En savoir plus : sur le site du ministère En ligne : https://dares.travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/2018-045.pdf Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=63460
in Dares Analyses-Dares Indicateurs-Dares Résultats > n° 045 (octobre 2018) . - 7 p.[article] Les ouvriers intérimaires sont-ils plus exposés aux risques professionnels ? [document électronique] / Thomas Coutrot ; Martine Léonard . - 2018 . - 7 p.
Langues : Français (fre)
in Dares Analyses-Dares Indicateurs-Dares Résultats > n° 045 (octobre 2018) . - 7 p.
Catégories : Thésaurus CEREQ
TRAVAIL INTERIMAIRE ; OUVRIER ; CONDITION DE TRAVAIL ; HYGIENE-SECURITE ; RYTHME DE TRAVAIL ; SANTE AU TRAVAIL ; RISQUE PSYCHOSOCIAL ; ENQUETE SUMER ; ENQUETE SUR LES CONDITIONS DE TRAVAIL ; FRANCERésumé : En France, les ouvriers intérimaires, qui représentent la majorité des personnes en intérim et 8 % des ouvriers, sont très fortement exposés à des contraintes physiques dans leur travail. Ils sont 22 % à manipuler des charges lourdes plus de 20 heures par semaine contre 12 % pour l’ensemble des ouvriers. Ces contraintes s’expliquent toutefois davantage par les caractéristiques des métiers qu’exercent les intérimaires que par leur statut d’intérimaire. À première vue, les ouvriers intérimaires semblent moins exposés aux produits chimiques dangereux que les autres ouvriers. Mais ce résultat doit être nuancé du fait d’une large méconnaissance de leurs expositions par les médecins du travail ou par eux-mêmes. Les rythmes de travail des ouvriers intérimaires sont particulièrement contraints. Selon l’enquête Surveillance médicale des expositions aux risques professionnels, ils déclarent deux fois plus souvent que les autres ouvriers que leur rythme de travail est déterminé par le déplacement automatique d’un produit (23 % contre 11 %) ou par la cadence automatique d’une machine (25 % contre 12 %). (Dares) Document Céreq : Non En savoir plus : sur le site du ministère En ligne : https://dares.travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/2018-045.pdf Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=63460 Documents numériques
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2018-045.pdfAdobe Acrobat PDF
Titre : Libérer le travail : pourquoi la gauche s'en moque et pourquoi ça doit changer Type de document : texte imprimé Auteurs : Thomas Coutrot Editeur : Paris : Seuil Année de publication : 2018 Importance : 301 p ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-139037-7 Prix : 20 EUR. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
TRAVAIL ; ORGANISATION DU TRAVAIL ; CONDITION DE TRAVAIL ; GESTION ; ECONOMIE DE MARCHE ; FRANCE ; SOUFFRANCE AU TRAVAIL ; SANTE AU TRAVAIL ; INTERNET ; ECONOMIE NUMERIQUE ; AUTOGESTION ; DEMOCRATIE ; ORGANISATION D'ENTREPRISE ; COGESTION
Auteur Cité
Marx Karl ; TAYLOR Frederick WinslowRésumé : La moitié des Français expriment un mal-être au travail. Une organisation néo-taylorienne soumise au rendement financier est en train de détruire notre monde commun. Cette machine à extraire le profit écrase le travail vivant : celui qui mobilise notre corps, notre intelligence, notre créativité, notre empathie et fait de nous, dans l'épreuve de la confrontation au réel, des êtres humains. Contre les " réformes " néolibérales du travail, on a raison de lutter. Mais pour défendre les conquêtes du salariat et prendre soin du monde, il nous faut repenser le travail. Nous avons besoin d'un souffle nouveau, d'un " avenir désirable ". La liberté, l'autonomie, la démocratie au travail, doivent être replacées au cour de toute politique d'émancipation. La gauche politique et syndicale a trop longtemps privilégié le pouvoir d'achat au pouvoir d'agir dans le travail. Paradoxalement, les innovations dans ce domaine sont d'abord venues des managers : " l'entreprise libérée " inspire des initiatives patronales souvent futiles et parfois stimulantes. Des consultants créatifs proposent des modèles " d'entreprise autogouvernée " plus audacieux que les rêves autogestionnaires les plus fous. Mais surtout, des expériences multiples fleurissent un peu partout inspirées du travail collaboratif, du care, de la construction du commun, qui sont autant d'écoles d'une démocratie refondée. Et si on libérait le travail, vraiment ? C'est possible : ce livre en fait la démonstration ! (4ème de couv.) Document Céreq : Non En savoir plus : présentation sur le site de l'éditeur Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=62545 Libérer le travail : pourquoi la gauche s'en moque et pourquoi ça doit changer [texte imprimé] / Thomas Coutrot . - Paris : Seuil, 2018 . - 301 p.
ISBN : 978-2-02-139037-7 : 20 EUR.
Langues : Français (fre)
Catégories : Thésaurus CEREQ
TRAVAIL ; ORGANISATION DU TRAVAIL ; CONDITION DE TRAVAIL ; GESTION ; ECONOMIE DE MARCHE ; FRANCE ; SOUFFRANCE AU TRAVAIL ; SANTE AU TRAVAIL ; INTERNET ; ECONOMIE NUMERIQUE ; AUTOGESTION ; DEMOCRATIE ; ORGANISATION D'ENTREPRISE ; COGESTION
Auteur Cité
Marx Karl ; TAYLOR Frederick WinslowRésumé : La moitié des Français expriment un mal-être au travail. Une organisation néo-taylorienne soumise au rendement financier est en train de détruire notre monde commun. Cette machine à extraire le profit écrase le travail vivant : celui qui mobilise notre corps, notre intelligence, notre créativité, notre empathie et fait de nous, dans l'épreuve de la confrontation au réel, des êtres humains. Contre les " réformes " néolibérales du travail, on a raison de lutter. Mais pour défendre les conquêtes du salariat et prendre soin du monde, il nous faut repenser le travail. Nous avons besoin d'un souffle nouveau, d'un " avenir désirable ". La liberté, l'autonomie, la démocratie au travail, doivent être replacées au cour de toute politique d'émancipation. La gauche politique et syndicale a trop longtemps privilégié le pouvoir d'achat au pouvoir d'agir dans le travail. Paradoxalement, les innovations dans ce domaine sont d'abord venues des managers : " l'entreprise libérée " inspire des initiatives patronales souvent futiles et parfois stimulantes. Des consultants créatifs proposent des modèles " d'entreprise autogouvernée " plus audacieux que les rêves autogestionnaires les plus fous. Mais surtout, des expériences multiples fleurissent un peu partout inspirées du travail collaboratif, du care, de la construction du commun, qui sont autant d'écoles d'une démocratie refondée. Et si on libérait le travail, vraiment ? C'est possible : ce livre en fait la démonstration ! (4ème de couv.) Document Céreq : Non En savoir plus : présentation sur le site de l'éditeur Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=62545 Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1000388 O-93-18 Ouvrage CEREQ Bibliothèque Sorti jusqu'au 30/12/2020
Titre : Travail et bien-être psychologique : L’apport de l’enquête CT-RPS 2016 Type de document : document électronique Auteurs : Thomas Coutrot Editeur : Paris : DARES Année de publication : 2018 Collection : Document d'études num. n° 217 Importance : 53 p Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
CONDITION DE TRAVAIL ; SANTE AU TRAVAIL ; RISQUE PSYCHOSOCIAL ; ENQUETE SUR LES CONDITIONS DE TRAVAIL ; AUTONOMIE PROFESSIONNELLE ; REPRESENTATION DU TRAVAIL
Organisme Cité
Enquête CT-RPS-Conditions de travail-Risques psychosociauxRésumé : Comment le travail peut-il contribuer au bien-être psychologique des personnes ? Quels sont les conditions de travail et les facteurs psychosociaux, de risque ou d’épanouissement, qui jouent le plus ? Pour quels métiers le travail impacte-t-il le plus le bien-être, en positif ou en négatif ? Et si, comme l’a montré une récente étude du Cepremap, le bien-être psychologique des personnes est nettement corrélé à leur comportement électoral, en va-t-il de même pour les conditions de travail ? L’enquête Conditions de travail-Risques psychosociaux de 2016 (CT-RPS 2016) permet d’éclairer ces questions de façon inédite. Pour un peu plus du tiers des actifs en emploi, le travail favorise le développement des capacités et du bien-être. La contribution du travail au bien-être psychologique respecte le gradient social habituel : les plus diplômés et qualifiés ont un travail plus épanouissant. Toutefois, des professions relativement peu qualifiées et à grande majorité féminine, telles les assistantes maternelles, les coiffeurs ou les employés de maison, figurent également parmi les métiers pour lesquels le travail contribue le plus au bien-être. A l’autre extrême, un actif sur dix environ se trouve dans une situation de travail très délétère pour son bien-être psychologique, avec un cumul d’expositions de tous ordres, physiques, organisationnelles et psychosociales. Des professions comme celles de caissières, de cuisiniers, d’infirmières, d’aides-soignantes, d’ouvriers des industries graphiques ou de la métallurgie, d’employés de banques, sont surreprésentées dans ces situations préoccupantes qui appellent sans doute un effort particulier pour les politiques de prévention. Les conflits éthiques (« travail empêché » notamment pour les professions de santé) et l’insécurité socio-économique (pour les ouvriers) structurent des situations intermédiaires qui concernent environ un tiers des actifs. Conformément à la théorie et à la littérature empirique existante sur le sujet, l’autonomie au travail des répondants à l’enquête CT-RPS 2016 apparaît significativement plus faible dans les communes où ont prédominé, en 2017, l’abstention ou le vote d’extrême droite, ainsi que, dans une moindre mesure, le vote « gauche contestataire ».(Dares) Document Céreq : Non En ligne : http://dares.travail-emploi.gouv.fr/dares-etudes-et-statistiques/etudes-et-synth [...] Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=62402 Travail et bien-être psychologique : L’apport de l’enquête CT-RPS 2016 [document électronique] / Thomas Coutrot . - Paris : DARES, 2018 . - 53 p. - (Document d'études; n° 217) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Thésaurus CEREQ
CONDITION DE TRAVAIL ; SANTE AU TRAVAIL ; RISQUE PSYCHOSOCIAL ; ENQUETE SUR LES CONDITIONS DE TRAVAIL ; AUTONOMIE PROFESSIONNELLE ; REPRESENTATION DU TRAVAIL
Organisme Cité
Enquête CT-RPS-Conditions de travail-Risques psychosociauxRésumé : Comment le travail peut-il contribuer au bien-être psychologique des personnes ? Quels sont les conditions de travail et les facteurs psychosociaux, de risque ou d’épanouissement, qui jouent le plus ? Pour quels métiers le travail impacte-t-il le plus le bien-être, en positif ou en négatif ? Et si, comme l’a montré une récente étude du Cepremap, le bien-être psychologique des personnes est nettement corrélé à leur comportement électoral, en va-t-il de même pour les conditions de travail ? L’enquête Conditions de travail-Risques psychosociaux de 2016 (CT-RPS 2016) permet d’éclairer ces questions de façon inédite. Pour un peu plus du tiers des actifs en emploi, le travail favorise le développement des capacités et du bien-être. La contribution du travail au bien-être psychologique respecte le gradient social habituel : les plus diplômés et qualifiés ont un travail plus épanouissant. Toutefois, des professions relativement peu qualifiées et à grande majorité féminine, telles les assistantes maternelles, les coiffeurs ou les employés de maison, figurent également parmi les métiers pour lesquels le travail contribue le plus au bien-être. A l’autre extrême, un actif sur dix environ se trouve dans une situation de travail très délétère pour son bien-être psychologique, avec un cumul d’expositions de tous ordres, physiques, organisationnelles et psychosociales. Des professions comme celles de caissières, de cuisiniers, d’infirmières, d’aides-soignantes, d’ouvriers des industries graphiques ou de la métallurgie, d’employés de banques, sont surreprésentées dans ces situations préoccupantes qui appellent sans doute un effort particulier pour les politiques de prévention. Les conflits éthiques (« travail empêché » notamment pour les professions de santé) et l’insécurité socio-économique (pour les ouvriers) structurent des situations intermédiaires qui concernent environ un tiers des actifs. Conformément à la théorie et à la littérature empirique existante sur le sujet, l’autonomie au travail des répondants à l’enquête CT-RPS 2016 apparaît significativement plus faible dans les communes où ont prédominé, en 2017, l’abstention ou le vote d’extrême droite, ainsi que, dans une moindre mesure, le vote « gauche contestataire ».(Dares) Document Céreq : Non En ligne : http://dares.travail-emploi.gouv.fr/dares-etudes-et-statistiques/etudes-et-synth [...] Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=62402 Documents numériques
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Dares-2018-217-de-travail_et_bien-etre_tc_vd_2.pdfAdobe Acrobat PDFChangements organisationnels : la participation des salariés protège-t-elle du risque dépressif ? / Thomas Coutrot in Dares Analyses-Dares Indicateurs-Dares Résultats, n° 061 (septembre 2017)
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PermalinkLes expositions aux risques professionnels dans les petits établissements en 2010 / Thomas Coutrot in Dares Analyses-Dares Indicateurs-Dares Résultats, n° 049 (juillet 2017)
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PermalinkInsécurité du travail, changements organisationnels et participation des salariés : quel impact sur le risque dépressif ? / Thomas Coutrot (2017)
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PermalinkPermalinkRisques psychosociaux et situation économique des entreprises / Thomas Coutrot in Dares Analyses-Dares Indicateurs-Dares Résultats, n° 044 (juin 2015)
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PermalinkNotes de lecture de Gérard Duménil, Dominique Lévy, La grande bifurcation. En finir avec le néolibéralisme Paris, La Découverte, coll. « L’horizon des possibles », 2014 / Thomas Coutrot in Travail et emploi, n° 142 (avril-juin 2015)
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PermalinkPilotage du travail et risques pychosociaux / Thomas Coutrot in Dares Analyses-Dares Indicateurs-Dares Résultats, n° 003 (Janvier 2015)
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PermalinkLes conditions de travail des salariés dans le secteur privé et la fonction publique / Thomas Coutrot in Dares Analyses-Dares Indicateurs-Dares Résultats, n° 102 (Décembre 2014)
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PermalinkLa prévention des risques professionnels vue par les médecins du travail / Thomas Coutrot in Dares Analyses-Dares Indicateurs-Dares Résultats, n° 055 (Septembre 2013)
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PermalinkLes salariés déclarant avoir interrompu ou refusé une tâche pour préserver leur santé ou leur sécurité / Elisabeth Algava in Dares Analyses-Dares Indicateurs-Dares Résultats, n° 023 (avril 2013)
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PermalinkLes risques professionnels en 2010 / Bernard Arnaudo in Dares Analyses-Dares Indicateurs-Dares Résultats, n° 010 (Février 2013)
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PermalinkL'évolution des risques professionnels dans le secteur privé entre 1994 et 2010 / Bernard Arnaudo in Dares Analyses-Dares Indicateurs-Dares Résultats, n° 023 (Mars 2012)
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PermalinkLa "croissance verte" en question / Thomas Coutrot in ETUI Policy Brief - Politique sociale européenne, n° 3 (2012)
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PermalinkEmploi et santé des seniors surablemnt exposés à des pénibilités physiques au cours de leur carrière / Thomas Coutrot in Dares Analyses-Dares Indicateurs-Dares Résultats, n° 020 (mars 2011)
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PermalinkLes pathologies liées au travail vues par les travailleurs / Thomas Coutrot in Dares Analyses-Dares Indicateurs-Dares Résultats, n° 080 (novembre 2010)
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PermalinkLes risques psychosociaux au travail / Thomas Coutrot in Dares Analyses-Dares Indicateurs-Dares Résultats, n° 081 (décembre 2010)
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PermalinkPermalinkParcours professionnels et état de santé / Thomas Coutrot in Premières Informations et Premières Synthèses, n° 001 (janvier 2010)
PermalinkHoraires atypiques et contraintes dans le travail : une typologie en 6 catégories. / Jennifer Bué in Premières Informations et Premières Synthèses, n° 22.2 (mai 2009)
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PermalinkPermalinkSe sentir capable de faire le même travail jusqu'a 60 ans : le poids des facteurs psycho-sociaux. / Thomas Coutrot in Premières Informations et Premières Synthèses, n° 29.2 (juillet 2008)
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PermalinkSanté et travail. Connaissances et reconnaissance. / Eric Verdier in Revue française des affaires sociales, n° 2-3 (avril-septembre 2008)
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PermalinkPermalinkLes relations sociales en entreprise : Un portrait à partir des enquêtes Relations professionnelles et négociations d'entreprise / Salima Benhamou (2008)
PermalinkConditions de travail : une pause dans l'intensification du travail. / Thomas Coutrot in Premières Informations et Premières Synthèses, n° 01.2 (janvier 2007)
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PermalinkPermalinkLes nouvelles frontières du travail subordonné. Approche pluridisciplinaire. / François Eymard-Duvernay (2006)
PermalinkPermalinkTravail flexible, salariés jetables. Fausses questions et vrais enjeux de la lutte contre le chômage. / Thomas Coutrot (2006)
PermalinkL'impact des conditions de travail sur la santé : une expérience méthodologique. / Thomas Coutrot in Rapport de recherche du CEE, n° 23 (juillet 2005)
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PermalinkL'emploi des seniors souvent fragilisé par des problèmes de santé. / Thomas Coutrot in Premières Informations et Premières Synthèses, n ° 08.1 (février 2005)
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PermalinkPermalinkL'impact des conditions de travail sur la santé : une expérience méthodologique / Thomas Coutrot (2005)
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PermalinkPermalinkPermalinkDossier : la santé au risque du travail. / Thomas Coutrot in Travail et emploi, n° 96 (octobre 2003)
PermalinkNégociation sociale et performance économique : le cas des 35 heures. / Thomas Coutrot in Problèmes économiques, n° 2815 (25 juin 2003)
PermalinkLa réduction du temps de travail. Des politiques aux pratiques. / Pierre Boisard in Problèmes politiques et sociaux, n° 889 (juin 2003)
PermalinkL'évaluation des politiques économiques. En débat. / Jean-Paul Fitoussi in Revue de l'OFCE, n° 85 (avril 2003)
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PermalinkPermalinkOù en est le rapport salarial ? Nouveaux éclairages de l'enquête Relations professionnelles et négociations d'entreprise (REPONSE). / Thomas Coutrot in Travail et emploi, n° 93 (janvier 2003)
PermalinkNégociation sociale et performance économique : le cas des 35 heures. / Thomas Coutrot in Travail et emploi, n° 92 (octobre 2002)
PermalinkPermalinkDynamique des métiers et usage de l'informatique : une approche descriptive. / Thomas Coutrot (2002)
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PermalinkLes transformations de la société salariale. / Thomas Coutrot in Cahiers français, n° 304 (octobre 2001)
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