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Auteur Salima Benhamou |
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Le travail en 2030, l'heure des choix / Salima Benhamou in Cahiers français, n° 418 (novembre-décembre 2020)
Artificial Intelligence and the Future of Work / Salima Benhamou in Revue d'économie industrielle, n° 169 (2020/1)
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Titre : Artificial Intelligence and the Future of Work Type de document : document électronique Auteurs : Salima Benhamou Congrès : Workshop ‘Transformative Technologies: The Impact of Industry 4.0 on Employment, Global Value Chains and Sustainable Development’ (June 2019; Université Côte d’Azur) Année de publication : 2020 Article en page(s) : pp. 57-88 Langues : Anglais (eng) Catégories : Thésaurus CEREQ
INTELLIGENCE ARTIFICIELLE ; TRAVAIL ; ETUDE PROSPECTIVE ; SANTE ; METIER DE LA SANTE ; TRANSPORT-MANUTENTION ; METIER DU TRANSPORT-MANUTENTION ; BANQUE ; METIER DES BANQUES-ASSURANCES ; EVOLUTION DES QUALIFICATIONS ; CHANGEMENT ORGANISATIONNEL ; NTI - NOUVELLE TECHNOLOGIE DE L'INFORMATION ; MUTATION TECHNOLOGIQUE ; CONDITION DE TRAVAIL ; ORGANISATION DU TRAVAIL ; BESOIN EN EDUCATION ; ORGANISATION QUALIFIANTE ; FRANCERésumé : This article analyses how artificial intelligence (AI) can transform work, considering both the potential of this technology and its limits. The sectoral approach adopted, focusing on the health, transport and banking sectors, allows for a detailed analysis of both the opportunities and risks as well as the evolution of tasks, learning dynamics, and changes in working conditions and management practices. The analysis shows that the tasks making up jobs in these sectors cannot always be automated with AI and that in many cases AI-based devices are used in a way that is complimentary to the skills of human workers. For this reason, and irrespective of the impact of AI on the overall level of employment, the analysis shows that the deployment of AI depends on continuous learning and skills development. The article concludes by arguing that learning forms of work organization are best suited for fostering complementarity between the machine and the human. Document Céreq : Non En ligne : https://www.cairn.info/revue-d-economie-industrielle-2020-1-page-57.htm Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=68393
in Revue d'économie industrielle > n° 169 (2020/1) . - pp. 57-88[article] Artificial Intelligence and the Future of Work [document électronique] / Salima Benhamou / Workshop ‘Transformative Technologies: The Impact of Industry 4.0 on Employment, Global Value Chains and Sustainable Development’ (June 2019; Université Côte d’Azur) . - 2020 . - pp. 57-88.
Langues : Anglais (eng)
in Revue d'économie industrielle > n° 169 (2020/1) . - pp. 57-88
Catégories : Thésaurus CEREQ
INTELLIGENCE ARTIFICIELLE ; TRAVAIL ; ETUDE PROSPECTIVE ; SANTE ; METIER DE LA SANTE ; TRANSPORT-MANUTENTION ; METIER DU TRANSPORT-MANUTENTION ; BANQUE ; METIER DES BANQUES-ASSURANCES ; EVOLUTION DES QUALIFICATIONS ; CHANGEMENT ORGANISATIONNEL ; NTI - NOUVELLE TECHNOLOGIE DE L'INFORMATION ; MUTATION TECHNOLOGIQUE ; CONDITION DE TRAVAIL ; ORGANISATION DU TRAVAIL ; BESOIN EN EDUCATION ; ORGANISATION QUALIFIANTE ; FRANCERésumé : This article analyses how artificial intelligence (AI) can transform work, considering both the potential of this technology and its limits. The sectoral approach adopted, focusing on the health, transport and banking sectors, allows for a detailed analysis of both the opportunities and risks as well as the evolution of tasks, learning dynamics, and changes in working conditions and management practices. The analysis shows that the tasks making up jobs in these sectors cannot always be automated with AI and that in many cases AI-based devices are used in a way that is complimentary to the skills of human workers. For this reason, and irrespective of the impact of AI on the overall level of employment, the analysis shows that the deployment of AI depends on continuous learning and skills development. The article concludes by arguing that learning forms of work organization are best suited for fostering complementarity between the machine and the human. Document Céreq : Non En ligne : https://www.cairn.info/revue-d-economie-industrielle-2020-1-page-57.htm Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=68393
Titre : Les organisations du travail apprenantes : enjeux et défis pour la France Type de document : document électronique Auteurs : Salima Benhamou ; Edward Lorenz Editeur : Paris : France Stratégie Année de publication : 2020 Collection : Document de travail num. 2020-03 Importance : 114 p Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
ORGANISATION QUALIFIANTE ; ORGANISATION DU TRAVAIL ; TOYOTISME ; FRANCE ; EUROPE ; QUALITE ; INNOVATION ; SYSTEME EDUCATIFRésumé : On distingue aujourd’hui quatre grands modèles d’organisation du travail. À côté des deux formes traditionnelles dites taylorienne et simple sont apparues deux formes modernes, dites apprenante et lean production. Dans les organisations du travail apprenantes, les salariés sont souvent polyvalents, participent activement à l’élaboration des objectifs avec la hiérarchie, apprennent en continu et disposent d’une forte autonomie. France Stratégie publie des analyses de fond, et des études de prospective à moyen et long termes pour contribuer à la décision publique et à l’information de l’opinion. Tous les agents de France Stratégie et la plupart de leurs interlocuteurs sont en télétravail, ce qui nous permet d’assurer la continuité de cette mission tout en respectant les consignes de confinement. Nous sommes ainsi en mesure d’achever et de publier les travaux engagés avant la crise sanitaire. Nous lançons en parallèle de nouveaux travaux qui prendront en compte la crise elle-même et ses conséquences.Dans la lean production, cette autonomie est plus encadrée, avec des processus standardisés et de fortes contraintes de rythme de travail. Les organisations tayloriennes et simples se caractérisent de leur côté par une autonomie limitée des salariés, une grande répétitivité des tâches et un faible apprentissage dans le travail avec des procédures de travail moins formalisées pour les structures simples. Chacun de ces modèles a évidemment des implications pour les entreprises comme pour les salariés. Les pratiques organisationnelles et managériales inspirées du modèle apprenant apparaissent bénéfiques aux unes comme aux autres, dans la mesure où elles favorisent la qualité du travail, le développement des compétences et la diffusion des innovations. Plusieurs pays d’Europe du Nord ont mis en place de longue date des programmes pour encourager ce modèle. En France, la question de l’organisation du travail est souvent ignorée ou sous-estimée dans les politiques publiques, parce que les modalités de mise en Å“uvre sont difficiles à identifier ou parce qu’elles sont considérées comme la « boîte noire » de l’entreprise. L’étude de France Stratégie ici résumée entend ouvrir cette « boîte noire » pour mieux appréhender les liens entre organisation du travail, qualité du travail et diffusion des innovations, à partir de l’enquête européenne EWCS (European Working Conditions Survey) menée tous les cinq ans auprès des salariés dans les États membres de l’Union européenne. Il ressort de cette étude que la France, par rapport à la moyenne européenne, compte une proportion plus élevée de salariés du secteur privé travaillant dans une organisation apprenante (43 % vs 40 %) ou en lean production (32 % vs 27 %). À l’inverse, la proportion de salariés français travaillant dans une organisation taylorienne (12 % vs 15 %) ou dans une structure simple (13 % vs 18 %) est plus faible que la moyenne. Pour la proportion de salariés en organisations apprenantes, la France se situe certes au niveau de l’Allemagne (45 %), mais loin derrière les pays nordiques et les Pays-Bas (entre 54 % et 62 %). Qui plus est, la dynamique sur la décennie 2005-2015 semble plus favorable en France à la lean production (+10 points de salariés concernés) qu’à l’organisation apprenante (-3 points sur la période). L’étude de France Stratégie tend par ailleurs à confirmer que l’organisation apprenante conduit à une meilleure qualité de travail, une fois contrôlés la profession et la catégorie sociale des salariés, la taille et le secteur d’activité de l’entreprise. Inscrire la promotion de ce modèle à l’agenda des réformes, en France comme en Europe, serait un moyen de répondre aux défis d’une ampleur inégalée qui s’annoncent à l’horizon 2030. Cela permettrait tout d’abord de développer chez les salariés la capacité d’apprentissage et le niveau d’autonomie au travail, l’esprit critique et l’aptitude à résoudre des problèmes complexes – autant de compétences cognitives, organisationnelles et sociales de plus en demandées sur le marché du travail. De manière plus générale, les innovations organisationnelles et managériales inspirées du modèle apprenant gagneraient à être appréhendées comme des leviers stratégiques en faveur du progrès économique, technologique et social. L’étude avance plusieurs recommandations pour accompagner les entreprises françaises qui cherchent à améliorer leur performance en matière d’innovation et à développer les compétences des salariés et la qualité du management. Document Céreq : Non En ligne : https://www.strategie.gouv.fr/publications/organisations-travail-apprenantes-enj [...] Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=67118 Les organisations du travail apprenantes : enjeux et défis pour la France [document électronique] / Salima Benhamou ; Edward Lorenz . - Paris : France Stratégie, 2020 . - 114 p. - (Document de travail; 2020-03) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Thésaurus CEREQ
ORGANISATION QUALIFIANTE ; ORGANISATION DU TRAVAIL ; TOYOTISME ; FRANCE ; EUROPE ; QUALITE ; INNOVATION ; SYSTEME EDUCATIFRésumé : On distingue aujourd’hui quatre grands modèles d’organisation du travail. À côté des deux formes traditionnelles dites taylorienne et simple sont apparues deux formes modernes, dites apprenante et lean production. Dans les organisations du travail apprenantes, les salariés sont souvent polyvalents, participent activement à l’élaboration des objectifs avec la hiérarchie, apprennent en continu et disposent d’une forte autonomie. France Stratégie publie des analyses de fond, et des études de prospective à moyen et long termes pour contribuer à la décision publique et à l’information de l’opinion. Tous les agents de France Stratégie et la plupart de leurs interlocuteurs sont en télétravail, ce qui nous permet d’assurer la continuité de cette mission tout en respectant les consignes de confinement. Nous sommes ainsi en mesure d’achever et de publier les travaux engagés avant la crise sanitaire. Nous lançons en parallèle de nouveaux travaux qui prendront en compte la crise elle-même et ses conséquences.Dans la lean production, cette autonomie est plus encadrée, avec des processus standardisés et de fortes contraintes de rythme de travail. Les organisations tayloriennes et simples se caractérisent de leur côté par une autonomie limitée des salariés, une grande répétitivité des tâches et un faible apprentissage dans le travail avec des procédures de travail moins formalisées pour les structures simples. Chacun de ces modèles a évidemment des implications pour les entreprises comme pour les salariés. Les pratiques organisationnelles et managériales inspirées du modèle apprenant apparaissent bénéfiques aux unes comme aux autres, dans la mesure où elles favorisent la qualité du travail, le développement des compétences et la diffusion des innovations. Plusieurs pays d’Europe du Nord ont mis en place de longue date des programmes pour encourager ce modèle. En France, la question de l’organisation du travail est souvent ignorée ou sous-estimée dans les politiques publiques, parce que les modalités de mise en Å“uvre sont difficiles à identifier ou parce qu’elles sont considérées comme la « boîte noire » de l’entreprise. L’étude de France Stratégie ici résumée entend ouvrir cette « boîte noire » pour mieux appréhender les liens entre organisation du travail, qualité du travail et diffusion des innovations, à partir de l’enquête européenne EWCS (European Working Conditions Survey) menée tous les cinq ans auprès des salariés dans les États membres de l’Union européenne. Il ressort de cette étude que la France, par rapport à la moyenne européenne, compte une proportion plus élevée de salariés du secteur privé travaillant dans une organisation apprenante (43 % vs 40 %) ou en lean production (32 % vs 27 %). À l’inverse, la proportion de salariés français travaillant dans une organisation taylorienne (12 % vs 15 %) ou dans une structure simple (13 % vs 18 %) est plus faible que la moyenne. Pour la proportion de salariés en organisations apprenantes, la France se situe certes au niveau de l’Allemagne (45 %), mais loin derrière les pays nordiques et les Pays-Bas (entre 54 % et 62 %). Qui plus est, la dynamique sur la décennie 2005-2015 semble plus favorable en France à la lean production (+10 points de salariés concernés) qu’à l’organisation apprenante (-3 points sur la période). L’étude de France Stratégie tend par ailleurs à confirmer que l’organisation apprenante conduit à une meilleure qualité de travail, une fois contrôlés la profession et la catégorie sociale des salariés, la taille et le secteur d’activité de l’entreprise. Inscrire la promotion de ce modèle à l’agenda des réformes, en France comme en Europe, serait un moyen de répondre aux défis d’une ampleur inégalée qui s’annoncent à l’horizon 2030. Cela permettrait tout d’abord de développer chez les salariés la capacité d’apprentissage et le niveau d’autonomie au travail, l’esprit critique et l’aptitude à résoudre des problèmes complexes – autant de compétences cognitives, organisationnelles et sociales de plus en demandées sur le marché du travail. De manière plus générale, les innovations organisationnelles et managériales inspirées du modèle apprenant gagneraient à être appréhendées comme des leviers stratégiques en faveur du progrès économique, technologique et social. L’étude avance plusieurs recommandations pour accompagner les entreprises françaises qui cherchent à améliorer leur performance en matière d’innovation et à développer les compétences des salariés et la qualité du management. Document Céreq : Non En ligne : https://www.strategie.gouv.fr/publications/organisations-travail-apprenantes-enj [...] Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=67118 Documents numériques
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fs-2020-dt-organisations-du-travail-avril.pdfAdobe Acrobat PDF
Titre : Intelligence artificielle et travail Type de document : document électronique Auteurs : Guillaume Thibault, Collaborateur ; Agnès Bocognano, Collaborateur ; Lionel Janin ; Salima Benhamou ; Julia Charrié, Collaborateur Editeur : Paris : France Stratégie Année de publication : 2018 Collection : Rapport Importance : 85 p. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
RAPPORT ; TRAVAIL ; INTELLIGENCE ARTIFICIELLE ; MUTATION TECHNOLOGIQUE ; ROBOTIQUE ; NTI - NOUVELLE TECHNOLOGIE DE L'INFORMATION ; TRANSPORT-MANUTENTION ; METIER DU TRANSPORT-MANUTENTION ; BANQUE ; METIER DES BANQUES-ASSURANCES ; SANTE ; METIER DE LA SANTE ; EVOLUTION DES QUALIFICATIONS ; CHANGEMENT ORGANISATIONNEL ; GESTION PREVISIONNELLE ; BESOIN EN EDUCATION ; SECURISATION DES PARCOURS PROFESSIONNELS ; ETUDE PROSPECTIVE ; FRANCERésumé : L'intelligence artificielle conduira à des transformations profondes du travail. Le rapport analyse trois secteurs, transports, bancaire et santé, et élabore des scénarios d'évolution et propose des pistes d'action. Il identifie trois axes pour répondre aux enjeux soulevés par l'intelligence artificielle en matière de travail : conduire, à l'échelle de la branche ou de la filière, des travaux de prospective sur le potentiel de l'intelligence artificielle, pour assurer un bon niveau d'information et d'anticipation des acteurs ; assurer la formation des travailleurs aux enjeux de demain : former des travailleurs très qualifiés pour produire l'intelligence artificielle, et des travailleurs conscients des enjeux techniques, juridiques, économiques ou éthiques que posent le recours à des outils à base d'intelligence artificielle ; renforcer des dispositifs de sécurisation des parcours professionnels pour les quelques secteurs ou sous-secteurs qui seraient fortement impactés par le risque d'automatisation. Document Céreq : Non En ligne : https://www.vie-publique.fr/rapport/37237-intelligence-artificielle-et-travail Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=62318 Intelligence artificielle et travail [document électronique] / Guillaume Thibault, Collaborateur ; Agnès Bocognano, Collaborateur ; Lionel Janin ; Salima Benhamou ; Julia Charrié, Collaborateur . - Paris : France Stratégie, 2018 . - 85 p.. - (Rapport) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Thésaurus CEREQ
RAPPORT ; TRAVAIL ; INTELLIGENCE ARTIFICIELLE ; MUTATION TECHNOLOGIQUE ; ROBOTIQUE ; NTI - NOUVELLE TECHNOLOGIE DE L'INFORMATION ; TRANSPORT-MANUTENTION ; METIER DU TRANSPORT-MANUTENTION ; BANQUE ; METIER DES BANQUES-ASSURANCES ; SANTE ; METIER DE LA SANTE ; EVOLUTION DES QUALIFICATIONS ; CHANGEMENT ORGANISATIONNEL ; GESTION PREVISIONNELLE ; BESOIN EN EDUCATION ; SECURISATION DES PARCOURS PROFESSIONNELS ; ETUDE PROSPECTIVE ; FRANCERésumé : L'intelligence artificielle conduira à des transformations profondes du travail. Le rapport analyse trois secteurs, transports, bancaire et santé, et élabore des scénarios d'évolution et propose des pistes d'action. Il identifie trois axes pour répondre aux enjeux soulevés par l'intelligence artificielle en matière de travail : conduire, à l'échelle de la branche ou de la filière, des travaux de prospective sur le potentiel de l'intelligence artificielle, pour assurer un bon niveau d'information et d'anticipation des acteurs ; assurer la formation des travailleurs aux enjeux de demain : former des travailleurs très qualifiés pour produire l'intelligence artificielle, et des travailleurs conscients des enjeux techniques, juridiques, économiques ou éthiques que posent le recours à des outils à base d'intelligence artificielle ; renforcer des dispositifs de sécurisation des parcours professionnels pour les quelques secteurs ou sous-secteurs qui seraient fortement impactés par le risque d'automatisation. Document Céreq : Non En ligne : https://www.vie-publique.fr/rapport/37237-intelligence-artificielle-et-travail Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=62318 Documents numériques
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France-strategies-2018-184000171.pdfAdobe Acrobat PDFImaginer l’avenir du travail - Quatre types d’organisation du travail à l’horizon 2030 / Salima Benhamou (2017)
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Titre : Imaginer l’avenir du travail - Quatre types d’organisation du travail à l’horizon 2030 Type de document : document électronique Auteurs : Salima Benhamou Editeur : Paris : France Stratégie Année de publication : 2017 Collection : Document de travail num. 2017-05 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
ORGANISATION D'ENTREPRISE ; ORGANISATION DU TRAVAIL ; ORGANISATION QUALIFIANTE ; DIVISION DU TRAVAIL ; TAYLORISME ; TOYOTISME ; INTERNET ; MUTATION TECHNOLOGIQUE ; TRAVAIL ; ETUDE PROSPECTIVE ; PROSPECTIVE ; TRAVAIL INTERIMAIRE ; RAPPORT ; FRANCEMots-clés : Plateforme collaborative Résumé : Une façon novatrice d’aborder la question du travail de demain consiste à interroger les modes d’organisation des entreprises. Ces formes d’organisation ont contribué à façonner le monde d’aujourd’hui, et leur évolution est porteuse de profonds changements à la fois pour les travailleurs, pour l’économie et pour la société dans son ensemble. L’avenir du travail peut largement se lire dans les mutations de l’organisation du travail. Ce qui a marqué l’entrée dans la révolution industrielle, c’est moins la diffusion des machines que la généralisation de la division des tâches, laquelle annonçait l’avènement du travail de masse. De même, c’est d’abord le déclin du taylorisme dans les années 1970 qui a signalé la sortie de l’ère industrielle. Mais pour quelles raisons les entreprises décident-elles de changer leur organisation du travail ? Essentiellement pour gagner en performance dans un contexte donné. Si la parcellisation des tâches s’est imposée, c’est parce qu’elle permettait de produire plus et à moindre coût. Une organisation du travail performante est non seulement un gage d’adaptation à l’environnement économique, mais aussi un moyen de créer de nouveaux marchés et de s’imposer comme le leader sur son segment. À l’inverse, le mode d’organisation retenu est aussi tributaire des possibilités technologiques existantes et du niveau de formation de la main-d’œuvre. La division des tâches a certes accru la performance mais l’adoption des machines industrielles a permis de pousser le modèle jusqu’à sa limite : c’est ainsi que l’on est passé de la petite manufacture d’épingles chère à Adam Smith aux gigantesques lignes d’assemblage mises en Å“uvre par Henry Ford. De même, la décomposition du travail en tâches simples et la restriction de l’autonomie des salariés pouvaient paraître adéquates dans un contexte de faible niveau d’éducation, mais à mesure que ce niveau s’élève, les entreprises peuvent – donc doivent – introduire des formes d’organisation plus complexes, faisant appel à l’initiative et aux capacités cognitives des travailleurs. Document Céreq : Non En ligne : http://www.strategie.gouv.fr/document-de-travail/imaginer-lavenir-travail-quatre [...] Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=60116 Imaginer l’avenir du travail - Quatre types d’organisation du travail à l’horizon 2030 [document électronique] / Salima Benhamou . - Paris : France Stratégie, 2017. - (Document de travail; 2017-05) .
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Catégories : Thésaurus CEREQ
ORGANISATION D'ENTREPRISE ; ORGANISATION DU TRAVAIL ; ORGANISATION QUALIFIANTE ; DIVISION DU TRAVAIL ; TAYLORISME ; TOYOTISME ; INTERNET ; MUTATION TECHNOLOGIQUE ; TRAVAIL ; ETUDE PROSPECTIVE ; PROSPECTIVE ; TRAVAIL INTERIMAIRE ; RAPPORT ; FRANCEMots-clés : Plateforme collaborative Résumé : Une façon novatrice d’aborder la question du travail de demain consiste à interroger les modes d’organisation des entreprises. Ces formes d’organisation ont contribué à façonner le monde d’aujourd’hui, et leur évolution est porteuse de profonds changements à la fois pour les travailleurs, pour l’économie et pour la société dans son ensemble. L’avenir du travail peut largement se lire dans les mutations de l’organisation du travail. Ce qui a marqué l’entrée dans la révolution industrielle, c’est moins la diffusion des machines que la généralisation de la division des tâches, laquelle annonçait l’avènement du travail de masse. De même, c’est d’abord le déclin du taylorisme dans les années 1970 qui a signalé la sortie de l’ère industrielle. Mais pour quelles raisons les entreprises décident-elles de changer leur organisation du travail ? Essentiellement pour gagner en performance dans un contexte donné. Si la parcellisation des tâches s’est imposée, c’est parce qu’elle permettait de produire plus et à moindre coût. Une organisation du travail performante est non seulement un gage d’adaptation à l’environnement économique, mais aussi un moyen de créer de nouveaux marchés et de s’imposer comme le leader sur son segment. À l’inverse, le mode d’organisation retenu est aussi tributaire des possibilités technologiques existantes et du niveau de formation de la main-d’œuvre. La division des tâches a certes accru la performance mais l’adoption des machines industrielles a permis de pousser le modèle jusqu’à sa limite : c’est ainsi que l’on est passé de la petite manufacture d’épingles chère à Adam Smith aux gigantesques lignes d’assemblage mises en Å“uvre par Henry Ford. De même, la décomposition du travail en tâches simples et la restriction de l’autonomie des salariés pouvaient paraître adéquates dans un contexte de faible niveau d’éducation, mais à mesure que ce niveau s’élève, les entreprises peuvent – donc doivent – introduire des formes d’organisation plus complexes, faisant appel à l’initiative et aux capacités cognitives des travailleurs. Document Céreq : Non En ligne : http://www.strategie.gouv.fr/document-de-travail/imaginer-lavenir-travail-quatre [...] Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=60116 Documents numériques
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Francestrategie-DT-imaginer_lavenir_du_travail_quatre_types_dorganisation_du_travail_a_lhorizon_2030_0.pdfAdobe Acrobat PDFQuel est l'impact des TIC sur les conditions de travail dans la fonction publique ? / Salima Benhamou in Note d'analyse, n° 318 (janvier 2013)
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PermalinkLes entretiens individuels d'évaluation / Salima Benhamou in Note d'analyse, n° 239 (septembre 2011)
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PermalinkParticipation des salariés et performance sociale : de nouveaux enjeux pour les entreprises françaises dans un contexte de sortie de crise / Salima Benhamou in Note d'analyse, n° 210 (janvier 2011)
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PermalinkParticipation des salariés et performance sociale : quels liens ? Quels enjeux ? / Salima Benhamou (2011)
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PermalinkAméliorer la gouvernance d'entreprise et la participation des salaries / Centre d'analyse stratégique (2010)
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PermalinkLes relations sociales en entreprise : Un portrait à partir des enquêtes Relations professionnelles et négociations d'entreprise / Salima Benhamou (2008)
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