
Détail de l'auteur
Auteur Jean-Pierre Durand |
Documents disponibles écrits par cet auteur



Titre : La Sociologie filmique : Théories et pratiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Joyce Sebag ; Jean-Pierre Durand Editeur : Paris : CNRS Année de publication : 2020 Importance : 255 p ISBN/ISSN/EAN : 978-2-271-13397-7 Prix : 26 euros Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
SOCIOLOGIE ; AUDIOVISUEL ; CULTURE ; FRANCE ; METHODOLOGIE ; DEFINITION ; THEORIE ; PHOTOGRAPHEMots-clés : Image Cinéma Photographie Résumé : La Sociologie filmique propose une exploration des ressources intellectuelles offertes par l’hybridation de la sociologie et du cinéma : pratiquer la sociologie, ou d’autres sciences humaines, par l’image et le son. À l’ère de l’image, cet essai invite aux recherches sociologiques, non seulement par la maîtrise de la démarche de la discipline, mais aussi par l’apprentissage conjoint des techniques (prises de vues et de sons, dérushage, montage, etc.) et de l’écriture cinématographiques. La sociologie filmique participe ainsi à la reconnaissance du sensible et du point de vue situé, dans une discipline qui les a souvent tenus à l’écart. À partir d’exemples concrets et d’une riche iconographie, les auteurs analysent ce que signifie « penser par l’image », exposent les différentes phases de réalisation d’un documentaire sociologique, et questionnent au moyen du film sociologique les représentations du réel, et plus particulièrement ce qui demeure invisible dans le monde social. D’où un retour réflexif sur les théories et les pratiques exposées, pour mieux armer le sociologue-réalisateur de documentaires. (4ème de couv.) Document Céreq : Non Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=69557 La Sociologie filmique : Théories et pratiques [texte imprimé] / Joyce Sebag ; Jean-Pierre Durand . - Paris : CNRS, 2020 . - 255 p.
ISBN : 978-2-271-13397-7 : 26 euros
Langues : Français (fre)
Catégories : Thésaurus CEREQ
SOCIOLOGIE ; AUDIOVISUEL ; CULTURE ; FRANCE ; METHODOLOGIE ; DEFINITION ; THEORIE ; PHOTOGRAPHEMots-clés : Image Cinéma Photographie Résumé : La Sociologie filmique propose une exploration des ressources intellectuelles offertes par l’hybridation de la sociologie et du cinéma : pratiquer la sociologie, ou d’autres sciences humaines, par l’image et le son. À l’ère de l’image, cet essai invite aux recherches sociologiques, non seulement par la maîtrise de la démarche de la discipline, mais aussi par l’apprentissage conjoint des techniques (prises de vues et de sons, dérushage, montage, etc.) et de l’écriture cinématographiques. La sociologie filmique participe ainsi à la reconnaissance du sensible et du point de vue situé, dans une discipline qui les a souvent tenus à l’écart. À partir d’exemples concrets et d’une riche iconographie, les auteurs analysent ce que signifie « penser par l’image », exposent les différentes phases de réalisation d’un documentaire sociologique, et questionnent au moyen du film sociologique les représentations du réel, et plus particulièrement ce qui demeure invisible dans le monde social. D’où un retour réflexif sur les théories et les pratiques exposées, pour mieux armer le sociologue-réalisateur de documentaires. (4ème de couv.) Document Céreq : Non Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=69557 Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1023806 O-21-21 Ouvrage CEREQ Bibliothèque Sorti jusqu'au 17/06/2021
[article]
Titre : Produire low cost : Présentation du Corpus Type de document : texte imprimé Auteurs : Marnix Dressen ; Jean-Pierre Durand Année de publication : 2018 Article en page(s) : mis en ligne le 01 mai 2018 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
CONDITION DE TRAVAIL ; COUT DE LA MAIN D'OEUVRE ; TOYOTISME ; ENTREPRISE ; BRANCHE PROFESSIONNELLE ; TRANSPORT AERIEN ; TRANSPORT FERROVIAIRE ; INDUSTRIE AUTOMOBILE ; GRANDE DISTRIBUTION ; INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE ; FRANCEMots-clés : low cost Résumé : Le Corpus de ce numéro s’intéresse aux pratiques productives dans le low cost : comment le modèle low cost transforme les conditions d’emploi, de travail et de rémunération, non seulement dans les entreprises qui se réclament de ses principes, mais aussi dans toute la branche d’appartenance de celles-ci, par « contamination ». Quels sont alors les liens à établir entre la lean production, introduite depuis trois décennies dans les entreprises puis dans les administrations, et le low cost ? Par ailleurs, le modèle low cost bouscule les représentations et tend à transformer de larges secteurs de la population en consommateurs à la recherche permanente de la bonne affaire et du meilleur rapport qualité/prix. Il les incite dans tous les domaines à minimiser leur investissement et à en maximiser l’utilité, bref à les transformer en homo Å“conomicus. Est-il abusif d’attribuer au low cost une fonction qui évoquerait le « processus de civilisation » quant à une « transformation anthropologique » poussant certaines catégories sociales faiblement dotées en capital économique et/ou des individus habiles à manier l’Internet à toujours chercher le meilleur rapport qualité/prix en privilégiant le facteur prix ? Dans cette hypothèse, les consommateurs, qui sont aussi des travailleurs, « perdent le Nord », se satisfont de produits et de services de moindre qualité mais meilleur marché alors qu’eux-mêmes, en tant que salariés, n’ont guère intérêt à une stagnation, voire à une réduction de la masse salariale et à une dégradation des conditions d’emploi et du travail qui sont pourtant indissociables du low cost. Document Céreq : Non En ligne : http://journals.openedition.org/nrt/3487 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=62691
in La Nouvelle Revue du Travail > n° 12 (2018) . - mis en ligne le 01 mai 2018[article] Produire low cost : Présentation du Corpus [texte imprimé] / Marnix Dressen ; Jean-Pierre Durand . - 2018 . - mis en ligne le 01 mai 2018.
Langues : Français (fre)
in La Nouvelle Revue du Travail > n° 12 (2018) . - mis en ligne le 01 mai 2018
Catégories : Thésaurus CEREQ
CONDITION DE TRAVAIL ; COUT DE LA MAIN D'OEUVRE ; TOYOTISME ; ENTREPRISE ; BRANCHE PROFESSIONNELLE ; TRANSPORT AERIEN ; TRANSPORT FERROVIAIRE ; INDUSTRIE AUTOMOBILE ; GRANDE DISTRIBUTION ; INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE ; FRANCEMots-clés : low cost Résumé : Le Corpus de ce numéro s’intéresse aux pratiques productives dans le low cost : comment le modèle low cost transforme les conditions d’emploi, de travail et de rémunération, non seulement dans les entreprises qui se réclament de ses principes, mais aussi dans toute la branche d’appartenance de celles-ci, par « contamination ». Quels sont alors les liens à établir entre la lean production, introduite depuis trois décennies dans les entreprises puis dans les administrations, et le low cost ? Par ailleurs, le modèle low cost bouscule les représentations et tend à transformer de larges secteurs de la population en consommateurs à la recherche permanente de la bonne affaire et du meilleur rapport qualité/prix. Il les incite dans tous les domaines à minimiser leur investissement et à en maximiser l’utilité, bref à les transformer en homo Å“conomicus. Est-il abusif d’attribuer au low cost une fonction qui évoquerait le « processus de civilisation » quant à une « transformation anthropologique » poussant certaines catégories sociales faiblement dotées en capital économique et/ou des individus habiles à manier l’Internet à toujours chercher le meilleur rapport qualité/prix en privilégiant le facteur prix ? Dans cette hypothèse, les consommateurs, qui sont aussi des travailleurs, « perdent le Nord », se satisfont de produits et de services de moindre qualité mais meilleur marché alors qu’eux-mêmes, en tant que salariés, n’ont guère intérêt à une stagnation, voire à une réduction de la masse salariale et à une dégradation des conditions d’emploi et du travail qui sont pourtant indissociables du low cost. Document Céreq : Non En ligne : http://journals.openedition.org/nrt/3487 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=62691
[article]
Titre : Le revenu universel : De la diversité des mobiles à l’impossible débat Type de document : texte imprimé Auteurs : Mateo Alaluf ; Marie-Pierre Boucher ; Jean-Marie Harribey ; Sandra Laugier ; Raphaël Liogier ; Sabine Fortino ; Jean-Pierre Durand Année de publication : 2017 Article en page(s) : mis en ligne le 03 novembre 2017 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
REVENU MINIMUM ; FRANCE ; PROTECTION SOCIALE ; TRAVAIL ; INDEMNISATION DU CHOMAGEMots-clés : Revenu universel Résumé : Les réflexions de cette Controverse entre en résonance avec les articles du Corpus « Travailler plus ! » : si ce ceux-ci traitent des motivations et des engagements des travailleurs, il est apparu nécessaire d’interroger une société où les revenus des individus ne seraient plus directement liés au travail et comprendraient une partie plus ou moins importante qui leur serait distribuée par la collectivité. Comment fonder moralement et politiquement le droit à un tel revenu ou à une allocation universels ? Quels effets aurait un tel revenu universel sur la société ? Comment s’organiseraient les relations entre le travail et le non-travail ? Serait-ce la fin annoncée du travail ? Quels seraient les fondements économiques du revenu universel ? Comment penser les rapports entre les politiques publiques d’insertion des chômeurs avec leurs allocations afférentes et le revenu universel ? Celui-ci aurait-il des effets macro-économiques et lesquels ? Cinq chercheurs, économistes ou sociologues répondent à ces questions et argumentent en faveur ou contestent les principes ou la faisabilité d’un tel revenu universel. Document Céreq : Non En ligne : http://journals.openedition.org/nrt/3435 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=62530
in La Nouvelle Revue du Travail > n° 11 (2017) . - mis en ligne le 03 novembre 2017[article] Le revenu universel : De la diversité des mobiles à l’impossible débat [texte imprimé] / Mateo Alaluf ; Marie-Pierre Boucher ; Jean-Marie Harribey ; Sandra Laugier ; Raphaël Liogier ; Sabine Fortino ; Jean-Pierre Durand . - 2017 . - mis en ligne le 03 novembre 2017.
Langues : Français (fre)
in La Nouvelle Revue du Travail > n° 11 (2017) . - mis en ligne le 03 novembre 2017
Catégories : Thésaurus CEREQ
REVENU MINIMUM ; FRANCE ; PROTECTION SOCIALE ; TRAVAIL ; INDEMNISATION DU CHOMAGEMots-clés : Revenu universel Résumé : Les réflexions de cette Controverse entre en résonance avec les articles du Corpus « Travailler plus ! » : si ce ceux-ci traitent des motivations et des engagements des travailleurs, il est apparu nécessaire d’interroger une société où les revenus des individus ne seraient plus directement liés au travail et comprendraient une partie plus ou moins importante qui leur serait distribuée par la collectivité. Comment fonder moralement et politiquement le droit à un tel revenu ou à une allocation universels ? Quels effets aurait un tel revenu universel sur la société ? Comment s’organiseraient les relations entre le travail et le non-travail ? Serait-ce la fin annoncée du travail ? Quels seraient les fondements économiques du revenu universel ? Comment penser les rapports entre les politiques publiques d’insertion des chômeurs avec leurs allocations afférentes et le revenu universel ? Celui-ci aurait-il des effets macro-économiques et lesquels ? Cinq chercheurs, économistes ou sociologues répondent à ces questions et argumentent en faveur ou contestent les principes ou la faisabilité d’un tel revenu universel. Document Céreq : Non En ligne : http://journals.openedition.org/nrt/3435 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=62530
Titre : La fabrique de l’homme nouveau : Travailler, consommer, se taire ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Durand Editeur : Lormont : Le Bord de l'eau Année de publication : 2017 Collection : L'économie encastrée Importance : 329 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35687-541-9 Prix : 22 euros Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
TRAVAIL ; CONSOMMATION ; GESTION ; AUTONOMIE PROFESSIONNELLE ; ENCADREMENT ; EVALUATION ; REPRESENTATION DU TRAVAIL ; ECONOMIE DE MARCHE ; ETUDE CRITIQUE ; MUTATION TECHNOLOGIQUERésumé : La fabrique de l’homme nouveau montre la rupture anthropologique en cours dans le travail et dans la consommation du citoyen. L’avènement du lean management s’est accompagné d’une promotion verbale de l’autonomie et de la responsabilisation au travail pour tous. Mais les exigences du capitalisme ont renforcé l’encadrement des salariés (et des travailleurs « indépendants ») de bas en haut de l’édifice productif dans l’industrie et dans les services privés ou publics. Les résistances sont rares dans un contexte d’affaiblissement du syndicalisme : l’augmentation des charges de travail et le nouveau management (brutal sous des apparences participatives) ont conduit à une détérioration de la santé au travail et à la multiplication des suicides au travail. Les promesses d’autonomie et de satisfaction dans le travail ne sont pas tenues et les travailleurs doivent « réaménager » leur psychisme pour survivre. Il en est exactement de même dans la consommation où les engagements des offreurs sont très rarement remplis, en particulier dans les services (téléphonie, services internet, transports, VPC...) : le consommateur doit subir l’impersonnalité de ses correspondants (boîte vocale) et l’absence de réponse à ses réclamations, se soumettre à la mauvaise qualité du service et accepter de remodeler son esprit. Telles sont les conditions d’émergence de l’homme nouveau (déjà perçu par Gramsci comme pétri par le capitalisme) qui rétracte ses aspirations et à la liberté et au bonheur. Alliant les analyses micro-sociologiques aux causes macro-économiques, l’auteur déconstruit les concepts et les pratiques de l’évaluation, de la reconnaissance, du travail des clients, etc. Il conclut sur deux scénarios, l’un de régression sociale et l’autre d’un futur enchanté, sans oublier les questions de l’environnement ou de l’intensification des migrations internationales avant de débattre d’alternatives incertaines. (4ème de couv.) Document Céreq : Non Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=60946 La fabrique de l’homme nouveau : Travailler, consommer, se taire ? [texte imprimé] / Jean-Pierre Durand . - Lormont : Le Bord de l'eau, 2017 . - 329 p.. - (L'économie encastrée) .
ISBN : 978-2-35687-541-9 : 22 euros
Langues : Français (fre)
Catégories : Thésaurus CEREQ
TRAVAIL ; CONSOMMATION ; GESTION ; AUTONOMIE PROFESSIONNELLE ; ENCADREMENT ; EVALUATION ; REPRESENTATION DU TRAVAIL ; ECONOMIE DE MARCHE ; ETUDE CRITIQUE ; MUTATION TECHNOLOGIQUERésumé : La fabrique de l’homme nouveau montre la rupture anthropologique en cours dans le travail et dans la consommation du citoyen. L’avènement du lean management s’est accompagné d’une promotion verbale de l’autonomie et de la responsabilisation au travail pour tous. Mais les exigences du capitalisme ont renforcé l’encadrement des salariés (et des travailleurs « indépendants ») de bas en haut de l’édifice productif dans l’industrie et dans les services privés ou publics. Les résistances sont rares dans un contexte d’affaiblissement du syndicalisme : l’augmentation des charges de travail et le nouveau management (brutal sous des apparences participatives) ont conduit à une détérioration de la santé au travail et à la multiplication des suicides au travail. Les promesses d’autonomie et de satisfaction dans le travail ne sont pas tenues et les travailleurs doivent « réaménager » leur psychisme pour survivre. Il en est exactement de même dans la consommation où les engagements des offreurs sont très rarement remplis, en particulier dans les services (téléphonie, services internet, transports, VPC...) : le consommateur doit subir l’impersonnalité de ses correspondants (boîte vocale) et l’absence de réponse à ses réclamations, se soumettre à la mauvaise qualité du service et accepter de remodeler son esprit. Telles sont les conditions d’émergence de l’homme nouveau (déjà perçu par Gramsci comme pétri par le capitalisme) qui rétracte ses aspirations et à la liberté et au bonheur. Alliant les analyses micro-sociologiques aux causes macro-économiques, l’auteur déconstruit les concepts et les pratiques de l’évaluation, de la reconnaissance, du travail des clients, etc. Il conclut sur deux scénarios, l’un de régression sociale et l’autre d’un futur enchanté, sans oublier les questions de l’environnement ou de l’intensification des migrations internationales avant de débattre d’alternatives incertaines. (4ème de couv.) Document Céreq : Non Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=60946 Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1036110 O-160-17 Ouvrage CEREQ Bibliothèque Sorti jusqu'au 01/01/2018
Titre : Le piège de l’employabilité : Critique d’une notion au regard de ses usages sociaux Type de document : texte imprimé Auteurs : Guillaume Tiffon, dir. ; Frédéric Moatty, dir. ; Dominique Glaymann, dir. ; Jean-Pierre Durand, dir. Editeur : Rennes : Presses Universitaires de Rennes Année de publication : 2017 Collection : Des Sociétés Importance : 256 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7535-5474-0 Prix : 22 euros Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
EMPLOYABILITE ; DEFINITION ; ETUDE CRITIQUE ; EMPLOI ; POLITIQUE DE L'EMPLOI ; SOCIOLOGIE ; CHOMAGE ; TRAVAIL SALARIE ; INDIVIDUALISME ; CERTIFICATION ; FORMATION EN ALTERNANCE ; ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ; RECRUTEMENT ; UNIVERSITE ; FORMATION PROFESSIONNELLE ; INSERTION PROFESSIONNELLE ; INSERTION PAR L'ECONOMIQUE ; CHOMAGE DE LONGUE DUREE ; CONSEILLER PROFESSIONNEL ; ETHIQUE PROFESSIONNELLE ; JOURNALISTE ; FORME D'EMPLOI ; QUALIFICATION ; JEUNE ; DIPLOME ; FRANCE ; OPCA - ORGANISME PARITAIRE COLLECTEUR AGREE ; PARTENAIRES SOCIAUX ; RELATIONS PROFESSIONNELLES
Organisme Cité
POLE EMPLOIRésumé : L’employabilité est de plus en plus présente dans le langage médiatique, politique, syndical ou patronal. Favoriser, améliorer, développer l’employabilité est devenu un leitmotiv des politiques de l’emploi françaises et européennes, une incantation des employeurs, un objectif prioritaire des conseillers de Pôle emploi et un devoir assigné aux chômeurs et aux salariés. Déjà présente dans les années 1920-1930, la référence à l’employabilité est aussi réactualisée par nombre de chercheurs en gestion, en économie et en sociologie, mais aussi en droit, en science politique et en sciences de l’éducation. Comment cette notion a-t-elle été construite ? Par qui et dans quels contextes sociaux ? Quels sens lui donnent ceux qui l’utilisent et à quelles fins la mobilisent-ils ? Au-delà de ces questions, l’ouvrage interroge les usages sociaux de l’employabilité en montrant comment se référer à cette notion affecte les politiques publiques, le recrutement, la formation et l’insertion dans l’emploi, l’accompagnement des demandeurs d’emploi. Les auteurs interrogent en outre la portée symbolique et la pertinence scientifique de la notion d’employabilité en discutant son utilité pour comprendre le fonctionnement de l’emploi. Ils montrent que cette notion conduit fréquemment à rendre les chômeurs et les personnes mal insérées dans l’emploi responsables de leur situation. Si ce terme polysémique peut recéler plusieurs usages, dans le contexte de chômage massif structurel et compte tenu du fonctionnement de l’emploi, raisonner en termes d’employabilité apparaît finalement plus illusoire qu’opératoire. Cela risque d’enfermer dans un double piège : stigmatiser les chômeurs et persister dans les politiques d’emploi sans résultats face au chômage. Sans modifier les modalités d’usage de la main-d’oeuvre, sans augmenter d’une façon ou d’une autre le nombre d’emplois, prétendre améliorer l’employabilité de chacun risque d’avoir pour effet de modifier l’ordre de la file d’attente et d’aggraver l’individualisme et la concurrence au sein du salariat. (4ème de couv.) Document Céreq : Non En savoir plus : Tables des matières en ligne Extraits en ligne : Introduction en ligne Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=60915 Le piège de l’employabilité : Critique d’une notion au regard de ses usages sociaux [texte imprimé] / Guillaume Tiffon, dir. ; Frédéric Moatty, dir. ; Dominique Glaymann, dir. ; Jean-Pierre Durand, dir. . - Rennes : Presses Universitaires de Rennes, 2017 . - 256 p.. - (Des Sociétés) .
ISBN : 978-2-7535-5474-0 : 22 euros
Langues : Français (fre)
Catégories : Thésaurus CEREQ
EMPLOYABILITE ; DEFINITION ; ETUDE CRITIQUE ; EMPLOI ; POLITIQUE DE L'EMPLOI ; SOCIOLOGIE ; CHOMAGE ; TRAVAIL SALARIE ; INDIVIDUALISME ; CERTIFICATION ; FORMATION EN ALTERNANCE ; ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ; RECRUTEMENT ; UNIVERSITE ; FORMATION PROFESSIONNELLE ; INSERTION PROFESSIONNELLE ; INSERTION PAR L'ECONOMIQUE ; CHOMAGE DE LONGUE DUREE ; CONSEILLER PROFESSIONNEL ; ETHIQUE PROFESSIONNELLE ; JOURNALISTE ; FORME D'EMPLOI ; QUALIFICATION ; JEUNE ; DIPLOME ; FRANCE ; OPCA - ORGANISME PARITAIRE COLLECTEUR AGREE ; PARTENAIRES SOCIAUX ; RELATIONS PROFESSIONNELLES
Organisme Cité
POLE EMPLOIRésumé : L’employabilité est de plus en plus présente dans le langage médiatique, politique, syndical ou patronal. Favoriser, améliorer, développer l’employabilité est devenu un leitmotiv des politiques de l’emploi françaises et européennes, une incantation des employeurs, un objectif prioritaire des conseillers de Pôle emploi et un devoir assigné aux chômeurs et aux salariés. Déjà présente dans les années 1920-1930, la référence à l’employabilité est aussi réactualisée par nombre de chercheurs en gestion, en économie et en sociologie, mais aussi en droit, en science politique et en sciences de l’éducation. Comment cette notion a-t-elle été construite ? Par qui et dans quels contextes sociaux ? Quels sens lui donnent ceux qui l’utilisent et à quelles fins la mobilisent-ils ? Au-delà de ces questions, l’ouvrage interroge les usages sociaux de l’employabilité en montrant comment se référer à cette notion affecte les politiques publiques, le recrutement, la formation et l’insertion dans l’emploi, l’accompagnement des demandeurs d’emploi. Les auteurs interrogent en outre la portée symbolique et la pertinence scientifique de la notion d’employabilité en discutant son utilité pour comprendre le fonctionnement de l’emploi. Ils montrent que cette notion conduit fréquemment à rendre les chômeurs et les personnes mal insérées dans l’emploi responsables de leur situation. Si ce terme polysémique peut recéler plusieurs usages, dans le contexte de chômage massif structurel et compte tenu du fonctionnement de l’emploi, raisonner en termes d’employabilité apparaît finalement plus illusoire qu’opératoire. Cela risque d’enfermer dans un double piège : stigmatiser les chômeurs et persister dans les politiques d’emploi sans résultats face au chômage. Sans modifier les modalités d’usage de la main-d’oeuvre, sans augmenter d’une façon ou d’une autre le nombre d’emplois, prétendre améliorer l’employabilité de chacun risque d’avoir pour effet de modifier l’ordre de la file d’attente et d’aggraver l’individualisme et la concurrence au sein du salariat. (4ème de couv.) Document Céreq : Non En savoir plus : Tables des matières en ligne Extraits en ligne : Introduction en ligne Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=60915 Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1022155 O-189-17 Ouvrage CEREQ Bibliothèque Sorti jusqu'au 24/05/2020 Du chômage au plein-emploi : quelles solutions en France ? / Jean-Pierre Durand in La Nouvelle Revue du Travail, n° 8 (2016)
![]()
PermalinkClairvoyance ou aveuglement des travailleurs : qu'en disent les sociologues ? / Gaëtan Flocco in La Nouvelle Revue du Travail, n° 5 (2014)
![]()
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkLes mutations de l'organisation du travail et de la relation salariale. / Jean-Pierre Durand in Problèmes économiques, n° 2979 (30 septembre 2009)
PermalinkLe travail aujourd'hui. Crises et modèles productifs. / Jean-Pierre Durand in Ecoflash, n° 236 (mars 2009)
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkCombiner théories et méthodes en sociologie du travail. / Jean-Pierre Durand in Connaissance de l'emploi, n° 54 (mai 2008)
![]()
![]()
PermalinkLes temps du travail : cycles et irréversibilité. Dossier. / Jean-Pierre Durand in L' homme et la société, n° 162 (2006/4)
![]()
PermalinkPermalinkPermalinkLes ouvriers de Vauxhall face à la lean production. / Paul Stewart in Le mouvement social, n° 217 (octobre-décembre 2006)
![]()
PermalinkPermalinkFlexicurité en France. Colloque interdisciplinaire économie, sociologie, droit. Jeudi 7 décembre 2006. / Jean-Pierre Durand (2006)
PermalinkLes outils contemporains de l’aliénation du travail. / Jean-Pierre Durand in Actuel Marx, n° 39 (2006/1)
![]()
PermalinkLa question du consentement au travail. De la servitude volontaire à l'implication contrainte. / Jean-Pierre Durand (2006)
PermalinkAtelier 1. Acteurs et action collective : quelles figures nouvelles ? Atelier 2. Conflit, négociation et règles de droit. / Jean-Pierre Durand (2005)
PermalinkPermalinkRelations au travail, relations de travail. Xes Journées internationales de sociologie du travail. Rouen 24 et 25 novembre 2005. / Janine Goetschy (2005)
PermalinkPermalinkEvolution des situations du travail : contraintes, normes et compétences. Spécial IX journées de "Sociologie du travail". / Jean-Pierre Durand in Sociologia del lavoro, n° 95 (2004)
PermalinkLa chaîne invisible. Travailler aujourd'hui : flux tendu et servitude volontaire. / Jean-Pierre Durand (2004)
PermalinkPermalinkModèle de la compétence dans la mise au travail et modes de mobilisation (atelier 2). / Jean-Pierre Durand (2003)
PermalinkPermalinkPermalinkAttribution, perception et négociation de la charge de travail / CENTRE PIERRE NAVILLE (Evry) (2002)
PermalinkPermalinkMarchés du travail et différenciations sociales. Approches comparatives. VIIIe journées de sociologie du travail. Aix-en-Provence, les 21-22-23 juin 2001. Tome 2 : Atelier Procès de travail et marches du travail. / François Michon (2001)
PermalinkMarchés du travail et différenciations sociales. Approches comparatives. VIIIe journées de sociologie du travail. Aix-en-Provence, les 21-22-23 juin 2001. Tome 3 : Ateliers Action publique, comparaisons internationales et marchés du travail. / François Michon (2001)
PermalinkMarchés du travail et différenciations sociales. Approches comparatives. VIIIe journées de sociologie du travail. Aix-en-Provence, les 21-22-23 juin 2001. Tome 4 : Ateliers Précarités et marchés du travail. / François Michon (2001)
PermalinkMarchés du travail et différenciations sociales. Approches comparatives. VIIIe journées de sociologie du travail. Aix-en-Provence, les 21-22-23 juin 2001. Tome 5 : Ateliers Modes de vie, mobilités et marchés du travail. / François Michon (2001)
PermalinkPermalinkLes enjeux de la logique compétence. / Jean-Pierre Durand in Gérer et comprendre, n° 62 (décembre 2000)
PermalinkDe la division du travail à la mondialisation financière. / Jean-Pierre Durand in ISSUES, n° 55-56 (2e-3e trimestre 2000)
PermalinkPermalinkOrganisation du travail. Charge de travail. Performance. Journées de travail à l'hôtel château Perrache, Lyon, les 27 et 28 juin 2000. / Jean-Pierre Durand (2000)
PermalinkTravail, qualifications, compétences. Débats, perspectives, pratiques sociales. / Jean-Pierre Durand (2000)
PermalinkPermalinkLa transparence sociale dans une usine française à capitaux japonais. / Jean-Pierre Durand in Sociologie du travail, vol. 40 - n° 4 (1998)
PermalinkPermalinkL'avenir du travail à la chaîne : une comparaison internationale dans l'industrie automobile. / Jean-Pierre Durand (1998)
Permalink