
Détail de l'auteur
Auteur Serge Zilberman |
Documents disponibles écrits par cet auteur



La durée du travail des salariés à temps complet / Mathilde Pak in Dares Analyses-Dares Indicateurs-Dares Résultats, n° 047 (Juillet 2013)
![]()
[article]
Titre : La durée du travail des salariés à temps complet Type de document : document électronique Auteurs : Mathilde Pak ; Serge Zilberman ; Claire Létroublon, Collaborateur Année de publication : 2013 Article en page(s) : 14 p. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
TEMPS DE TRAVAIL ; SALARIE ; COMPARAISON INTERNATIONALE ; FRANCE ; UNION EUROPEENNERésumé : En 2011, en France métropolitaine, les salariés à temps complet ont déclaré une durée habituelle hebdomadaire pour une semaine normale de travail de 39,5 heures, supérieure à la durée légale de 35 heures. En effet, certains salariés sont soumis à un horaire collectif supérieur à 35 heures (35,8 heures en moyenne) et réalisent des heures supplémentaires « structurelles », d’autres sont soumis à un forfait annuel en jours avec des durées quotidiennes travaillées plus longues. La durée annuelle effective intègre tous les éléments de variations individuelles du temps de travail sur l’année (heures supplémentaires conjoncturelles, modulation, congés, absences…). Depuis 2003, elle tend à augmenter et s’est établie à 1 683 heures en 2011 selon les déclarations des salariés à temps complet. En comparaison internationale, la durée habituelle hebdomadaire est une mesure du temps de travail plus fiable que la durée annuelle effective. Pour les salariés à temps complet, elle est en France l’une des plus faibles dans l’Union européenne à 15 pays (39,5 contre 40,3 heures en moyenne). Or elle est l’une des plus élevées pour les salariés à temps partiel et le taux de temps partiel y est relativement plus faible. Ainsi, pour l’ensemble des salariés, la durée habituelle hebdomadaire en France est supérieure à celle de l’Union européenne à 15 pays (36,6 contre 35,6 heures). (Résumé Dares)
Document Céreq : Non En savoir plus : sur le site de la Dares En ligne : http://travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/2013-047.pdf Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=51097
in Dares Analyses-Dares Indicateurs-Dares Résultats > n° 047 (Juillet 2013) . - 14 p.[article] La durée du travail des salariés à temps complet [document électronique] / Mathilde Pak ; Serge Zilberman ; Claire Létroublon, Collaborateur . - 2013 . - 14 p.
Langues : Français (fre)
in Dares Analyses-Dares Indicateurs-Dares Résultats > n° 047 (Juillet 2013) . - 14 p.
Catégories : Thésaurus CEREQ
TEMPS DE TRAVAIL ; SALARIE ; COMPARAISON INTERNATIONALE ; FRANCE ; UNION EUROPEENNERésumé : En 2011, en France métropolitaine, les salariés à temps complet ont déclaré une durée habituelle hebdomadaire pour une semaine normale de travail de 39,5 heures, supérieure à la durée légale de 35 heures. En effet, certains salariés sont soumis à un horaire collectif supérieur à 35 heures (35,8 heures en moyenne) et réalisent des heures supplémentaires « structurelles », d’autres sont soumis à un forfait annuel en jours avec des durées quotidiennes travaillées plus longues. La durée annuelle effective intègre tous les éléments de variations individuelles du temps de travail sur l’année (heures supplémentaires conjoncturelles, modulation, congés, absences…). Depuis 2003, elle tend à augmenter et s’est établie à 1 683 heures en 2011 selon les déclarations des salariés à temps complet. En comparaison internationale, la durée habituelle hebdomadaire est une mesure du temps de travail plus fiable que la durée annuelle effective. Pour les salariés à temps complet, elle est en France l’une des plus faibles dans l’Union européenne à 15 pays (39,5 contre 40,3 heures en moyenne). Or elle est l’une des plus élevées pour les salariés à temps partiel et le taux de temps partiel y est relativement plus faible. Ainsi, pour l’ensemble des salariés, la durée habituelle hebdomadaire en France est supérieure à celle de l’Union européenne à 15 pays (36,6 contre 35,6 heures). (Résumé Dares)
Document Céreq : Non En savoir plus : sur le site de la Dares En ligne : http://travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/2013-047.pdf Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=51097 Les relations sociales en entreprise : Un portrait à partir des enquêtes Relations professionnelles et négociations d'entreprise / Salima Benhamou (2008)
Titre : Les relations sociales en entreprise : Un portrait à partir des enquêtes Relations professionnelles et négociations d'entreprise : REPONSE 1992-1993, 1998-1999 et 2004-2005 Type de document : texte imprimé Auteurs : Salima Benhamou ; Catherine Bloch-London, Editeur scientifique ; Michel Lallement, Préfacier, etc. ; Thomas Amossé, Editeur scientifique ; Loup Wolff, Editeur scientifique ; Steve Jefferys ; Thomas Coutrot ; Etienne Penissat ; Jérôme Pélisse ; Valérie Ulrich ; Serge Zilberman ; Jean-Marie Pernot ; Maria-Teresa Pignoni ; Olivier Jacod ; Martine Lurol ; Hervé Defalvard ; Guillaume Desage ; Danièle Guillemot ; Evelyne Polzhuber ; Sophie Béroud ; Jean-Michel Denis ; Baptiste Giraud ; Alexandre Carlier ; Patrice Laroche ; Heidi Wechtler ; Corinne Perraudin ; Héloïse Petit ; Nadine Thévenot ; Antoine Rebérioux ; Julie Valentin ; Patrick Pommier ; Philippe Zamora ; Thierry Colin ; Benoît Grasser ; Jean-Louis Dayan ; Antoine Valeyre ; Hélène Chaput ; Delphine Brochard ; David Marsden ; Richard Belfield Editeur : Paris : La Découverte Année de publication : 2008 Collection : Recherches Importance : 451 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7071-5312-8 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
CONFLIT DU TRAVAIL ; FEMME ; FORMATION PROFESSIONNELLE EN ENTREPRISE ; GESTION PREVISIONNELLE ; LEGISLATION DU TRAVAIL ; NEGOCIATION COLLECTIVE ; ORGANISATION DU TRAVAIL ; ORGANISATION SYNDICALE ; POLITIQUE SALARIALE D'ENTREPRISE ; PRATIQUE DE GRH ; REDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL ; RELATIONS PROFESSIONNELLES ; REPRESENTANT DU PERSONNEL ; ENQUETE REPONSE ; ETUDE HISTORIQUE ; FRANCE ; ROYAUME UNIRésumé : Synthèse des multiples problématiques qui composent aujourd'hui le champ des relations professionnelles, l'originalité de ce «portrait» est de faire aussi bien appel à des experts issus de la recherche académique qu'à ceux de l'administration. L'ensemble des contributions est articulée autour d'un dispositif central : la série des enquêtes REPONSE, menée par la DARES qui fournit pour la troisième fois une photographie de la situation sociale des entreprises. Méthodologie unique dans le système statistique français, cette enquête permet de croiser les points de vue des acteurs en interrogeant dans les mêmes établissements à la fois un représentant de la direction, un représentant du personnel (lorsqu'il y en a un) et un échantillon de salariés. Cinq parties proposent un dialogue entre domaines de recherche et approches pluridisciplinaires : après une description détaillée et critique du dispositif REPONSE, la deuxième partie dresse l'état de la connaissance sur l'impact des transformations économiques, juridiques et politiques sur les relations sociales depuis quinze ans. Puis l'on entre plus directement sur les lieux de travail en examinant l'activité concrète des représentants du personnel. La quatrième partie explore les modes d'organisation du travail et de gestion des ressources humaines. Enfin, est abordée la question du lien entre relations sociales et politiques de rémunération. (4ème de couv.)
Période couverte par le document : 1992-2005Document Céreq : Non En savoir plus : Compte rendu par Laurence Baraldi dans Économies et Sociétés, tome XLIV, juillet 2010 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=35316 Les relations sociales en entreprise : Un portrait à partir des enquêtes Relations professionnelles et négociations d'entreprise : REPONSE 1992-1993, 1998-1999 et 2004-2005 [texte imprimé] / Salima Benhamou ; Catherine Bloch-London, Editeur scientifique ; Michel Lallement, Préfacier, etc. ; Thomas Amossé, Editeur scientifique ; Loup Wolff, Editeur scientifique ; Steve Jefferys ; Thomas Coutrot ; Etienne Penissat ; Jérôme Pélisse ; Valérie Ulrich ; Serge Zilberman ; Jean-Marie Pernot ; Maria-Teresa Pignoni ; Olivier Jacod ; Martine Lurol ; Hervé Defalvard ; Guillaume Desage ; Danièle Guillemot ; Evelyne Polzhuber ; Sophie Béroud ; Jean-Michel Denis ; Baptiste Giraud ; Alexandre Carlier ; Patrice Laroche ; Heidi Wechtler ; Corinne Perraudin ; Héloïse Petit ; Nadine Thévenot ; Antoine Rebérioux ; Julie Valentin ; Patrick Pommier ; Philippe Zamora ; Thierry Colin ; Benoît Grasser ; Jean-Louis Dayan ; Antoine Valeyre ; Hélène Chaput ; Delphine Brochard ; David Marsden ; Richard Belfield . - Paris : La Découverte, 2008 . - 451 p.. - (Recherches) .
ISBN : 978-2-7071-5312-8
Langues : Français (fre)
Catégories : Thésaurus CEREQ
CONFLIT DU TRAVAIL ; FEMME ; FORMATION PROFESSIONNELLE EN ENTREPRISE ; GESTION PREVISIONNELLE ; LEGISLATION DU TRAVAIL ; NEGOCIATION COLLECTIVE ; ORGANISATION DU TRAVAIL ; ORGANISATION SYNDICALE ; POLITIQUE SALARIALE D'ENTREPRISE ; PRATIQUE DE GRH ; REDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL ; RELATIONS PROFESSIONNELLES ; REPRESENTANT DU PERSONNEL ; ENQUETE REPONSE ; ETUDE HISTORIQUE ; FRANCE ; ROYAUME UNIRésumé : Synthèse des multiples problématiques qui composent aujourd'hui le champ des relations professionnelles, l'originalité de ce «portrait» est de faire aussi bien appel à des experts issus de la recherche académique qu'à ceux de l'administration. L'ensemble des contributions est articulée autour d'un dispositif central : la série des enquêtes REPONSE, menée par la DARES qui fournit pour la troisième fois une photographie de la situation sociale des entreprises. Méthodologie unique dans le système statistique français, cette enquête permet de croiser les points de vue des acteurs en interrogeant dans les mêmes établissements à la fois un représentant de la direction, un représentant du personnel (lorsqu'il y en a un) et un échantillon de salariés. Cinq parties proposent un dialogue entre domaines de recherche et approches pluridisciplinaires : après une description détaillée et critique du dispositif REPONSE, la deuxième partie dresse l'état de la connaissance sur l'impact des transformations économiques, juridiques et politiques sur les relations sociales depuis quinze ans. Puis l'on entre plus directement sur les lieux de travail en examinant l'activité concrète des représentants du personnel. La quatrième partie explore les modes d'organisation du travail et de gestion des ressources humaines. Enfin, est abordée la question du lien entre relations sociales et politiques de rémunération. (4ème de couv.)
Période couverte par le document : 1992-2005Document Céreq : Non En savoir plus : Compte rendu par Laurence Baraldi dans Économies et Sociétés, tome XLIV, juillet 2010 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=35316 Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1021781 O-279-08 Ouvrage CEREQ Bibliothèque Sorti jusqu'au 22/12/2014 De plus en plus d'emplois à temps partiel au cours des vingt-cinq dernières années. / Valérie Ulrich in Premières Informations et Premières Synthèses, n° 39.3 (septembre 2007)
![]()
[article]
Titre : De plus en plus d'emplois à temps partiel au cours des vingt-cinq dernières années. Type de document : texte imprimé Auteurs : Valérie Ulrich ; Serge Zilberman ; France. Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques-DARES (Paris) Année de publication : 2007 Article en page(s) : 7 p. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
SALARIE ; TRAVAIL A TEMPS PARTIEL ; DONNEE STATISTIQUE ; FRANCERésumé : En 2005, la part des salariés à temps partiel a plus que doublé par rapport au début des années quatre-vingt : 18 % contre 8 %. La montée en charge de l'activité féminine et la tertiarisation de l'économie n'expliquent mécaniquement qu'une part limitée de cette progression du salariat à temps partiel qui, notamment de 1992 à 2003, semble avoir davantage résulté de la mise en place de mesures de politique publique favorisant cette forme d'emploi. Si les salariés à temps partiel sont beaucoup plus nombreux qu'il y a vingt-cinq ans, l'emploi à temps partiel connaît nombre de constantes : il s'agit d'un emploi très majoritairement féminin, particulièrement développé dans le secteur des services, notamment chez les particuliers employeurs, ainsi que dans les collectivités locales. Les statuts restent en moyenne plus précaires que ceux des salariés à temps complet pour des emplois moins qualifiés. En 2005, la moitié des salariés à temps partiel percevait un salaire net mensuel inférieur à 753 _ . Près d'un salarié à temps partiel sur trois occupe son emploi faute d'en avoir trouvé un à temps complet et un salarié à temps partiel sur six occupe plusieurs emplois. (Source : Dares) En ligne : http://www.travail-emploi-sante.gouv.fr/IMG/pdf/2007.09-39.3.pdf Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=33453
in Premières Informations et Premières Synthèses > n° 39.3 (septembre 2007) . - 7 p.[article] De plus en plus d'emplois à temps partiel au cours des vingt-cinq dernières années. [texte imprimé] / Valérie Ulrich ; Serge Zilberman ; France. Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques-DARES (Paris) . - 2007 . - 7 p.
Langues : Français (fre)
in Premières Informations et Premières Synthèses > n° 39.3 (septembre 2007) . - 7 p.
Catégories : Thésaurus CEREQ
SALARIE ; TRAVAIL A TEMPS PARTIEL ; DONNEE STATISTIQUE ; FRANCERésumé : En 2005, la part des salariés à temps partiel a plus que doublé par rapport au début des années quatre-vingt : 18 % contre 8 %. La montée en charge de l'activité féminine et la tertiarisation de l'économie n'expliquent mécaniquement qu'une part limitée de cette progression du salariat à temps partiel qui, notamment de 1992 à 2003, semble avoir davantage résulté de la mise en place de mesures de politique publique favorisant cette forme d'emploi. Si les salariés à temps partiel sont beaucoup plus nombreux qu'il y a vingt-cinq ans, l'emploi à temps partiel connaît nombre de constantes : il s'agit d'un emploi très majoritairement féminin, particulièrement développé dans le secteur des services, notamment chez les particuliers employeurs, ainsi que dans les collectivités locales. Les statuts restent en moyenne plus précaires que ceux des salariés à temps complet pour des emplois moins qualifiés. En 2005, la moitié des salariés à temps partiel percevait un salaire net mensuel inférieur à 753 _ . Près d'un salarié à temps partiel sur trois occupe son emploi faute d'en avoir trouvé un à temps complet et un salarié à temps partiel sur six occupe plusieurs emplois. (Source : Dares) En ligne : http://www.travail-emploi-sante.gouv.fr/IMG/pdf/2007.09-39.3.pdf Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=33453 Six figures de l'emploi à temps partiel. / Valérie Ulrich in Premières Informations et Premières Synthèses, n° 39.4 (septembre 2007)
![]()
[article]
Titre : Six figures de l'emploi à temps partiel. Type de document : texte imprimé Auteurs : Valérie Ulrich ; Serge Zilberman ; France. Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques-DARES (Paris) Année de publication : 2007 Article en page(s) : 6 p. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
CLASSIFICATION D'EMPLOI ; STATUT ; TRAVAIL A TEMPS PARTIEL ; DONNEE STATISTIQUE ; FRANCERésumé : Les emplois à temps partiel ne constituent pas une catégorie homogène. La durée, les rythmes hebdomadaires de travail, ainsi que le statut de l'emploi permettent de dessiner une typologie des emplois à temps partiel en six grandes classes. Les temps partiels réguliers et de longue durée côtoient des emplois aux horaires atypiques et de faible durée hebdomadaire occupés par des salariés qui cumulent parfois plusieurs emplois. La première classe regroupe des salariés qui ont fait le choix du temps partiel pour s'occuper de leurs enfants. Les emplois sont stables et les horaires longs. On les trouve surtout dans la fonction publique et dans les banques. La deuxième regroupe, là encore, des emplois stables aux horaires longs, mais aux rythmes plus irréguliers. Ils s'exercent le plus souvent dans la santé, l'éducation ou le commerce. La troisième classe est constituée d'emplois de service aux particuliers, de faible durée mais avec des horaires réguliers. La quatrième réunit des salariés qui travaillent souvent six jours par semaine, chez plusieurs employeurs, sur des emplois non qualifiés. La cinquième classe regroupe des jeunes salariés occupant un emploi de courte durée, avec des horaires irréguliers. Enfin, la dernière classe est constituée de contrats aidés. (Source : Dares) En ligne : http://www.travail-emploi-sante.gouv.fr/IMG/pdf/2007.09-39.4.pdf Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=33454
in Premières Informations et Premières Synthèses > n° 39.4 (septembre 2007) . - 6 p.[article] Six figures de l'emploi à temps partiel. [texte imprimé] / Valérie Ulrich ; Serge Zilberman ; France. Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques-DARES (Paris) . - 2007 . - 6 p.
Langues : Français (fre)
in Premières Informations et Premières Synthèses > n° 39.4 (septembre 2007) . - 6 p.
Catégories : Thésaurus CEREQ
CLASSIFICATION D'EMPLOI ; STATUT ; TRAVAIL A TEMPS PARTIEL ; DONNEE STATISTIQUE ; FRANCERésumé : Les emplois à temps partiel ne constituent pas une catégorie homogène. La durée, les rythmes hebdomadaires de travail, ainsi que le statut de l'emploi permettent de dessiner une typologie des emplois à temps partiel en six grandes classes. Les temps partiels réguliers et de longue durée côtoient des emplois aux horaires atypiques et de faible durée hebdomadaire occupés par des salariés qui cumulent parfois plusieurs emplois. La première classe regroupe des salariés qui ont fait le choix du temps partiel pour s'occuper de leurs enfants. Les emplois sont stables et les horaires longs. On les trouve surtout dans la fonction publique et dans les banques. La deuxième regroupe, là encore, des emplois stables aux horaires longs, mais aux rythmes plus irréguliers. Ils s'exercent le plus souvent dans la santé, l'éducation ou le commerce. La troisième classe est constituée d'emplois de service aux particuliers, de faible durée mais avec des horaires réguliers. La quatrième réunit des salariés qui travaillent souvent six jours par semaine, chez plusieurs employeurs, sur des emplois non qualifiés. La cinquième classe regroupe des jeunes salariés occupant un emploi de courte durée, avec des horaires irréguliers. Enfin, la dernière classe est constituée de contrats aidés. (Source : Dares) En ligne : http://www.travail-emploi-sante.gouv.fr/IMG/pdf/2007.09-39.4.pdf Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=33454 La réduction du temps de travail : révélateur et source de développement des relations professionnelles en entreprise. / Valérie Ulrich in Premières Informations et Premières Synthèses, n° 03.2 (janvier 2007)
![]()
[article]
Titre : La réduction du temps de travail : révélateur et source de développement des relations professionnelles en entreprise. Type de document : texte imprimé Auteurs : Valérie Ulrich ; Serge Zilberman ; France. Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques-DARES (Paris) Année de publication : 2007 Article en page(s) : 7 p. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
LEGISLATION DU TRAVAIL ; REDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL ; RELATIONS PROFESSIONNELLES ; ENQUETE ; FRANCERésumé : Ceux qui l'ont fait en 1999 ou avant se différenciaient beaucoup des autres en matière de relations professionnelles. Plus nombreux parmi les grandes entreprises, ils étaient les mieux dotés en délégués syndicaux et en institutions représentatives du personnel et ils le sont restés. Les entreprises ayant réduit la durée du travail tardivement ou ne l'ayant pas réduite, majoritairement de petite taille, en étaient le plus dépourvues. La RTT a révélé d'abord ces différences dans le degré d'institutionnalisation des relations professionnelles. Celles-ci semblent en effet avoir influencé la décision d'entrer précocement ou pas dans le dispositif. Dans un contexte d'institutionnalisation croissante des relations professionnelles en entreprise, la RTT a, par ailleurs, favorisé leur développement. En particulier, la présence d'institutions représentatives du personnel s'est renforcée de façon importante dans les établissements passés tardivement à 35 heures. En 2004, 17 % des établissements ayant procédé à une RTT en avaient modifié les modalités initiales. Comme pour la mise en oeuvre initiale de la RTT, le degré de formalisation des relations professionnelles de l'entreprise a joué de manière importante dans ce processus qui a consisté surtout à revoir l'aménagement du temps de travail. (Source : Dares) En ligne : http://www.travail-emploi-sante.gouv.fr/IMG/pdf/2007.01-03.2-2.pdf Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=31472
in Premières Informations et Premières Synthèses > n° 03.2 (janvier 2007) . - 7 p.[article] La réduction du temps de travail : révélateur et source de développement des relations professionnelles en entreprise. [texte imprimé] / Valérie Ulrich ; Serge Zilberman ; France. Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques-DARES (Paris) . - 2007 . - 7 p.
Langues : Français (fre)
in Premières Informations et Premières Synthèses > n° 03.2 (janvier 2007) . - 7 p.
Catégories : Thésaurus CEREQ
LEGISLATION DU TRAVAIL ; REDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL ; RELATIONS PROFESSIONNELLES ; ENQUETE ; FRANCERésumé : Ceux qui l'ont fait en 1999 ou avant se différenciaient beaucoup des autres en matière de relations professionnelles. Plus nombreux parmi les grandes entreprises, ils étaient les mieux dotés en délégués syndicaux et en institutions représentatives du personnel et ils le sont restés. Les entreprises ayant réduit la durée du travail tardivement ou ne l'ayant pas réduite, majoritairement de petite taille, en étaient le plus dépourvues. La RTT a révélé d'abord ces différences dans le degré d'institutionnalisation des relations professionnelles. Celles-ci semblent en effet avoir influencé la décision d'entrer précocement ou pas dans le dispositif. Dans un contexte d'institutionnalisation croissante des relations professionnelles en entreprise, la RTT a, par ailleurs, favorisé leur développement. En particulier, la présence d'institutions représentatives du personnel s'est renforcée de façon importante dans les établissements passés tardivement à 35 heures. En 2004, 17 % des établissements ayant procédé à une RTT en avaient modifié les modalités initiales. Comme pour la mise en oeuvre initiale de la RTT, le degré de formalisation des relations professionnelles de l'entreprise a joué de manière importante dans ce processus qui a consisté surtout à revoir l'aménagement du temps de travail. (Source : Dares) En ligne : http://www.travail-emploi-sante.gouv.fr/IMG/pdf/2007.01-03.2-2.pdf Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=31472 Comparaisons internationales de la durée du travail pour sept pays en 2004 : la place de la France. / Mireille Bruyère (2006)
PermalinkPermalinkEvaluation des politiques d'emploi : la deuxième génération des panels des bénéficiaires. / Serge Zilberman (2005)
![]()
PermalinkLa réduction du temps de travail. Des politiques aux pratiques. / Pierre Boisard in Problèmes politiques et sociaux, n° 889 (juin 2003)
PermalinkBilan de la politique de l’emploi en 2001 / France. Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques-DARES (Paris) in Dossiers de la DARES, n° 1/2003 (avril 2003)
PermalinkPermalinkBilan de la politique de l'emploi en 2000. / ANPE - AGENCE NATIONALE POUR L'EMPLOI in Dossiers de la DARES, n° 4-5/2001 (2002)
PermalinkPermalinkBilan de la politique de l'emploi en 1998 / France. Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques-DARES (Paris) in Dossiers de la DARES, n° 3-4/1999 (2000)
PermalinkPermalinkBilan de la politique de l'emploi en 1997. / Centre d'études de l'emploi (Noisy-le-Grand) in Dossiers de la DARES, n° 1-2/1998 (décembre 1998)
PermalinkPermalinkBilan de la politique de l'emploi en 1996 / France. Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques-DARES (Paris) in Dossiers de la DARES, n° 5-6 (décembre 1997)
PermalinkPermalinkBilan de la politique de l'emploi en 1995. Résultats et analyses des mesures pour l'emploi : emplois aidés, actions d'insertion et de formation, accompagnement des restructurations. / Association nationale pour la formation professionnelle des adultes (France) in Dossiers de la DARES, n° 8-9 (novembre 1996)
PermalinkApprentissage et contrat de qualification en 1995. / Antoine Chastand in PREMIERES SYNTHESES, n° 96-09-36-1 (septembre 1996)
PermalinkEmploi et chômage avant l'entrée en CES ou en SIFE. / Christine Charpail in PREMIERES SYNTHESES, n° 96-07-30-2 (juillet 1996)
PermalinkPermalinkLe chèque-emploi-service : un an d'expérimentation. / Serge Zilberman in PREMIERES INFORMATIONS, n° 502 (22 décembre 1995)
PermalinkL'évolution des emplois familiaux de 1992 à 1994. / Serge Zilberman in PREMIERES SYNTHESES, n° 109 (août 1995)
PermalinkLes effets des aides publiques à l'emploi des jeunes. Une comparaison contrat de qualification-"exo-jeunes". / Carole Tuchszirer in PREMIERES SYNTHESES, n° 26 (juin 1993)
PermalinkAccès à l'emploi et situation des jeunes 3 ans après la fin de leurs études / Florence Defresne (1993)
![]()
PermalinkEmploi, mesures jeunes et crédit-formation à l'issue des formations scolaires et de l'apprentissage / DELEGATION A LA FORMATION PROFESSIONNELLE.Paris (1992)
![]()
PermalinkLa difficile insertion professionnelle des jeunes / François Pottier in Bref, n° 58 (octobre 1990)
![]()
PermalinkLes trois premières années de vie active d'une cohorte de jeunes sortis en 1986 de l'enseignement secondaire (emploi, chômage, stages) / Serge Zilberman (1990)
![]()
PermalinkL'insertion professionnelle des jeunes. Typologie des itinéraires. (Enquête par panel téléphonique auprès d'une cohorte de jeunes sortis de l'enseignement secondaire en 1986). / Serge Zilberman (1989)
PermalinkLes sorties de l'enseignement secondaire en juin 1986. Deux ans après, où en sont-ils ? / Marie-Christine Combes in Bref, n° 37 (novembre 1988)
![]()
PermalinkPeut-on encore parler de l'insertion pour les jeunes sans formation ? / Luc Chevalier in Formation emploi, n° 23 (juillet-septembre 1988)
![]()
PermalinkL'efficacité du dispositif de formation des jeunes de 16 à 18 ans : contribution aux réflexions sur l'évaluation statistique de l'insertion professionnelle / Serge Zilberman in Formation emploi, n° 18 (avril-juin 1987)
![]()
PermalinkLes mesures pour l'insertion sociale et professionnelle des jeunes... / Françoise Amat in Bref, n° 12 (janvier février 1985)
![]()
Permalink