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Thésaurus CEREQ > LE CADRE SOCIO-ECONOMIQUE > 2060 ENVIRONNEMENT SOCIAL > INEGALITES > INEGALITE SALARIALE
INEGALITE SALARIALESynonyme(s)DISCRIMINATION SALARIALE ;DISPARITE DES REVENUS ;DISPARITE SALARIALE INEGALITE DES REVENUSVoir aussi |



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En 2018, le salaire net moyen dans le secteur privé augmente de 0,4 % en euros constants / Joan Sanchez Gonzalez in INSEE Première, n° 1828 (décembre 2020)
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[article]
Titre : En 2018, le salaire net moyen dans le secteur privé augmente de 0,4 % en euros constants Type de document : document électronique Auteurs : Joan Sanchez Gonzalez ; Éléonore Sueur Année de publication : 2020 Article en page(s) : 4 p Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
SECTEUR PRIVE ; SALAIRE ; INEGALITE SALARIALE ; FRANCERésumé : En 2018, un salarié du secteur privé gagne en moyenne 2 369 euros nets par mois en équivalent temps plein. Dans un contexte d’accélération des prix, le salaire net moyen en euros constants ralentit en 2018 : il augmente de 0,4 %, après + 0,9 % en 2017. La hausse de 2018 est légèrement inférieure à celle des vingt années précédentes (+ 0,6 % en moyenne par an).
La moitié des salariés du secteur privé perçoivent moins de 1 871 euros nets par mois en équivalent temps plein. Un salarié sur dix gagne moins de 1 282 euros, tandis qu’un sur dix perçoit plus de 3 776 euros. Comme en 2017, les salaires augmentent un peu plus pour les mieux rémunérés. Les disparités salariales s’accroissent donc de nouveau légèrement, poursuivant une tendance débutée en 2010.
Les femmes gagnent en moyenne 16,9 % de moins que les hommes en équivalent temps plein. Cet écart se réduit de 0,3 point par rapport à l’année précédente et de 4,0 points en dix ans.
Le salaire des personnes présentes du 1ᵉʳ janvier 2017 au 31 décembre 2018 dans le même établissement, soit un peu plus d’un salarié du privé sur deux, augmente de 2,5 % en euros constants. Cette hausse reflète en grande partie les progressions de carrière et les gains d’ancienneté de ces salariés.
Document Céreq : Non En ligne : https://www.insee.fr/fr/statistiques/4990766 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=68888
in INSEE Première > n° 1828 (décembre 2020) . - 4 p[article] En 2018, le salaire net moyen dans le secteur privé augmente de 0,4 % en euros constants [document électronique] / Joan Sanchez Gonzalez ; Éléonore Sueur . - 2020 . - 4 p.
Langues : Français (fre)
in INSEE Première > n° 1828 (décembre 2020) . - 4 p
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SECTEUR PRIVE ; SALAIRE ; INEGALITE SALARIALE ; FRANCERésumé : En 2018, un salarié du secteur privé gagne en moyenne 2 369 euros nets par mois en équivalent temps plein. Dans un contexte d’accélération des prix, le salaire net moyen en euros constants ralentit en 2018 : il augmente de 0,4 %, après + 0,9 % en 2017. La hausse de 2018 est légèrement inférieure à celle des vingt années précédentes (+ 0,6 % en moyenne par an).
La moitié des salariés du secteur privé perçoivent moins de 1 871 euros nets par mois en équivalent temps plein. Un salarié sur dix gagne moins de 1 282 euros, tandis qu’un sur dix perçoit plus de 3 776 euros. Comme en 2017, les salaires augmentent un peu plus pour les mieux rémunérés. Les disparités salariales s’accroissent donc de nouveau légèrement, poursuivant une tendance débutée en 2010.
Les femmes gagnent en moyenne 16,9 % de moins que les hommes en équivalent temps plein. Cet écart se réduit de 0,3 point par rapport à l’année précédente et de 4,0 points en dix ans.
Le salaire des personnes présentes du 1ᵉʳ janvier 2017 au 31 décembre 2018 dans le même établissement, soit un peu plus d’un salarié du privé sur deux, augmente de 2,5 % en euros constants. Cette hausse reflète en grande partie les progressions de carrière et les gains d’ancienneté de ces salariés.
Document Céreq : Non En ligne : https://www.insee.fr/fr/statistiques/4990766 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=68888 Documents numériques
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ip1828.pdfAdobe Acrobat PDFInégalités primaires, redistribution : comment la France se situe en Europe / Julien Rousselon in Note d'analyse, n° 97 (décembre 2020)
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[article]
Titre : Inégalités primaires, redistribution : comment la France se situe en Europe Type de document : document électronique Auteurs : Julien Rousselon ; Mathilde Viennot Année de publication : 2020 Article en page(s) : 16 p Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
INEGALITES ; FRANCE ; EUROPE ; COMPARAISON INTERNATIONALE ; POLITIQUE SOCIALE ; INEGALITE SALARIALE ; REVENUMots-clés : Redistribution Prélèvement obligatoire Résumé : Les inégalités de revenu disponible des ménages, après prélèvements obligatoires directs et prestations sociales en espèces, sont relativement bien connues et le constat associé est consensuel :la France apparaît relativement égalitaire en comparaison européenne. Encore convient-il de faire la part des choses entre ce qui est dû à la situation avant redistribution (inégalités primaires) et ce qui est attribuable à la redistribution en tant que telle. Une telle analyse soulève de nombreux enjeux méthodologiques. En particulier, comment considérer les prestations de retraite ? Le système de retraite étant principalement assurantiel, mais avec des composantes importantes de redistribution, affecter les retraites en bloc soit aux revenus primaires, soit à la redistribution est contestable. Nous choisissons de les intégrer aux revenus primaires, mais en testant la robustesse des résultats obtenus à ce choix. Par ailleurs, faut-il considérer le salaire net, brut, ou « superbrut », y compris les cotisations employeur ? Nous choisissons de retenir ce dernier, car il correspond à ce que l’employeur est prêt à payer en contrepartie du travail effectué. Une fois rappelés ces points de méthode, les principaux résultats sont les suivants Les inégalités primaires sont en France un peu inférieures à la médiane européenne et à celles de nos grands voisins. Ce résultat reste vrai si l’on se concentre sur les non-retraités. La France réduit plus fortement qu’ailleurs les inégalités primaires, cette réduction étant effectuée à quasi-parité par le biais des prestations sociales (hors retraite) et celui des prélèvements obligatoires directs, alors que les seconds représentent une masse six fois plus importante. Les prestations sociales réduisent plus massivement les inégalités en France qu’en médiane européenne, du fait d’un ciblage et, dans une moindre mesure, d’un volume un peu plus important que la médiane. Les prélèvements obligatoires sont eux aussi plus redistributifs en France, mais cette fois-ci essentiellement du fait de leur volume, leur ciblage ne dépassant guère la médiane européenne. L’importance de notre système socio-fiscal ne résulte donc pas de l’inefficience d’un système qui viserait à compenser de fortes inégalités primaires plutôt que de les traiter à la racine. Des marges de manœuvre existent cependant pour améliorer la performance redistributive de ce système. Document Céreq : Non En ligne : https://www.strategie.gouv.fr/publications/inegalites-primaires-redistribution-f [...] Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=68862
in Note d'analyse > n° 97 (décembre 2020) . - 16 p[article] Inégalités primaires, redistribution : comment la France se situe en Europe [document électronique] / Julien Rousselon ; Mathilde Viennot . - 2020 . - 16 p.
Langues : Français (fre)
in Note d'analyse > n° 97 (décembre 2020) . - 16 p
Catégories : Thésaurus CEREQ
INEGALITES ; FRANCE ; EUROPE ; COMPARAISON INTERNATIONALE ; POLITIQUE SOCIALE ; INEGALITE SALARIALE ; REVENUMots-clés : Redistribution Prélèvement obligatoire Résumé : Les inégalités de revenu disponible des ménages, après prélèvements obligatoires directs et prestations sociales en espèces, sont relativement bien connues et le constat associé est consensuel :la France apparaît relativement égalitaire en comparaison européenne. Encore convient-il de faire la part des choses entre ce qui est dû à la situation avant redistribution (inégalités primaires) et ce qui est attribuable à la redistribution en tant que telle. Une telle analyse soulève de nombreux enjeux méthodologiques. En particulier, comment considérer les prestations de retraite ? Le système de retraite étant principalement assurantiel, mais avec des composantes importantes de redistribution, affecter les retraites en bloc soit aux revenus primaires, soit à la redistribution est contestable. Nous choisissons de les intégrer aux revenus primaires, mais en testant la robustesse des résultats obtenus à ce choix. Par ailleurs, faut-il considérer le salaire net, brut, ou « superbrut », y compris les cotisations employeur ? Nous choisissons de retenir ce dernier, car il correspond à ce que l’employeur est prêt à payer en contrepartie du travail effectué. Une fois rappelés ces points de méthode, les principaux résultats sont les suivants Les inégalités primaires sont en France un peu inférieures à la médiane européenne et à celles de nos grands voisins. Ce résultat reste vrai si l’on se concentre sur les non-retraités. La France réduit plus fortement qu’ailleurs les inégalités primaires, cette réduction étant effectuée à quasi-parité par le biais des prestations sociales (hors retraite) et celui des prélèvements obligatoires directs, alors que les seconds représentent une masse six fois plus importante. Les prestations sociales réduisent plus massivement les inégalités en France qu’en médiane européenne, du fait d’un ciblage et, dans une moindre mesure, d’un volume un peu plus important que la médiane. Les prélèvements obligatoires sont eux aussi plus redistributifs en France, mais cette fois-ci essentiellement du fait de leur volume, leur ciblage ne dépassant guère la médiane européenne. L’importance de notre système socio-fiscal ne résulte donc pas de l’inefficience d’un système qui viserait à compenser de fortes inégalités primaires plutôt que de les traiter à la racine. Des marges de manœuvre existent cependant pour améliorer la performance redistributive de ce système. Document Céreq : Non En ligne : https://www.strategie.gouv.fr/publications/inegalites-primaires-redistribution-f [...] Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=68862 Documents numériques
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fs-2020-na-97-inegalites-primaires-redistribution-decembre.pdfAdobe Acrobat PDFPortrait statistique des principales conventions collectives de branche en 2017 / Dominique Tallec-Santoni in Dares Analyses-Dares Indicateurs-Dares Résultats, n° 037 (novembre 2020)
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[article]
Titre : Portrait statistique des principales conventions collectives de branche en 2017 Type de document : document électronique Auteurs : Dominique Tallec-Santoni Année de publication : 2020 Article en page(s) : 12 p Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
CONVENTION COLLECTIVE ; PSB - PORTRAITS STATISTIQUES DE BRANCHE ; BRANCHE PROFESSIONNELLE ; EFFECTIF ; INEGALITE SALARIALE ; FEMME ; DADS - DECLARATION ANNUELLE DE DONNEES SOCIALES ; FRANCERésumé : Fin 2017, 15,8 millions de salariés sont couverts par 495 conventions collectives de branche (hors branches agricoles), après les fusions ou suppressions de 179 conventions au cours de l’année, dans le cadre de la restructuration des branches à l’oeuvre. Ces conventions sont regroupées, à des fins d’analyse, en 436 conventions collectives agrégées dont la taille est très variable : les 68 plus importantes concentrent 76 % de salariés et les 80 plus petites en couvrent moins de 0,2 %.
Les caractéristiques des salariés et des emplois diffèrent fortement entre les branches, en lien avec la diversité des métiers exercés. Si le salaire net moyen d’un équivalent temps plein (EQTP) est de 2 310 euros par mois, des écarts salariaux apparaissent entre branches, traduisant les différences de profils des salariés. Même à catégorie socioprofessionnelle donnée, ces écarts restent marqués, en particulier chez les cadres. Il en est de même de l’écart salarial femme-homme qui reste supérieur à 25 % dans neuf branches couvrant 50 000 salariés ou plus (contre 19 % pour l’ensemble des branches). La part des femmes varie de 2 % à 93 % et celle des moins de 30 ans de 2 % à 62 %. Les taux de CDD et de temps partiel s’échelonnent respectivement de 1 % à 19 % et de 2 % à 82 %.Document Céreq : Non En ligne : https://dares.travail-emploi.gouv.fr/dares-etudes-et-statistiques/etudes-et-synt [...] Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=68684
in Dares Analyses-Dares Indicateurs-Dares Résultats > n° 037 (novembre 2020) . - 12 p[article] Portrait statistique des principales conventions collectives de branche en 2017 [document électronique] / Dominique Tallec-Santoni . - 2020 . - 12 p.
Langues : Français (fre)
in Dares Analyses-Dares Indicateurs-Dares Résultats > n° 037 (novembre 2020) . - 12 p
Catégories : Thésaurus CEREQ
CONVENTION COLLECTIVE ; PSB - PORTRAITS STATISTIQUES DE BRANCHE ; BRANCHE PROFESSIONNELLE ; EFFECTIF ; INEGALITE SALARIALE ; FEMME ; DADS - DECLARATION ANNUELLE DE DONNEES SOCIALES ; FRANCERésumé : Fin 2017, 15,8 millions de salariés sont couverts par 495 conventions collectives de branche (hors branches agricoles), après les fusions ou suppressions de 179 conventions au cours de l’année, dans le cadre de la restructuration des branches à l’oeuvre. Ces conventions sont regroupées, à des fins d’analyse, en 436 conventions collectives agrégées dont la taille est très variable : les 68 plus importantes concentrent 76 % de salariés et les 80 plus petites en couvrent moins de 0,2 %.
Les caractéristiques des salariés et des emplois diffèrent fortement entre les branches, en lien avec la diversité des métiers exercés. Si le salaire net moyen d’un équivalent temps plein (EQTP) est de 2 310 euros par mois, des écarts salariaux apparaissent entre branches, traduisant les différences de profils des salariés. Même à catégorie socioprofessionnelle donnée, ces écarts restent marqués, en particulier chez les cadres. Il en est de même de l’écart salarial femme-homme qui reste supérieur à 25 % dans neuf branches couvrant 50 000 salariés ou plus (contre 19 % pour l’ensemble des branches). La part des femmes varie de 2 % à 93 % et celle des moins de 30 ans de 2 % à 62 %. Les taux de CDD et de temps partiel s’échelonnent respectivement de 1 % à 19 % et de 2 % à 82 %.Document Céreq : Non En ligne : https://dares.travail-emploi.gouv.fr/dares-etudes-et-statistiques/etudes-et-synt [...] Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=68684 Documents numériques
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dares_conventions-collectives-de-branche_portait_statistique_2017.pdfAdobe Acrobat PDFPourquoi et comment mesurer le capital humain dans la comptabilité nationale ? / Nicolas Canry in Economie et statistique, n° 517-518-519 (2020)
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[article]
Titre : Pourquoi et comment mesurer le capital humain dans la comptabilité nationale ? Type de document : document électronique Auteurs : Nicolas Canry Année de publication : 2020 Article en page(s) : pp. 65-83 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
THEORIE DU CAPITAL HUMAIN ; INVESTISSEMENT EN FORMATION ; COMPTABILITE NATIONALE ; INEGALITES ; REVENU ; NIVEAU DE VIE ; INEGALITE SALARIALE ; SALAIRE ; THEORIE ECONOMIQUE ; POLITIQUE DE L'EDUCATION ; SANTE ; COMPARAISON INTERNATIONALE ; ETATS UNIS ; ROYAUME UNI ; FRANCERésumé : Il existe aujourd’hui un décalage important dans la manière dont théorie économique et comptabilité nationale appréhendent les dépenses d’éducation : investissement pour la première, consommation pour la seconde. De fait, le cadre comptable reste structuré autour de deux grands facteurs de production (travail et capital physique), alors même que le capital humain semble indispensable pour appréhender correctement certains phénomènes actuels, notamment la résurgence des inégalités au sein de certains pays. Cet article présente les travaux entrepris pour intégrer le capital humain dans les comptes nationaux et expose les deux grandes méthodes utilisées : celle basée sur les coûts (inputs) et celle basée sur les revenus (output). Nous mobilisons ensuite la méthode des coûts pour estimer le taux d’épargne des ménages américains, français et britanniques lorsque les dépenses d’éducation et de santé sont transférées dans l’investissement. Seule la prise en compte des dépenses de santé permettrait de redresser significativement le taux d’épargne américain. Document Céreq : Non En ligne : https://www.insee.fr/fr/statistiques/4770126?sommaire=4770254 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=68411
in Economie et statistique > n° 517-518-519 (2020) . - pp. 65-83[article] Pourquoi et comment mesurer le capital humain dans la comptabilité nationale ? [document électronique] / Nicolas Canry . - 2020 . - pp. 65-83.
Langues : Français (fre)
in Economie et statistique > n° 517-518-519 (2020) . - pp. 65-83
Catégories : Thésaurus CEREQ
THEORIE DU CAPITAL HUMAIN ; INVESTISSEMENT EN FORMATION ; COMPTABILITE NATIONALE ; INEGALITES ; REVENU ; NIVEAU DE VIE ; INEGALITE SALARIALE ; SALAIRE ; THEORIE ECONOMIQUE ; POLITIQUE DE L'EDUCATION ; SANTE ; COMPARAISON INTERNATIONALE ; ETATS UNIS ; ROYAUME UNI ; FRANCERésumé : Il existe aujourd’hui un décalage important dans la manière dont théorie économique et comptabilité nationale appréhendent les dépenses d’éducation : investissement pour la première, consommation pour la seconde. De fait, le cadre comptable reste structuré autour de deux grands facteurs de production (travail et capital physique), alors même que le capital humain semble indispensable pour appréhender correctement certains phénomènes actuels, notamment la résurgence des inégalités au sein de certains pays. Cet article présente les travaux entrepris pour intégrer le capital humain dans les comptes nationaux et expose les deux grandes méthodes utilisées : celle basée sur les coûts (inputs) et celle basée sur les revenus (output). Nous mobilisons ensuite la méthode des coûts pour estimer le taux d’épargne des ménages américains, français et britanniques lorsque les dépenses d’éducation et de santé sont transférées dans l’investissement. Seule la prise en compte des dépenses de santé permettrait de redresser significativement le taux d’épargne américain. Document Céreq : Non En ligne : https://www.insee.fr/fr/statistiques/4770126?sommaire=4770254 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=68411 Tous les travailleurs bénéficient-ils autant du partage de la rente ? / François Rycx in Reflets et perspectives de la vie économique, Tome LVIII (2020/2-3)
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[article]
Titre : Tous les travailleurs bénéficient-ils autant du partage de la rente ? Type de document : document électronique Auteurs : François Rycx ; Mélanie Volral ; Alexandre Waroquier Année de publication : 2020 Article en page(s) : pp. 135-141 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
REVENU ; BELGIQUE ; ENTREPRISE ; TRAVAILLEUR MIGRANT ; INEGALITE SALARIALERésumé : Les entreprises plus profitables partagent une partie de leurs profits avec leurs travailleurs sous la forme de salaires plus élevés. Ce phénomène s’appelle le partage de la rente et existe dans de nombreux pays. Certaines études vont plus loin dans l’analyse en examinant le rôle joué par différentes variables modératrices (e.g. le genre, le niveau d’éducation, l’ancienneté, le niveau de négociation collective, le pays de naissance). L’objectif de ce papier est de fournir un résumé de la littérature consacrée au partage de la rente, en apportant une analyse plus approfondie du marché du travail belge, et d’approcher les différences d’estimation dans ce phénomène en fonction du pays de naissance du travailleur. Document Céreq : Non En ligne : https://doi.org/10.3917/rpve.592.0135 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=68341
in Reflets et perspectives de la vie économique > Tome LVIII (2020/2-3) . - pp. 135-141[article] Tous les travailleurs bénéficient-ils autant du partage de la rente ? [document électronique] / François Rycx ; Mélanie Volral ; Alexandre Waroquier . - 2020 . - pp. 135-141.
Langues : Français (fre)
in Reflets et perspectives de la vie économique > Tome LVIII (2020/2-3) . - pp. 135-141
Catégories : Thésaurus CEREQ
REVENU ; BELGIQUE ; ENTREPRISE ; TRAVAILLEUR MIGRANT ; INEGALITE SALARIALERésumé : Les entreprises plus profitables partagent une partie de leurs profits avec leurs travailleurs sous la forme de salaires plus élevés. Ce phénomène s’appelle le partage de la rente et existe dans de nombreux pays. Certaines études vont plus loin dans l’analyse en examinant le rôle joué par différentes variables modératrices (e.g. le genre, le niveau d’éducation, l’ancienneté, le niveau de négociation collective, le pays de naissance). L’objectif de ce papier est de fournir un résumé de la littérature consacrée au partage de la rente, en apportant une analyse plus approfondie du marché du travail belge, et d’approcher les différences d’estimation dans ce phénomène en fonction du pays de naissance du travailleur. Document Céreq : Non En ligne : https://doi.org/10.3917/rpve.592.0135 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=68341 Exploring the economic and social impacts of Industry 4.0 / Cécile Cézanne in Revue d'économie industrielle, n° 169 (2020/1)
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PermalinkL’aménagement du pluralisme syndical en droit du travail québécois / Pier-Luc Bilodeau in Relations industrielles / Industrial relations, vol. 75, n° 3 (Eté 2020)
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PermalinkProjecting Grid Compression to Reduce Gender Salary Gaps / Laura K. Brown in Relations industrielles / Industrial relations, vol. 75, n° 3 (Eté 2020)
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PermalinkLes salaires dans la fonction publique territoriale / Romain Bour in INSEE Première, n° 1812 (septembre 2020)
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PermalinkWhy Has Computerization Increased Wage Inequality? / Tali Kristal in Work and Occupations, vol. 47, n° 4 (November 2020)
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PermalinkLe pouvoir d’achat, la pauvreté et les inégalités de revenus préoccupent toujours aussi fortement les Français / Raphaël Lardeux in Les Dossiers de la Drees, n° 60 (juin 2020)
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PermalinkÉcarts de rémunération femmes-hommes : surtout l’effet du temps de travail et de l’emploi occupé / Simon Georges-Kot in INSEE Première, n° 1803 (juin2020)
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PermalinkBuy flexible, pay more: The role of temporary contracts on wage inequality / Andrea Albanese in Labour economics, vol. 64 (June 2020)
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PermalinkL’économie morale des rémunérations : une comparaison France-Québec des rhétoriques de justice salariale d’enseignants / Stéphane Moulin in Relations industrielles / Industrial relations, vol. 75, n° 2 (Printemps 2020)
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PermalinkGender gaps and the structure of local labor markets / Barbara Petrongolo in Labour economics, vol. 64 (June 2020)
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PermalinkUnions, Industrial Relations and Market Income Inequality in Canada’s Provinces / Phillippe James Scrimger in Relations industrielles / Industrial relations, vol. 75, n° 2 (Printemps 2020)
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PermalinkPermalinkL'introduction du salaire minimum allemand : une réforme inaboutie ? / Baptiste Françon in Connaissance de l'emploi, n° 159 (mai 2020)
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PermalinkTransgender Status, Gender Identity, and Socioeconomic / Christopher S. Carpenter in Industrial and labor relations review - ILR review, vol. 73, n° 3 (May 2020)
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PermalinkPermalinkDoes firms’ position in global value chains matter for workers’ wages? / Nicola Gagliardi in Reflets et perspectives de la vie économique, Tome LVII (2019/4)
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PermalinkA decomposition of labor earnings growth: Recovering Gaussianity? / Pierre Pora in Labour economics, vol. 63 (April 2020)
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PermalinkEqual Pay for Equal Task / Elizabeth J. Casabianca in Industrial Relations, vol. 59, n° 2 (April 2020)
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PermalinkThe impact of austerity measures on the public - private sector wage gap in Europe / Maria Michael in Labour economics, vol. 63 (April 2020)
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PermalinkLes écarts de salaires femmes-hommes chez les cadres / Association pour l'emploi des cadres (France) (2020)
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PermalinkLes éléments constitutifs de la rémunération pour l'application de l'index de l'égalité entre les femmes et les hommes / Franck Petit in Droit social, n° 1 (janvier 2020)
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PermalinkEmploi, chômage, revenus du travail. Edition 2020 / Institut national de la statistique et des études économiques (France) (2020)
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PermalinkExploring the impact of student mobility and extracurricular engagement on academic performance and graduate outcomes / Avril Brandon (2020)
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PermalinkInégalités primaires, redistribution : comment la France se situe en Europe / Julien Rousselon (2020)
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PermalinkPermalinkObservatoire de l'égalité entre femmes et hommes dans la culture et la communication / France. Ministère de la culture et de la communication. Département des études, de la prospective et des statistiques (2020)
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PermalinkÉgalité professionnelle entre les femmes et les hommes en France / Dominique Meurs in Economie et statistique, n° 510-511-512 (2019)
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PermalinkInégalités de revenu et de richesse en France : évolutions et liens sur longue période / Bertrand Garbinti in Economie et statistique, n° 510-511-512 (2019)
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PermalinkEn Italie et en Espagne, les travailleuses agricoles exploitées / Stefania Prandi in Projet, n° 373 (2019/6)
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PermalinkL'évolution du tissu social – entre nouvelles technologies et tendances socio‐économiques anciennes / Giovanni Dosi in Revue internationale du travail, vol. 158, n° 4 (décembre 2019)
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PermalinkHeterogeneous earnings effects of the job corps by gender: A translated quantile approach / Anthony Strittmatter in Labour economics, vol. 61 (December 2019)
PermalinkNational Board Quotas and the Gender Pay Gap among European Managers / David J. Maume in Work, employment and society, vol. 33, n° 6 (December 2019)
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PermalinkThe wage penalty to undocumented immigration / George J. Borjas in Labour economics, vol. 61 (December 2019)
PermalinkQuarante ans d’analyse du travail et de l’emploi : points de vue de quatre économistes / Philippe Askenazy in Travail et emploi, n° 158 (avril-juin 2019)
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PermalinkInégalités justes et injustes : les salaires dans les SCOP / Nathalie Magne in Revue française de socio-économie, n° 23 (2019/2)
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PermalinkAnd women became better qualified than men... / Thomas Couppié in Training and employment, n° 140 (2019)
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PermalinkY las mujeres pasaron a tener más diplomas que los hombres... / Thomas Couppié in Calificaciones y empleo, n° 109 (2019)
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PermalinkPermalinkMigrants and Low-Paid Employment in British Workplaces in Work, employment and society, vol. 33, n° 5 (October 2019)
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PermalinkOccupational Achievements of Same‐Sex Couples in the United States by Gender and Race / Coral Del Rio in Industrial Relations, vol. 58, n° 4 (October 2019)
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PermalinkPoint spécial : L’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes / Blandine Allix in Liaisons sociales Les Thématiques, n° 72 (octobre 2019)
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PermalinkThe impact of unionization costs when firm-selection matters / Marco de Pinto in Labour economics, vol. 60 (October 2019)
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PermalinkThe Gender Gap in Early Career Wage Growth / Abdulaziz Abrar Reshid in Labour, vol. 33, n° 3 (September 2019)
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PermalinkGender, Sexual Orientation, and Behavioral Norms in the Labor Market / Marina Mileo Gorsuch in Industrial and labor relations review - ILR review, vol. 72, n° 4 (August 2019)
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PermalinkIdentification of the private-public wage gap / Jorn Rattso in Labour economics, vol. 59 (August 2019)
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