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Qu'est devenue l'idée démocratique en droit du travail ? / Antoine Jeammaud in Revue de droit du travail, n° 10 (octobre 2017)
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Titre : Qu'est devenue l'idée démocratique en droit du travail ? Type de document : document électronique Auteurs : Antoine Jeammaud ; Olivier Favereau Année de publication : 2017 Article en page(s) : pp. 576-584 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
LEGISLATION DU TRAVAIL ; DEMOCRATIE ; CITOYENNETE ; POLITIQUE DE L'EMPLOI ; SECURISATION DES PARCOURS PROFESSIONNELS ; FRANCERésumé : En 1982, les lois Auroux, fruits de l'alternance politique de 1981, sont porteuses d'une promesse : celle d'enfanter une citoyenneté par le travail et dans l'entreprise. « Par le travail », parce qu'elles reposent sur l'idée selon laquelle le droit du travail constitue un des piliers d'une démocratie. « Dans l'entreprise », parce le développement des prérogatives des institutions représentatives du personnel, mais aussi celui de la participation des travailleurs à travers la négociation collective, devait façonner la démocratie dans l'entreprise. Très vite, dès la seconde moitié des années quatre-vingt, ce discours démocratique est entré en tension avec les discours de la crise, injonction adressée au droit du travail de se transformer, de se soumettre aux exigences du marché concurrentiel, d'être efficient. Depuis, la prégnance des exigences d'efficacité économique n'a pas faibli. Bien au contraire, les ordonnances du 22 septembre 2017 en sont pleinement imbibées. Ont-elles eu raison de l'idée démocratique, alors même que certaines dispositions - par exemple la possibilité de recourir au referendum - prétendent lui donner une certaine vigueur ? Cette question a été soumise à Antoine Jeammaud, ancien professeur à l'Université Lumière Lyon 2, et Olivier Favereau, professeur émérite de sciences économie de l'Université Paris Nanterre, responsable et codirecteur du département Économie et Société au Collège des Bernardins. Tous deux ont un point d'accord : cette dernière réforme, dans la continuité des précédentes, gangrène l'idée démocratique dans toutes ses dimensions. Antoine Jeammaud souligne combien l'usage de procédés, qui pourraient a priori, relever de l'idée démocratique, telle la négociation légiférante - n'ont que peu à voir avec les idéaux de démocratie sociale ou de démocratie industrielle portés par les lois Auroux. Olivier Favereau, pour sa part, souligne combien l'idéal d'égalité entre les insiders et les outsiders du marché du travail dont sont porteuses les réformes, repose sur une conception réductrice de la démocratie, laquelle préserve, en définitive, les privilèges de certaines parties prenantes : les actionnaires. Réenchanter l'idée démocratique - sans pour autant sacrifier la mise en place d'une forme de flexisécurité - suppose alors de promouvoir une autre conception de l'entreprise, non réduite à un lieu par lequel transitent les salariés entre deux situations de non-emploi. (Source : revue) Document Céreq : Non En ligne : http://www.dalloz.fr/documentation/Document?id=REVTRAV/CHRON/2017/0177 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=61436
in Revue de droit du travail > n° 10 (octobre 2017) . - pp. 576-584[article] Qu'est devenue l'idée démocratique en droit du travail ? [document électronique] / Antoine Jeammaud ; Olivier Favereau . - 2017 . - pp. 576-584.
Langues : Français (fre)
in Revue de droit du travail > n° 10 (octobre 2017) . - pp. 576-584
Catégories : Thésaurus CEREQ
LEGISLATION DU TRAVAIL ; DEMOCRATIE ; CITOYENNETE ; POLITIQUE DE L'EMPLOI ; SECURISATION DES PARCOURS PROFESSIONNELS ; FRANCERésumé : En 1982, les lois Auroux, fruits de l'alternance politique de 1981, sont porteuses d'une promesse : celle d'enfanter une citoyenneté par le travail et dans l'entreprise. « Par le travail », parce qu'elles reposent sur l'idée selon laquelle le droit du travail constitue un des piliers d'une démocratie. « Dans l'entreprise », parce le développement des prérogatives des institutions représentatives du personnel, mais aussi celui de la participation des travailleurs à travers la négociation collective, devait façonner la démocratie dans l'entreprise. Très vite, dès la seconde moitié des années quatre-vingt, ce discours démocratique est entré en tension avec les discours de la crise, injonction adressée au droit du travail de se transformer, de se soumettre aux exigences du marché concurrentiel, d'être efficient. Depuis, la prégnance des exigences d'efficacité économique n'a pas faibli. Bien au contraire, les ordonnances du 22 septembre 2017 en sont pleinement imbibées. Ont-elles eu raison de l'idée démocratique, alors même que certaines dispositions - par exemple la possibilité de recourir au referendum - prétendent lui donner une certaine vigueur ? Cette question a été soumise à Antoine Jeammaud, ancien professeur à l'Université Lumière Lyon 2, et Olivier Favereau, professeur émérite de sciences économie de l'Université Paris Nanterre, responsable et codirecteur du département Économie et Société au Collège des Bernardins. Tous deux ont un point d'accord : cette dernière réforme, dans la continuité des précédentes, gangrène l'idée démocratique dans toutes ses dimensions. Antoine Jeammaud souligne combien l'usage de procédés, qui pourraient a priori, relever de l'idée démocratique, telle la négociation légiférante - n'ont que peu à voir avec les idéaux de démocratie sociale ou de démocratie industrielle portés par les lois Auroux. Olivier Favereau, pour sa part, souligne combien l'idéal d'égalité entre les insiders et les outsiders du marché du travail dont sont porteuses les réformes, repose sur une conception réductrice de la démocratie, laquelle préserve, en définitive, les privilèges de certaines parties prenantes : les actionnaires. Réenchanter l'idée démocratique - sans pour autant sacrifier la mise en place d'une forme de flexisécurité - suppose alors de promouvoir une autre conception de l'entreprise, non réduite à un lieu par lequel transitent les salariés entre deux situations de non-emploi. (Source : revue) Document Céreq : Non En ligne : http://www.dalloz.fr/documentation/Document?id=REVTRAV/CHRON/2017/0177 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=61436 Commentaires du point de vue de l'économie institutionnaliste / Olivier Favereau in Droit social, n° 4 (avril 2016)
[article]
Titre : Commentaires du point de vue de l'économie institutionnaliste Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivier Favereau Congrès : Grand Débat : Droit du travail, croissance et emploi : que faire ? (décembre 2015; Collège des Bernardins, Paris) Année de publication : 2016 Article en page(s) : pp. 341-350 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
LEGISLATION DU TRAVAIL ; ECONOMIE ; COMPETITIVITE ECONOMIQUE ; MOBILITE GEOGRAPHIQUE ; CONTRAT DE TRAVAIL ; LICENCIEMENT ECONOMIQUE ; NEGOCIATION COLLECTIVE ; STATISTIQUE D'EMPLOI ; EMPLOI ; FRANCE ; ALLEMAGNE ; EUROPE ; COMPARAISON INTERNATIONALERésumé : Pour que le dialogue entre les deux disciplines soit fécond, l'économiste se doit de préciser au juriste à partir de quelles visions théoriques du droit, de la relation de travail, et de l'entreprise, il donne un avis sur des règles de droit. L'économie institutionnaliste postule que l'efficacité économique n'épuise pas le champ de la normativité ; que la prestation de travail salarié est multi-dimensionnelle ; et que l'entreprise forme une collectivité dynamique, dont la nature quasi-politique est insuffisamment pensée. Ces postulats l'amènent à critiquer la notion ordinaire de compétitivité centrée sur la compression des coûts salariaux ; à trouver du sens à la diversité des contrats de travail, ainsi qu'à l'intervention du juge dans le contrôle du licenciement ; enfin à lier la promotion des accords d'entreprise à l'extension du nombre des administrateurs salariés. (Source : revue) Document Céreq : Non Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=57891
in Droit social > n° 4 (avril 2016) . - pp. 341-350[article] Commentaires du point de vue de l'économie institutionnaliste [texte imprimé] / Olivier Favereau / Grand Débat : Droit du travail, croissance et emploi : que faire ? (décembre 2015; Collège des Bernardins, Paris) . - 2016 . - pp. 341-350.
Langues : Français (fre)
in Droit social > n° 4 (avril 2016) . - pp. 341-350
Catégories : Thésaurus CEREQ
LEGISLATION DU TRAVAIL ; ECONOMIE ; COMPETITIVITE ECONOMIQUE ; MOBILITE GEOGRAPHIQUE ; CONTRAT DE TRAVAIL ; LICENCIEMENT ECONOMIQUE ; NEGOCIATION COLLECTIVE ; STATISTIQUE D'EMPLOI ; EMPLOI ; FRANCE ; ALLEMAGNE ; EUROPE ; COMPARAISON INTERNATIONALERésumé : Pour que le dialogue entre les deux disciplines soit fécond, l'économiste se doit de préciser au juriste à partir de quelles visions théoriques du droit, de la relation de travail, et de l'entreprise, il donne un avis sur des règles de droit. L'économie institutionnaliste postule que l'efficacité économique n'épuise pas le champ de la normativité ; que la prestation de travail salarié est multi-dimensionnelle ; et que l'entreprise forme une collectivité dynamique, dont la nature quasi-politique est insuffisamment pensée. Ces postulats l'amènent à critiquer la notion ordinaire de compétitivité centrée sur la compression des coûts salariaux ; à trouver du sens à la diversité des contrats de travail, ainsi qu'à l'intervention du juge dans le contrôle du licenciement ; enfin à lier la promotion des accords d'entreprise à l'extension du nombre des administrateurs salariés. (Source : revue) Document Céreq : Non Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=57891
Titre : Penser le travail pour penser l'entreprise Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivier Favereau, dir. ; Alexandra Bidet ; Jean-Marc Le Gall ; Helena Lopes ; Roger Baudoin ; Amélie Seignour Editeur : Paris : Presses des Mines Année de publication : 2016 Collection : Economie et gestion Importance : 178 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35671-399-5 Prix : 29 euros Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
ENTREPRISE ; TRAVAIL SALARIE ; MOTIVATION ; ORGANISATION D'ENTREPRISE ; FRANCE ; TRAVAIL ; EMPLOI ; CREATIVITE ; TRAVAIL COLLABORATIF ; REPRESENTATION DU TRAVAIL ; GRANDE ENTREPRISE ; PRATIQUE DE GRH ; SALARIE ; EXPRESSION DES SALARIES ; SALAIRERésumé : Après quatre décennies de financiarisation, l’entreprise va mal, humainement et économiquement. Pour la redresser, il faut repartir de ce qui constitue sa source d’énergie vitale : le travail salarié, bridé, méprisé, surcontrôlé, sur-évalué mais méconnu dans son contenu concret, sa positivité intrinsèque, son potentiel immense et, en définitive, sous-utilisé. Le chômage massif et l’emploi précaire, qui accompagnent la financiarisation comme son ombre, sont le fruit logique d’un type d’entreprise, prompte à discourir sur la valeur-travail, mais ignorante de la vraie valeur du travail, qui ne joue plus le moindre rôle dans ses critères de bonne gouvernance.
Cet ouvrage fait converger quatre regards disciplinaires : économique, sociologique, gestionnaire et anthropologique, pour dégager la grammaire commune de l’entreprise du XXIe siècle, celle qui nous fera sortir de la financiarisation. Proposant la première grille de lecture interdisciplinaire du contenu même du travail salarié, dans sa face lumineuse comme dans sa face sombre, les auteurs montrent comment réveiller la capacité de création collective de l’entreprise en (re)donnant du sens au travail salarié, y compris le plus terre-à -terre. Et pour atteindre ce résultat, la condition préalable est de (re)donner du poids aux salariés, dans le gouvernement de l’entreprise. (4ème de couv.)Document Céreq : Non Extraits en ligne : extrait en ligne Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=59037 Penser le travail pour penser l'entreprise [texte imprimé] / Olivier Favereau, dir. ; Alexandra Bidet ; Jean-Marc Le Gall ; Helena Lopes ; Roger Baudoin ; Amélie Seignour . - Paris : Presses des Mines, 2016 . - 178 p.. - (Economie et gestion) .
ISBN : 978-2-35671-399-5 : 29 euros
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ENTREPRISE ; TRAVAIL SALARIE ; MOTIVATION ; ORGANISATION D'ENTREPRISE ; FRANCE ; TRAVAIL ; EMPLOI ; CREATIVITE ; TRAVAIL COLLABORATIF ; REPRESENTATION DU TRAVAIL ; GRANDE ENTREPRISE ; PRATIQUE DE GRH ; SALARIE ; EXPRESSION DES SALARIES ; SALAIRERésumé : Après quatre décennies de financiarisation, l’entreprise va mal, humainement et économiquement. Pour la redresser, il faut repartir de ce qui constitue sa source d’énergie vitale : le travail salarié, bridé, méprisé, surcontrôlé, sur-évalué mais méconnu dans son contenu concret, sa positivité intrinsèque, son potentiel immense et, en définitive, sous-utilisé. Le chômage massif et l’emploi précaire, qui accompagnent la financiarisation comme son ombre, sont le fruit logique d’un type d’entreprise, prompte à discourir sur la valeur-travail, mais ignorante de la vraie valeur du travail, qui ne joue plus le moindre rôle dans ses critères de bonne gouvernance.
Cet ouvrage fait converger quatre regards disciplinaires : économique, sociologique, gestionnaire et anthropologique, pour dégager la grammaire commune de l’entreprise du XXIe siècle, celle qui nous fera sortir de la financiarisation. Proposant la première grille de lecture interdisciplinaire du contenu même du travail salarié, dans sa face lumineuse comme dans sa face sombre, les auteurs montrent comment réveiller la capacité de création collective de l’entreprise en (re)donnant du sens au travail salarié, y compris le plus terre-à -terre. Et pour atteindre ce résultat, la condition préalable est de (re)donner du poids aux salariés, dans le gouvernement de l’entreprise. (4ème de couv.)Document Céreq : Non Extraits en ligne : extrait en ligne Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=59037 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1019650 O-298-16 Ouvrage CEREQ Bibliothèque Sorti jusqu'au 22/04/2020
Titre : Penser l'entreprise : nouvel horizon du politique Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivier Favereau ; Roger Beaudoin Editeur : Paris : Parole et silence Année de publication : 2015 Collection : Humanités Sous-collection : Perspectives et propositions num. 5 Importance : 120 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-88918-530-6 Prix : 10 euros Note générale : Textes issus du colloque tenu au Collège des Bernardins du 6 au 8 novembre 2014
Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
ENTREPRISE ; RESPONSABILITE SOCIALE D'ENTREPRISE ; TRAVAIL ; FINANCEMENT D'ENTREPRISE ; ETAT ; POLITIQUE ECONOMIQUE ; FRANCERésumé : Chacun sait ce qu’est une entreprise. Pourtant cette évidence laisse ouvertes nombre de questions : est-elle appropriable et qui en serait le propriétaire ? Qu’est-ce qui la définit, la caractérise, en justifie l’existence ? Quels sont son rôle et ses responsabilités ? Comment soutenir son dynamisme tout en l’ordonnant au bien commun ? En repartant de la réalité du travail, de la création, du collectif qui en déploie les potentialités, des dispositifs qui la structurent, et des systèmes de pouvoirs qui la déterminent, les chercheurs du collège des Bernardins apportent des éléments pour penser l’entreprise. Entre le privé et le public, elle organise un espace d’activité collective ordonné à la création, dont l’influence porte sur ses membres et sur la société qui l’environne. Le rapport de l’entreprise aux modalités du vivre ensemble la situe dans l’ordre du politique, dont elle constitue un nouvel horizon. Document Céreq : Non Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=56327 Penser l'entreprise : nouvel horizon du politique [texte imprimé] / Olivier Favereau ; Roger Beaudoin . - Paris : Parole et silence, 2015 . - 120 p.. - (Humanités. Perspectives et propositions; 5) .
ISBN : 978-2-88918-530-6 : 10 euros
Textes issus du colloque tenu au Collège des Bernardins du 6 au 8 novembre 2014
Langues : Français (fre)
Catégories : Thésaurus CEREQ
ENTREPRISE ; RESPONSABILITE SOCIALE D'ENTREPRISE ; TRAVAIL ; FINANCEMENT D'ENTREPRISE ; ETAT ; POLITIQUE ECONOMIQUE ; FRANCERésumé : Chacun sait ce qu’est une entreprise. Pourtant cette évidence laisse ouvertes nombre de questions : est-elle appropriable et qui en serait le propriétaire ? Qu’est-ce qui la définit, la caractérise, en justifie l’existence ? Quels sont son rôle et ses responsabilités ? Comment soutenir son dynamisme tout en l’ordonnant au bien commun ? En repartant de la réalité du travail, de la création, du collectif qui en déploie les potentialités, des dispositifs qui la structurent, et des systèmes de pouvoirs qui la déterminent, les chercheurs du collège des Bernardins apportent des éléments pour penser l’entreprise. Entre le privé et le public, elle organise un espace d’activité collective ordonné à la création, dont l’influence porte sur ses membres et sur la société qui l’environne. Le rapport de l’entreprise aux modalités du vivre ensemble la situe dans l’ordre du politique, dont elle constitue un nouvel horizon. Document Céreq : Non Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=56327 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1018946 O-267-15 Ouvrage CEREQ Bibliothèque Sorti jusqu'au 03/05/2016 Etat social et politique de santé. / François Eymard-Duvernay in Economie appliquée, tome LX - n° 1 (mars 2007)
Le convenzioni del lavoro, il lavoro delle convenzioni. / François Eymard-Duvernay in Sociologia del lavoro, n° 104 (2006)
PermalinkL'économie des conventions. Méthodes et résultats. Tome 1 : Débats. / François Eymard-Duvernay (2006)
PermalinkL'économie des conventions. Méthodes et résultats. Tome 2 : Développements. / François Eymard-Duvernay (2006)
PermalinkThéories mode d'emploi. Dossier. / Gérard Charreaux in Revue française de gestion, vol. 32 - n° 160 (janvier 2006)
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PermalinkPermalinkL'économie des conventions ou le temps de la réunification dans les sciences sociales. Colloque "Conventions et institutions : approfondissements théoriques et contributions au débat politique", Paris X - Nanterre, 12-12-13 décembre 2003. / François Eymard-Duvernay in Problèmes économiques, n° 2838 (7 janvier 2004)
PermalinkPermalinkPermalinkLa théorie de la régulation sociale de Jean-Daniel Reynaud : débats et prolongements. / Claude Dubar (2003)
PermalinkDéveloppement récent de l'analyse économique. 50e congrès annuel de l'association française de science économique 2001. / André Zylberberg in Revue économique, vol. 53 - n° 3 (mai 2002)
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PermalinkPermalinkRevue économique, 1950-2000. Un demi-siècle en perspective. / Philippe Mongin in Revue économique, vol. 51 - n° 5 (septembre 2000)
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PermalinkEconomie des contrats : bilan et perspectives. / Bernard Walliser in Revue d'économie industrielle, n° 92 (2ème et 3ème trimestres 2000)
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PermalinkQu'a-t-on appris sur la relation salaire-emploi depuis Keynes ? / André Zylberberg in Cahiers d'économie politique, n° 34 (printemps 1999)
PermalinkEntre systémique et complexité, chemin faisant... Mélanges en hommage à Jean-Louis Le Moigne. / Jacques Lesourne (1999)
PermalinkPermalinkLes premiers entretiens de l'emploi. Les transformations du marché du travail. / Annie Fouquet (1999)
PermalinkPermalinkPermalinkDifferential analysis of unemployment duration with emphasis on long-term unemployment. / Jean-Yves Bienvenue in Labour, vol. 11, n° 1 (April 1997)
PermalinkPermalinkLes limites de la rationalité. Tome 2 : Les figures du collectif. Colloque de Cerisy. / François Eymard-Duvernay (1997)
PermalinkL'état des relations professionnelles. Traditions et perspectives de recherche. / François Michon (1996)
PermalinkLe gouvernement de l'entreprise. Modèles économiques de l'entreprise et pratiques de gestion. / Olivier Favereau (1996)
PermalinkLes marchés internes du travail : de la microéconomie à la macroéconomie. / Antoine Billot (1996)
PermalinkLes marchés internes du travail : de la microéconomie à la macroéconomie. / Antoine Billot (1996)
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkDécentralisation et coordination : les principaux modèles d'analyse. Actes des journées organisées pour le Ministère de l'Equipement, des Transports et du Tourisme et pour le Ministère de l'Environnement. 8 et 9 mars 1994. / Laurent Thévenot (1994)
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkUne approche longitudinale de la segmentation du marché du travail / Olivier Favereau in Formation emploi, n° 33 (janvier-mars 1991)
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PermalinkL'économie des conventions.Tome 1 : Fondements,Tome 2 : Modèles. / François Eymard-Duvernay (1991)
PermalinkEurope et chantiers. Le BTP en Europe : structures industrielles et marché du travail. Actes du colloque des 28 et 29 septembre 1988. / Gilles Margirier (1991)
PermalinkPermalinkLa méthodologie de l'économie théorique et appliquée aujourd'hui. Colloque annuel de l'Association française de science économique (AFSE) des 17 et 18 septembre 1990. / Edmond Malinvaud (1990)
PermalinkL'économie des conventions. / Jean-Pierre Dupuy in Revue économique, volume 40 - n° 2 (mars 1989)
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PermalinkMarchés internes, marchés externes. / Olivier Favereau in Revue économique, volume 40 - n° 2 (mars 1989)
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PermalinkPermalinkLes systèmes de classifications professionnelles. Le point de vue de l'économiste. / Olivier Favereau in Travail et emploi, n° 38 (décembre 1988)
PermalinkEmploi : l'avenir incertain. / Eric Verdier in Alternatives économiques, supplément n° 5 (février 1988)
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