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Auteur Philippe Zamora |
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Premier rapport du comité scientifique du Plan d’investissement dans les compétences / Anne Bucher (2020)
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Titre : Premier rapport du comité scientifique du Plan d’investissement dans les compétences Type de document : document électronique Auteurs : Anne Bucher ; Anne Fretel ; Philippe Zamora ; Christel Poujouly ; Nicolas Vanni Editeur : Paris : DARES Année de publication : 2020 Importance : 62 p Langues : Français (fre) Catégories : Organisme Cité
PIC - Plan d’investissement dans les compétences
Thésaurus CEREQ
RAPPORT ; FRANCE ; ACCES A LA FORMATION PROFESSIONNELLE ; FORMATION DES CHOMEURS ; EVALUATION ; INSERTION PROFESSIONNELLERésumé : Le premier rapport du Conseil scientifique (CS) chargé de l’évaluation du Plan d’Investissement dans les Compétences (PIC) - installé le 4 Juillet 2018 -, vise à dresser un premier état des lieux de ce qu’est le PIC. Le travail présenté vise à clarifier « l’objet PIC » sur lequel le CS fait porter ses travaux ainsi que la façon dont il s’est organisé pour produire à terme des résultats. Le présent rapport donne à voir par ailleurs un premier cadrage statistique sur les entrées en formation disponibles en T0, c’est-à -dire avant la pleine mise en œuvre de ce programme de formation. C’est donc un rapport qui présente une photographie de départ qui servira de point de repère pour la suite de son déploiement.
1- Dans ce rapport, le CS présente d’abord sa vision du Plan d’Investissement dans les Compétences. Le PIC vise, à échéance de 5 ans, à former un million de demandeurs d’emploi peu ou pas qualifiés et un million de jeunes éloignés du marché du travail. Mais le PIC n’est pas un programme « classique » de formation professionnelle : il est davantage une stratégie qui prend appui sur l’ensemble de la politique de formation des personnes en recherche d’emploi et qui vise, d’une part, à amplifier l’effort déjà existant et, d’autre part, à en améliorer la qualité et l’efficacité. Il fonctionne à travers trois leviers : la contractualisation Etat/Région via la signature de pactes régionaux d’investissement dans les compétences (PRIC), le renforcement de programmes nationaux où la dimension formation est accentuée, le déploiement de programmes innovants.
Il cherche à atteindre quatre objectifs principaux :
- Stimuler l’engagement dans la formation des personnes les plus éloignées de l’emploi,
- Améliorer la qualité et l’efficacité pédagogique des formations,
- Accroître la continuité et la cohérence des parcours de formation,
- Répondre aux besoins de compétences des entreprises plus rapidement.
2- Sous la houlette du CS, la Dares a mis en place un certain nombre d’outils statistiques pour conduire les travaux d’évaluation. Une enquête statistique de suivi des cohortes de personnes formées 6 mois après leur sortie de formation a ainsi été mise en place. De même une base de données est en train d’être constituée afin de permettre de retracer la trajectoire professionnelle des personnes ayant eu un contact avec un des opérateurs du SPE. Cette base de données résulte de l’appariement de plusieurs bases de données administratives et sera actualisée chaque trimestre.
3- Le rapport présente plusieurs éléments statistiques permettant de mieux cerner l’évolution de la formation professionnelle des personnes en recherche d’emploi. Le PIC a permis de retrouver en 2019 un niveau d’entrées en formation proche de celui de 2016 (Plan 500 000 formations supplémentaires) : 964 000 personnes en recherche d’emploi sont entrées en formation en 2019. Plus d’1 million si l’on y ajoute les salariés en insertion. Le taux d’accès des demandeurs d’emploi les moins qualifiés à la formation renoue avec la croissance en 2019 (10% contre 8,4% en 2018). Pour favoriser l’entrée des moins qualifiés, le PIC a introduit en particulier de nouveaux programmes nationaux, préparatoires à l’entrée en formation qualifiante. Après avoir diminué ces dernières années, la part de ces formations préparatoires est ainsi revenue à son niveau de 2015.Document Céreq : Non En ligne : https://dares.travail-emploi.gouv.fr/dares-etudes-et-statistiques/comites-d-eval [...] Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=68569 Premier rapport du comité scientifique du Plan d’investissement dans les compétences [document électronique] / Anne Bucher ; Anne Fretel ; Philippe Zamora ; Christel Poujouly ; Nicolas Vanni . - Paris : DARES, 2020 . - 62 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : Organisme Cité
PIC - Plan d’investissement dans les compétences
Thésaurus CEREQ
RAPPORT ; FRANCE ; ACCES A LA FORMATION PROFESSIONNELLE ; FORMATION DES CHOMEURS ; EVALUATION ; INSERTION PROFESSIONNELLERésumé : Le premier rapport du Conseil scientifique (CS) chargé de l’évaluation du Plan d’Investissement dans les Compétences (PIC) - installé le 4 Juillet 2018 -, vise à dresser un premier état des lieux de ce qu’est le PIC. Le travail présenté vise à clarifier « l’objet PIC » sur lequel le CS fait porter ses travaux ainsi que la façon dont il s’est organisé pour produire à terme des résultats. Le présent rapport donne à voir par ailleurs un premier cadrage statistique sur les entrées en formation disponibles en T0, c’est-à -dire avant la pleine mise en œuvre de ce programme de formation. C’est donc un rapport qui présente une photographie de départ qui servira de point de repère pour la suite de son déploiement.
1- Dans ce rapport, le CS présente d’abord sa vision du Plan d’Investissement dans les Compétences. Le PIC vise, à échéance de 5 ans, à former un million de demandeurs d’emploi peu ou pas qualifiés et un million de jeunes éloignés du marché du travail. Mais le PIC n’est pas un programme « classique » de formation professionnelle : il est davantage une stratégie qui prend appui sur l’ensemble de la politique de formation des personnes en recherche d’emploi et qui vise, d’une part, à amplifier l’effort déjà existant et, d’autre part, à en améliorer la qualité et l’efficacité. Il fonctionne à travers trois leviers : la contractualisation Etat/Région via la signature de pactes régionaux d’investissement dans les compétences (PRIC), le renforcement de programmes nationaux où la dimension formation est accentuée, le déploiement de programmes innovants.
Il cherche à atteindre quatre objectifs principaux :
- Stimuler l’engagement dans la formation des personnes les plus éloignées de l’emploi,
- Améliorer la qualité et l’efficacité pédagogique des formations,
- Accroître la continuité et la cohérence des parcours de formation,
- Répondre aux besoins de compétences des entreprises plus rapidement.
2- Sous la houlette du CS, la Dares a mis en place un certain nombre d’outils statistiques pour conduire les travaux d’évaluation. Une enquête statistique de suivi des cohortes de personnes formées 6 mois après leur sortie de formation a ainsi été mise en place. De même une base de données est en train d’être constituée afin de permettre de retracer la trajectoire professionnelle des personnes ayant eu un contact avec un des opérateurs du SPE. Cette base de données résulte de l’appariement de plusieurs bases de données administratives et sera actualisée chaque trimestre.
3- Le rapport présente plusieurs éléments statistiques permettant de mieux cerner l’évolution de la formation professionnelle des personnes en recherche d’emploi. Le PIC a permis de retrouver en 2019 un niveau d’entrées en formation proche de celui de 2016 (Plan 500 000 formations supplémentaires) : 964 000 personnes en recherche d’emploi sont entrées en formation en 2019. Plus d’1 million si l’on y ajoute les salariés en insertion. Le taux d’accès des demandeurs d’emploi les moins qualifiés à la formation renoue avec la croissance en 2019 (10% contre 8,4% en 2018). Pour favoriser l’entrée des moins qualifiés, le PIC a introduit en particulier de nouveaux programmes nationaux, préparatoires à l’entrée en formation qualifiante. Après avoir diminué ces dernières années, la part de ces formations préparatoires est ainsi revenue à son niveau de 2015.Document Céreq : Non En ligne : https://dares.travail-emploi.gouv.fr/dares-etudes-et-statistiques/comites-d-eval [...] Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=68569 Documents numériques
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dares_pic_comite_scientifique_1er_rapport_oct2020.pdfAdobe Acrobat PDFRésultats de l’évaluation quantitative de la Garantie jeunes / Mathilde Gaini in Travail et emploi, n° 153 (janvier-mars 2018)
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[article]
Titre : Résultats de l’évaluation quantitative de la Garantie jeunes : Quels publics, quels accompagnements et quelles trajectoires des bénéficiaires ? Type de document : document électronique Auteurs : Mathilde Gaini ; Marine Guillerm ; Solène Hilary ; Emmanuel Valat ; Philippe Zamora Année de publication : 2018 Article en page(s) : pp. 67-88 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
EXPERIMENTATION SOCIALE2013; EVALUATION ; JEUNE ; JEUNE EN DIFFICULTE ; MESURE JEUNE ; MISSION LOCALE ; CONSEILLER PROFESSIONNEL ; ACCOMPAGNEMENT PROFESSIONNEL ; INSERTION PROFESSIONNELLE ; EMPLOI DES JEUNES ; STATISTIQUE D'EMPLOI ; APPROCHE LOCALE ; FRANCERésumé : La Garantie jeunes est un dispositif d’accompagnement en mission locale qui cible les jeunes ni en emploi, ni en études, ni en formation et en situation de précarité. Elle a été mise en place en France à partir d’octobre 2013, d’abord à titre expérimental. Cet article présente les résultats de l’évaluation quantitative du dispositif. Une enquête en panel menée auprès de bénéficiaires entrés au début de l’expérimentation, sur les premiers territoires à avoir expérimenté la Garantie jeunes, fait apparaître un public en situation de grande fragilité. L’accompagnement en Garantie jeunes est particulièrement intensif, surtout au début, au cours de la phase collective. L’évaluation du dispositif tient compte du fait que celui-ci n’a été mis en place dans un premier temps que sur une partie du territoire. Les estimations sur les bénéficiaires des premiers territoires à avoir mis en place la Garantie jeunes indiquent que le dispositif a bien eu un impact sur leur trajectoire. Il a intensifié l’accompagnement et a eu un effet sur le taux d’emploi des bénéficiaires, effet qui perdure dans les mois qui suivent la sortie de l’accompagnement. (Source : revue) Document Céreq : Non En ligne : https://www.cairn.info/revue-travail-et-emploi-2018-1-page-67.htm Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=63563
in Travail et emploi > n° 153 (janvier-mars 2018) . - pp. 67-88[article] Résultats de l’évaluation quantitative de la Garantie jeunes : Quels publics, quels accompagnements et quelles trajectoires des bénéficiaires ? [document électronique] / Mathilde Gaini ; Marine Guillerm ; Solène Hilary ; Emmanuel Valat ; Philippe Zamora . - 2018 . - pp. 67-88.
Langues : Français (fre)
in Travail et emploi > n° 153 (janvier-mars 2018) . - pp. 67-88
Catégories : Thésaurus CEREQ
EXPERIMENTATION SOCIALE2013; EVALUATION ; JEUNE ; JEUNE EN DIFFICULTE ; MESURE JEUNE ; MISSION LOCALE ; CONSEILLER PROFESSIONNEL ; ACCOMPAGNEMENT PROFESSIONNEL ; INSERTION PROFESSIONNELLE ; EMPLOI DES JEUNES ; STATISTIQUE D'EMPLOI ; APPROCHE LOCALE ; FRANCERésumé : La Garantie jeunes est un dispositif d’accompagnement en mission locale qui cible les jeunes ni en emploi, ni en études, ni en formation et en situation de précarité. Elle a été mise en place en France à partir d’octobre 2013, d’abord à titre expérimental. Cet article présente les résultats de l’évaluation quantitative du dispositif. Une enquête en panel menée auprès de bénéficiaires entrés au début de l’expérimentation, sur les premiers territoires à avoir expérimenté la Garantie jeunes, fait apparaître un public en situation de grande fragilité. L’accompagnement en Garantie jeunes est particulièrement intensif, surtout au début, au cours de la phase collective. L’évaluation du dispositif tient compte du fait que celui-ci n’a été mis en place dans un premier temps que sur une partie du territoire. Les estimations sur les bénéficiaires des premiers territoires à avoir mis en place la Garantie jeunes indiquent que le dispositif a bien eu un impact sur leur trajectoire. Il a intensifié l’accompagnement et a eu un effet sur le taux d’emploi des bénéficiaires, effet qui perdure dans les mois qui suivent la sortie de l’accompagnement. (Source : revue) Document Céreq : Non En ligne : https://www.cairn.info/revue-travail-et-emploi-2018-1-page-67.htm Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=63563 Faut-il accompagner davantage les jeunes à la recherche d’un contrat d’apprentissage ? / Bruno Crépon in Dares Analyses-Dares Indicateurs-Dares Résultats, n° 036 (mai 2017)
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[article]
Titre : Faut-il accompagner davantage les jeunes à la recherche d’un contrat d’apprentissage ? : Les enseignements de l’évaluation d’un programme expérimental Type de document : document électronique Auteurs : Bruno Crépon ; Thomas Le Barbancho ; Hélène Naegele ; Elise Pesonel ; Roland Rathelot ; Philippe Zamora Année de publication : 2017 Article en page(s) : 8 p. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
APPRENTISSAGE ; JEUNE ; ACCOMPAGNEMENT PROFESSIONNEL ; RECHERCHE D'EMPLOI ; EXPERIMENTATION SOCIALE2013; EVALUATION ; MISSION LOCALE ; FRANCERésumé : Entre 2010 et 2012, un nouveau programme d’accompagnement mis en Å“uvre par les missions locales a été expérimenté sur sept sites en France. Son objectif est d’aider les jeunes à trouver un contrat d’apprentissage, essentiellement pour préparer un CAP ou BEP. Ce programme d’accompagnement repose sur l’offre de service habituelle des missions locales (accompagnement social, ateliers de recherche d’emploi, immersion en entreprise, etc.). La mise en place de ce programme a permis d’augmenter significativement la proportion de jeunes en contrat d’apprentissage. L’essentiel des employeurs ont été trouvés par les jeunes eux-mêmes en s’appuyant sur leur entourage (parents, connaissances, etc.). Ces résultats montrent l’importance du capital social dans la recherche d’emploi. Néanmoins, le programme ne fonctionne que pour les jeunes cherchant dans l’hôtellerie-café-restauration et dans les métiers de bouche, caractérisés par une tension permanente sur le marché de l’emploi. Par ailleurs, aucun effet significatif n’est observé pour les jeunes les plus âgés (17 ans et plus). (Source : Dares) Document Céreq : Non En savoir plus : sur le site de la Dares En ligne : http://dares.travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/2017-036.pdf Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=60301
in Dares Analyses-Dares Indicateurs-Dares Résultats > n° 036 (mai 2017) . - 8 p.[article] Faut-il accompagner davantage les jeunes à la recherche d’un contrat d’apprentissage ? : Les enseignements de l’évaluation d’un programme expérimental [document électronique] / Bruno Crépon ; Thomas Le Barbancho ; Hélène Naegele ; Elise Pesonel ; Roland Rathelot ; Philippe Zamora . - 2017 . - 8 p.
Langues : Français (fre)
in Dares Analyses-Dares Indicateurs-Dares Résultats > n° 036 (mai 2017) . - 8 p.
Catégories : Thésaurus CEREQ
APPRENTISSAGE ; JEUNE ; ACCOMPAGNEMENT PROFESSIONNEL ; RECHERCHE D'EMPLOI ; EXPERIMENTATION SOCIALE2013; EVALUATION ; MISSION LOCALE ; FRANCERésumé : Entre 2010 et 2012, un nouveau programme d’accompagnement mis en Å“uvre par les missions locales a été expérimenté sur sept sites en France. Son objectif est d’aider les jeunes à trouver un contrat d’apprentissage, essentiellement pour préparer un CAP ou BEP. Ce programme d’accompagnement repose sur l’offre de service habituelle des missions locales (accompagnement social, ateliers de recherche d’emploi, immersion en entreprise, etc.). La mise en place de ce programme a permis d’augmenter significativement la proportion de jeunes en contrat d’apprentissage. L’essentiel des employeurs ont été trouvés par les jeunes eux-mêmes en s’appuyant sur leur entourage (parents, connaissances, etc.). Ces résultats montrent l’importance du capital social dans la recherche d’emploi. Néanmoins, le programme ne fonctionne que pour les jeunes cherchant dans l’hôtellerie-café-restauration et dans les métiers de bouche, caractérisés par une tension permanente sur le marché de l’emploi. Par ailleurs, aucun effet significatif n’est observé pour les jeunes les plus âgés (17 ans et plus). (Source : Dares) Document Céreq : Non En savoir plus : sur le site de la Dares En ligne : http://dares.travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/2017-036.pdf Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=60301 Documents numériques
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2017-036.pdfAdobe Acrobat PDF
Titre : L'insertion professionnelle des jeunes : Rapport préparé en concertation avec le groupe de travail composé des représentants de huit organisations patronales et syndicales ainsi que de quatre organisations de jeunesse Type de document : document électronique Auteurs : Marine Boisson-Cohen, dir. ; Hélène Garner, dir. ; Philippe Zamora, dir. Editeur : Paris : France Stratégie Année de publication : 2017 Autre Editeur : Paris : DARES Importance : 94 p Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
INSERTION PROFESSIONNELLE ; JEUNE ; JEUNE EN DIFFICULTE ; RAPPORT ; FRANCE ; CHOMAGE DES JEUNES ; MARCHE DU TRAVAIL ; NIVEAU DE FORMATION ; FILIERE DE FORMATION ; POPULATION D'ORIGINE ETRANGERE ; ORIGINE SOCIALE ; INEGALITE SOCIALE ; MESURE JEUNE ; COUT DE LA MAIN D'OEUVRE ; RELATION FORMATION-EMPLOI ; NON-RECOURS2013; BNQ - BAS NIVEAU DE QUALIFICATION ; COMPETENCE ; APPRENTISSAGERésumé : C’était une des onze mesures pour la jeunesse promises par le gouvernement au printemps 2016. La concertation en faveur de l’insertion professionnelle des jeunes, lancée en septembre dernier, s’est conclue mardi 24 janvier 2017 par la remise d’un rapport de diagnostic à la ministre du Travail, de l’Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social.Il s’agissait, selon les termes de la ministre, « d’un exercice exigeant » de dialogue avec la jeunesse. Pilotée par France Stratégie et la DARES jusqu’à sa conclusion en décembre, la concertation en faveur de l’insertion professionnelle des jeunes a réuni les représentants des huit organisations patronales et syndicales ainsi que de quatre organisations de jeunesse (UNEF, FAGE, JOC, MRJC) lors de six séances de travail thématiques. Il ressort de l’exercice un diagnostic largement partagé autour de trois grands constats. C’est un fait, la situation des jeunes sur le marché du travail s’est dégradée. Multiplié par 3,5 en 40 ans, le taux de chômage des jeunes atteint aujourd'hui 24 %. Un trait commun à toute l’Europe mais particulièrement marqué en France où le taux d’activité des jeunes est inférieur de 4,5 points à la moyenne européenne. Attention à ne pas faire d’amalgame (statistique) pour autant ! Si leur taux d’activité est faible c’est d’abord parce que 50 % des 18-24 ans sont encore en étude. Le « vrai » point noir pour la France, ce sont les 13,8 % des 20-24 ans au chômage – un sur-chômage qui persiste encore dix ans après leur entrée sur le marché du travail – et les 15 % des 15-29 ans qui ne sont ni en emploi, ni en études, ni en formation (les NEETs). Cette précision souligne l’importance qu’il y a à parler des jeunesses au pluriel. Et c’est là le premier constat partagé par les parties prenantes. S’ils ont bien des difficultés spécifiques en commun, notamment une plus grande exposition aux crises, les jeunes sont loin de former un groupe homogène face à l’emploi. La qualification joue même un rôle encore plus déterminant que la tranche d’âge. Les jeunes les moins diplômés connaissent en l’espèce un taux de chômage trois fois supérieur à celui des diplômés de l’enseignement supérieur. Et les non-diplômés mettent en moyenne un an pour accéder à leur premier emploi en CDI, contre 3,3 mois pour les diplômés du supérieur. La spécialité du diplôme, voire sa filière d‘accès (voie scolaire versus apprentissage) joue également un rôle croissant dans la qualité de l’insertion dans l’emploi. Enfin pour les jeunes issus de l’immigration, ces difficultés se cumulent aux discriminations dans l’accès au marché de l’emploi. Les jeunes pâtissent fortement des dysfonctionnements du marché du travail et ils sont parmi les premiers exposés aux mutations structurelles qu’a connues le marché du travail depuis 40 ans. 35 % des 15-29 ans ont un contrat temporaire (CDD, intérim, apprentissage) dont la fonction de tremplin vers l’emploi stable semble s’émousser par rapport à ce qu’ont pu connaître les générations précédentes. Par ailleurs, leurs trajectoires d’insertion dans l’emploi sont davantage marquées par des passages par le chômage. Enfin, 45 % des jeunes débutants n’ont pas été formés pour le travail qu’ils occupent, ce qui pose des problèmes d’adéquation entre l’offre de compétences et les attentes des recruteurs pour qui le diplôme reste le critère central d’embauche. Au-delà de la détention des compétences de base (compréhension orale, écriture, lecture, calcul) que 10 % des jeunes ne maîtrisent pas, les freins périphériques à l’emploi, loin d’être marginaux ou secondaires, constituent pour certains jeunes de réelles barrières à l’entrée sur le marché du travail. Capacité de mobilité, maîtrise du numérique, état de santé, précarité des conditions de vie dont l’absence de logement ou de couverture sociale, sont des obstacles pour au moins 10 % des 16-29 ans. Un exemple pour l’illustrer : à diplôme égal, les jeunes ayant un permis ont un taux d’emploi supérieur à celui qui ne l’ont pas. Or, 84 % des 18-24 ans possédant le permis ont bénéficié d’un financement familial ! C’est le nombre de jeunes qui étaient accompagnés en missions locales en 2015, missions qui ont vu leur place renforcée dans l’accompagnement vers l’emploi et vers la formation des jeunes, notamment depuis 2005 avec leur inscription au sein du Service Public de l’Emploi. 70 % des jeunes non diplômés sortis du système scolaire en 2015 ont ainsi eu au moins un entretien avec une mission locale. Plan de lutte contre le décrochage scolaire, plan « 500 000 » entrées en formation, extension de la Garantie Jeunes,… les dispositifs en faveur des jeunes ont été renforcés dans la dernière période. Ont également été déployés pour répondre aux nouveaux enjeux de l’accompagnement : le CPA (Compte personnel d’activité), la mobilisation des entreprises au sein « d’équipes emploi » dans les missions locales, la création à Pôle Emploi de « clubs intensifs de recherche d’emploi » qui misent sur le collectif dans les quartiers et d’un Emploi Store, banque de service en ligne qui permet la personnalisation des réponses via l’usage du numérique… Si ces dispositifs visent à répondre aux besoins différenciés des jeunes, les acteurs de terrain déplorent la complexité et l’instabilité de ces dispositifs d’aide. C’est particulièrement le cas pour les emplois aidés dont bénéficiaient 27 % des jeunes en 2014 et que les petites entreprise n’utilisent pas forcément à plein ou entre lesquels des effets de concurrence peuvent être ressentis. Plus généralement, manque de visibilité et multiplication des dispositifs sont une source d’incertitude pour les employeurs et de complexité pour les publics éligibles, donc potentiellement de non-recours pour les moins bien informés d’entre eux. L’objectif est donc atteint pour le groupe de travail qui pose, avec ce rapport, un diagnostic partagé sur les difficultés rencontrées par les jeunes dans l’accès à l’emploi. Un diagnostic nécessaire pour que les partenaires sociaux proposent de nouveaux leviers d’action adaptés. Document Céreq : Non En savoir plus : Présentation sur le site de l'éditeur En ligne : http://www.strategie.gouv.fr/sites/strategie.gouv.fr/files/atoms/files/fs-rappor [...] Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=59446 L'insertion professionnelle des jeunes : Rapport préparé en concertation avec le groupe de travail composé des représentants de huit organisations patronales et syndicales ainsi que de quatre organisations de jeunesse [document électronique] / Marine Boisson-Cohen, dir. ; Hélène Garner, dir. ; Philippe Zamora, dir. . - Paris : France Stratégie : Paris : DARES, 2017 . - 94 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : Thésaurus CEREQ
INSERTION PROFESSIONNELLE ; JEUNE ; JEUNE EN DIFFICULTE ; RAPPORT ; FRANCE ; CHOMAGE DES JEUNES ; MARCHE DU TRAVAIL ; NIVEAU DE FORMATION ; FILIERE DE FORMATION ; POPULATION D'ORIGINE ETRANGERE ; ORIGINE SOCIALE ; INEGALITE SOCIALE ; MESURE JEUNE ; COUT DE LA MAIN D'OEUVRE ; RELATION FORMATION-EMPLOI ; NON-RECOURS2013; BNQ - BAS NIVEAU DE QUALIFICATION ; COMPETENCE ; APPRENTISSAGERésumé : C’était une des onze mesures pour la jeunesse promises par le gouvernement au printemps 2016. La concertation en faveur de l’insertion professionnelle des jeunes, lancée en septembre dernier, s’est conclue mardi 24 janvier 2017 par la remise d’un rapport de diagnostic à la ministre du Travail, de l’Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social.Il s’agissait, selon les termes de la ministre, « d’un exercice exigeant » de dialogue avec la jeunesse. Pilotée par France Stratégie et la DARES jusqu’à sa conclusion en décembre, la concertation en faveur de l’insertion professionnelle des jeunes a réuni les représentants des huit organisations patronales et syndicales ainsi que de quatre organisations de jeunesse (UNEF, FAGE, JOC, MRJC) lors de six séances de travail thématiques. Il ressort de l’exercice un diagnostic largement partagé autour de trois grands constats. C’est un fait, la situation des jeunes sur le marché du travail s’est dégradée. Multiplié par 3,5 en 40 ans, le taux de chômage des jeunes atteint aujourd'hui 24 %. Un trait commun à toute l’Europe mais particulièrement marqué en France où le taux d’activité des jeunes est inférieur de 4,5 points à la moyenne européenne. Attention à ne pas faire d’amalgame (statistique) pour autant ! Si leur taux d’activité est faible c’est d’abord parce que 50 % des 18-24 ans sont encore en étude. Le « vrai » point noir pour la France, ce sont les 13,8 % des 20-24 ans au chômage – un sur-chômage qui persiste encore dix ans après leur entrée sur le marché du travail – et les 15 % des 15-29 ans qui ne sont ni en emploi, ni en études, ni en formation (les NEETs). Cette précision souligne l’importance qu’il y a à parler des jeunesses au pluriel. Et c’est là le premier constat partagé par les parties prenantes. S’ils ont bien des difficultés spécifiques en commun, notamment une plus grande exposition aux crises, les jeunes sont loin de former un groupe homogène face à l’emploi. La qualification joue même un rôle encore plus déterminant que la tranche d’âge. Les jeunes les moins diplômés connaissent en l’espèce un taux de chômage trois fois supérieur à celui des diplômés de l’enseignement supérieur. Et les non-diplômés mettent en moyenne un an pour accéder à leur premier emploi en CDI, contre 3,3 mois pour les diplômés du supérieur. La spécialité du diplôme, voire sa filière d‘accès (voie scolaire versus apprentissage) joue également un rôle croissant dans la qualité de l’insertion dans l’emploi. Enfin pour les jeunes issus de l’immigration, ces difficultés se cumulent aux discriminations dans l’accès au marché de l’emploi. Les jeunes pâtissent fortement des dysfonctionnements du marché du travail et ils sont parmi les premiers exposés aux mutations structurelles qu’a connues le marché du travail depuis 40 ans. 35 % des 15-29 ans ont un contrat temporaire (CDD, intérim, apprentissage) dont la fonction de tremplin vers l’emploi stable semble s’émousser par rapport à ce qu’ont pu connaître les générations précédentes. Par ailleurs, leurs trajectoires d’insertion dans l’emploi sont davantage marquées par des passages par le chômage. Enfin, 45 % des jeunes débutants n’ont pas été formés pour le travail qu’ils occupent, ce qui pose des problèmes d’adéquation entre l’offre de compétences et les attentes des recruteurs pour qui le diplôme reste le critère central d’embauche. Au-delà de la détention des compétences de base (compréhension orale, écriture, lecture, calcul) que 10 % des jeunes ne maîtrisent pas, les freins périphériques à l’emploi, loin d’être marginaux ou secondaires, constituent pour certains jeunes de réelles barrières à l’entrée sur le marché du travail. Capacité de mobilité, maîtrise du numérique, état de santé, précarité des conditions de vie dont l’absence de logement ou de couverture sociale, sont des obstacles pour au moins 10 % des 16-29 ans. Un exemple pour l’illustrer : à diplôme égal, les jeunes ayant un permis ont un taux d’emploi supérieur à celui qui ne l’ont pas. Or, 84 % des 18-24 ans possédant le permis ont bénéficié d’un financement familial ! C’est le nombre de jeunes qui étaient accompagnés en missions locales en 2015, missions qui ont vu leur place renforcée dans l’accompagnement vers l’emploi et vers la formation des jeunes, notamment depuis 2005 avec leur inscription au sein du Service Public de l’Emploi. 70 % des jeunes non diplômés sortis du système scolaire en 2015 ont ainsi eu au moins un entretien avec une mission locale. Plan de lutte contre le décrochage scolaire, plan « 500 000 » entrées en formation, extension de la Garantie Jeunes,… les dispositifs en faveur des jeunes ont été renforcés dans la dernière période. Ont également été déployés pour répondre aux nouveaux enjeux de l’accompagnement : le CPA (Compte personnel d’activité), la mobilisation des entreprises au sein « d’équipes emploi » dans les missions locales, la création à Pôle Emploi de « clubs intensifs de recherche d’emploi » qui misent sur le collectif dans les quartiers et d’un Emploi Store, banque de service en ligne qui permet la personnalisation des réponses via l’usage du numérique… Si ces dispositifs visent à répondre aux besoins différenciés des jeunes, les acteurs de terrain déplorent la complexité et l’instabilité de ces dispositifs d’aide. C’est particulièrement le cas pour les emplois aidés dont bénéficiaient 27 % des jeunes en 2014 et que les petites entreprise n’utilisent pas forcément à plein ou entre lesquels des effets de concurrence peuvent être ressentis. Plus généralement, manque de visibilité et multiplication des dispositifs sont une source d’incertitude pour les employeurs et de complexité pour les publics éligibles, donc potentiellement de non-recours pour les moins bien informés d’entre eux. L’objectif est donc atteint pour le groupe de travail qui pose, avec ce rapport, un diagnostic partagé sur les difficultés rencontrées par les jeunes dans l’accès à l’emploi. Un diagnostic nécessaire pour que les partenaires sociaux proposent de nouveaux leviers d’action adaptés. Document Céreq : Non En savoir plus : Présentation sur le site de l'éditeur En ligne : http://www.strategie.gouv.fr/sites/strategie.gouv.fr/files/atoms/files/fs-rappor [...] Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=59446 Documents numériques
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france-stratégie-rapport-insertion-professionnelle-jeunes-24012016-web_0.pdfAdobe Acrobat PDFIntroduction : les panels de bénéficiaires de politiques d'emploi à la Dares / Christel Colin in Economie et statistique, n° 477 (juillet 2015)
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Titre : Introduction : les panels de bénéficiaires de politiques d'emploi à la Dares : entre continuité et innovation Type de document : texte imprimé Auteurs : Christel Colin ; Philippe Zamora Année de publication : 2015 Article en page(s) : pp. 25-32 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
POLITIQUE DE L'EMPLOI ; MESURE POUR L'EMPLOI ; PANEL ; EVALUATION ; FRANCE
Organisme Cité
DARESRésumé : Les pouvoirs publics consacrent des moyens importants à la lutte contre le chômage, notamment au travers de dispositifs spécifiques d'aide à l'insertion, qu'il s'agisse de subventions à l'embauche, de stages de formation, de créations d'emplois dans le secteur public ou associatif. L'ampleur des moyens consacrés à ces dispositifs et les enjeux sociaux et économiques associés ont très vite induit une demande d'évaluation de leurs effets. Les panels de bénéficiaires de politiques de l'emploi mis en place au ministère du travail depuis les années 1990 constituent un des instruments d'évaluation de ces politiques. Les trois articles rassemblés dans ce numéro, qui s'appuient sur le Panel 2008 de la Dares, illustrent bien les apports et limites de tels outils, leur richesse, leurs exigences méthodologiques. (Source : revue) Document Céreq : Non En ligne : https://www.insee.fr/fr/statistiques/1378062?sommaire=1378070 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=55622
in Economie et statistique > n° 477 (juillet 2015) . - pp. 25-32[article] Introduction : les panels de bénéficiaires de politiques d'emploi à la Dares : entre continuité et innovation [texte imprimé] / Christel Colin ; Philippe Zamora . - 2015 . - pp. 25-32.
Langues : Français (fre)
in Economie et statistique > n° 477 (juillet 2015) . - pp. 25-32
Catégories : Thésaurus CEREQ
POLITIQUE DE L'EMPLOI ; MESURE POUR L'EMPLOI ; PANEL ; EVALUATION ; FRANCE
Organisme Cité
DARESRésumé : Les pouvoirs publics consacrent des moyens importants à la lutte contre le chômage, notamment au travers de dispositifs spécifiques d'aide à l'insertion, qu'il s'agisse de subventions à l'embauche, de stages de formation, de créations d'emplois dans le secteur public ou associatif. L'ampleur des moyens consacrés à ces dispositifs et les enjeux sociaux et économiques associés ont très vite induit une demande d'évaluation de leurs effets. Les panels de bénéficiaires de politiques de l'emploi mis en place au ministère du travail depuis les années 1990 constituent un des instruments d'évaluation de ces politiques. Les trois articles rassemblés dans ce numéro, qui s'appuient sur le Panel 2008 de la Dares, illustrent bien les apports et limites de tels outils, leur richesse, leurs exigences méthodologiques. (Source : revue) Document Céreq : Non En ligne : https://www.insee.fr/fr/statistiques/1378062?sommaire=1378070 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=55622 Documents numériques
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ES477B.pdfAdobe Acrobat PDFL’accompagnement personnalisé des demandeurs d’emploi / Luc Behaghel in Revue française d'économie, vol. XXVIII, n° 1 (juillet 2013)
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PermalinkPermalinkLe développement de l'apprentissage : une réponse à l'échec scolaire ? / Philippe Zamora in Regards croisés sur l'économie, n° 12 (2012/2)
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PermalinkL’école, une utopie à reconstruire. Dossier / Eric Maurin in Regards croisés sur l'économie, n° 12 (2012/2)
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PermalinkLe rendement apparent de la formation continue dans les entreprises : effets sur la productivité et les salaires. / Patrick Aubert in Economie & Prévision, n° 187 (2009/1)
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PermalinkPoints de vue sur l'apprentissage. Actes du colloque "Points de vue sur l'apprentissage" du 28 novembre 2006. / Gilles Moreau in Les dossiers, n° 191 (novembre 2007)
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PermalinkL'enseignement professionnel. Thème 1. / Florence Defresne in Education et formations, n° 75 (octobre 2007)
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PermalinkPermalinkRéorganisations, changements du travail et renouvellement des compétences. Dossier. / Jacques Mairesse in Revue économique, vol. 57 - n° 6 (novembre 2006)
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PermalinkLe rendement apparent de la formation continue dans les entreprises : effets sur la productivité et les salaires. / Patrick Aubert in DOCUMENT DE TRAVAIL DE L'INSEE - SERIE ROUGE, n° G 2006/03 (juin 2006)
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PermalinkPermalinkPermalinkBilan de la politique de l'emploi en 2003 / France. Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques-DARES (Paris) in Dossiers de la DARES, n° 1/2005 (juin 2005)
PermalinkBilan de la politique de l’emploi en 2002 / France. Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques-DARES (Paris) in Dossiers de la DARES, n° 1/2004 (juillet 2004)
PermalinkEnquête COI. Dossier remis aux participants. Journées des 4 et 5 décembre 2003, organisées par le Centre d'Etudes, de l'Emploi. / Jacques Mairesse (2003)
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkLa formation en entreprise continue de se développer. / Dominique Goux in INSEE Première, n° 759 (février 2001)
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PermalinkInsertion des jeunes : sensible amélioration, surtout chez les diplômés. / Pascale Poulet in Note d'information de la DPD, n° 00.36 (octobre 2000)
PermalinkInsertion des jeunes : sensible amélioration, surtout chez les diplômés. / Pascale Poulet-Coulibando in INSEE Première, n° 741 (octobre 2000)
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PermalinkJeunes : l'âge des indépendances. / Olivier Galland in Economie et statistique, n° 337-338 (2000-7/8)
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