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Thésaurus CEREQ > LE CADRE GENERAL > 3030 NOMENCLATURES > DISCIPLINE > SCIENCE > SCIENCE HUMAINE > PHILOSOPHIE
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Genre, langue et politique. Le langage non sexiste en débats. Dossier / Marie Loison-Leruste in Cahiers du Genre, n° 69 (2020/2)
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[article]
Titre : Genre, langue et politique. Le langage non sexiste en débats. Dossier Type de document : document électronique Auteurs : Marie Loison-Leruste ; Gwenaëlle Perrier ; Camille Noûs Année de publication : 2021 Article en page(s) : pp. 5-229 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
GENRE ; PHILOSOPHIE ; DROIT ; SOCIOLOGIE ; SCIENCE POLITIQUE ; LINGUISTIQUE ; FEMME ; COMPARAISON INTERNATIONALE ; ALLEMAGNE ; FRANCE ; ROYAUME UNI ; QUEBEC ; SUEDE ; BRESILRésumé : Prenant appui sur des controverses récentes, ce dossier réunit des contributions de disciplines différentes (philosophie, droit, sociologie, science politique, linguistique) et interroge les mobilisations autour de l’usage du langage non sexiste dans plusieurs pays (Allemagne, France, Grande-Bretagne, Québec, Suède et Brésil). Le langage non sexiste utilise différentes techniques, graphiques et syntaxiques, pour « assurer une égalité des représentations entre les femmes et les hommes » et lutter contre le sexisme et les inégalités de genre. Document Céreq : Non En ligne : https://www.cairn.info/revue-cahiers-du-genre-2020-2.htm Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=69263
in Cahiers du Genre > n° 69 (2020/2) . - pp. 5-229[article] Genre, langue et politique. Le langage non sexiste en débats. Dossier [document électronique] / Marie Loison-Leruste ; Gwenaëlle Perrier ; Camille Noûs . - 2021 . - pp. 5-229.
Langues : Français (fre)
in Cahiers du Genre > n° 69 (2020/2) . - pp. 5-229
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GENRE ; PHILOSOPHIE ; DROIT ; SOCIOLOGIE ; SCIENCE POLITIQUE ; LINGUISTIQUE ; FEMME ; COMPARAISON INTERNATIONALE ; ALLEMAGNE ; FRANCE ; ROYAUME UNI ; QUEBEC ; SUEDE ; BRESILRésumé : Prenant appui sur des controverses récentes, ce dossier réunit des contributions de disciplines différentes (philosophie, droit, sociologie, science politique, linguistique) et interroge les mobilisations autour de l’usage du langage non sexiste dans plusieurs pays (Allemagne, France, Grande-Bretagne, Québec, Suède et Brésil). Le langage non sexiste utilise différentes techniques, graphiques et syntaxiques, pour « assurer une égalité des représentations entre les femmes et les hommes » et lutter contre le sexisme et les inégalités de genre. Document Céreq : Non En ligne : https://www.cairn.info/revue-cahiers-du-genre-2020-2.htm Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=69263 L’émergence de la notion de « compétence » : nature et fonction de la « capacité » dans l’industrialisme saint-simonien / Baptiste Rappin in Revue internationale de psychosociologie et de gestion des comportements organisationnels, Vol. XXVI, n° 64 (2020/64)
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[article]
Titre : L’émergence de la notion de « compétence » : nature et fonction de la « capacité » dans l’industrialisme saint-simonien Type de document : document électronique Auteurs : Baptiste Rappin Année de publication : 2020 Article en page(s) : pp. 145-164 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
COMPETENCE ; ANTHROPOLOGIE ; QUALIFICATION ; THEORIE DU CAPITAL HUMAIN ; HISTOIRE ; INDUSTRIALISATION ; GESTION PREVISIONNELLE ; PHILOSOPHIE
Auteur Cité
SAINT-SIMONRésumé : Du management stratégique à la gestion des ressources humaines, la notion de compétence est aujourd’hui omniprésente dans la plupart des disciplines des sciences de l’organisation ; nous notons en outre que beaucoup d’auteurs l’associent à l’hégémonie du néolibéralisme en la reliant souvent au concept de « capital humain » théorisé par Gary Becker. Le présent travail d’histoire des idées espère mettre en évidence le caractère incomplet d’une telle thèse généalogique et analytique, et entend établir que la compétence s’avère en fait l’héritière du concept de « capacité » qui se trouve au cÅ“ur de la doctrine industrialiste de Saint-Simon et de ses disciples. Plus précisément, le projet social et politique de l’industrialisme, qui repose sur la capacité, oppose celle-ci à la propriété héritée ainsi qu’aux inégalités statutaires ; de ce point de vue, la capacité, qui recouvre l’ensemble des aptitudes productives et des comportements communicationnels, s’avère être le pivot d’une nouvelle construction sociale, d’un nouvel ordre politique, que la formule suivante, que les saint-simoniens ne laissent pas de répéter, résume admirablement : « à chacun suivant sa capacité, à chaque capacité suivant ses Å“uvres ». Nous tirons en dernier lieu les conséquences de ce travail historique et philosophique pour une meilleure compréhension des enjeux anthropologiques et géopolitiques de la gestion des compétences : cet ensemble de pratiques et de dispositifs, qui se donne de prime abord pour techniquement neutre d’un point de vue idéologique, nous semble en dernier ressort porter le projet de civilisation américain. Document Céreq : Non En ligne : https://doi.org/10.3917/rips1.064.0145 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=68208
in Revue internationale de psychosociologie et de gestion des comportements organisationnels > Vol. XXVI, n° 64 (2020/64) . - pp. 145-164[article] L’émergence de la notion de « compétence » : nature et fonction de la « capacité » dans l’industrialisme saint-simonien [document électronique] / Baptiste Rappin . - 2020 . - pp. 145-164.
Langues : Français (fre)
in Revue internationale de psychosociologie et de gestion des comportements organisationnels > Vol. XXVI, n° 64 (2020/64) . - pp. 145-164
Catégories : Thésaurus CEREQ
COMPETENCE ; ANTHROPOLOGIE ; QUALIFICATION ; THEORIE DU CAPITAL HUMAIN ; HISTOIRE ; INDUSTRIALISATION ; GESTION PREVISIONNELLE ; PHILOSOPHIE
Auteur Cité
SAINT-SIMONRésumé : Du management stratégique à la gestion des ressources humaines, la notion de compétence est aujourd’hui omniprésente dans la plupart des disciplines des sciences de l’organisation ; nous notons en outre que beaucoup d’auteurs l’associent à l’hégémonie du néolibéralisme en la reliant souvent au concept de « capital humain » théorisé par Gary Becker. Le présent travail d’histoire des idées espère mettre en évidence le caractère incomplet d’une telle thèse généalogique et analytique, et entend établir que la compétence s’avère en fait l’héritière du concept de « capacité » qui se trouve au cÅ“ur de la doctrine industrialiste de Saint-Simon et de ses disciples. Plus précisément, le projet social et politique de l’industrialisme, qui repose sur la capacité, oppose celle-ci à la propriété héritée ainsi qu’aux inégalités statutaires ; de ce point de vue, la capacité, qui recouvre l’ensemble des aptitudes productives et des comportements communicationnels, s’avère être le pivot d’une nouvelle construction sociale, d’un nouvel ordre politique, que la formule suivante, que les saint-simoniens ne laissent pas de répéter, résume admirablement : « à chacun suivant sa capacité, à chaque capacité suivant ses Å“uvres ». Nous tirons en dernier lieu les conséquences de ce travail historique et philosophique pour une meilleure compréhension des enjeux anthropologiques et géopolitiques de la gestion des compétences : cet ensemble de pratiques et de dispositifs, qui se donne de prime abord pour techniquement neutre d’un point de vue idéologique, nous semble en dernier ressort porter le projet de civilisation américain. Document Céreq : Non En ligne : https://doi.org/10.3917/rips1.064.0145 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=68208
[article]
Titre : Association, modernité, autorité Type de document : document électronique Auteurs : Camille Roelens Année de publication : 2020 Article en page(s) : pp. 225-238 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
MOUVEMENT ASSOCIATIF ; PHILOSOPHIE ; EDUCATION ; DEMOCRATIE ; FRANCE
Auteur Cité
Tocqueville Alexis de ; GAUCHET MarcelRésumé : Le but de cet article est de proposer une réflexion sur le rôle des associations dans la modernité démocratique, plus spécifiquement pour penser l’éducation en leur sein. De Tocqueville à nos jours, le lien entre individualisme et association a été pensé. Comment concilier le primat du consentement à tout lien et le projet éducatif (où l’on ne choisit pas ses parents, peu ses professeurs et condisciples) ? Comment faire concourir différents lieux et acteurs éducatifs au devenir autonome des individus ? La philosophie politique de l’éducation peut nous y aider. En s’inscrivant dans le cadre théorique défini par Marcel Gauchet dans ses vastes études du déploiement progressif du principe de légitimité individualiste durant des siècles de modernité, ce texte soutiendra qu’une pensée des conditions de l’éducation (en particulier de l’une d’entre elles, l’autorité) gagne à s’enrichir de : 1° l’analyse du type d’articulation entre individuel et collectif qu’incarnent les associations ; 2° l’optique d’une complémentarité entre les légitimités des divers lieux et acteurs éducatifs, associations comprises ; 3° l’examen des relations d’autorité qui peuvent se déployer dans les associations. Document Céreq : Non En ligne : https://doi.org/10.3917/cdle.049.0225 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=67749
in Carrefours de l'éducation > n° 49 (2020/1) . - pp. 225-238[article] Association, modernité, autorité [document électronique] / Camille Roelens . - 2020 . - pp. 225-238.
Langues : Français (fre)
in Carrefours de l'éducation > n° 49 (2020/1) . - pp. 225-238
Catégories : Thésaurus CEREQ
MOUVEMENT ASSOCIATIF ; PHILOSOPHIE ; EDUCATION ; DEMOCRATIE ; FRANCE
Auteur Cité
Tocqueville Alexis de ; GAUCHET MarcelRésumé : Le but de cet article est de proposer une réflexion sur le rôle des associations dans la modernité démocratique, plus spécifiquement pour penser l’éducation en leur sein. De Tocqueville à nos jours, le lien entre individualisme et association a été pensé. Comment concilier le primat du consentement à tout lien et le projet éducatif (où l’on ne choisit pas ses parents, peu ses professeurs et condisciples) ? Comment faire concourir différents lieux et acteurs éducatifs au devenir autonome des individus ? La philosophie politique de l’éducation peut nous y aider. En s’inscrivant dans le cadre théorique défini par Marcel Gauchet dans ses vastes études du déploiement progressif du principe de légitimité individualiste durant des siècles de modernité, ce texte soutiendra qu’une pensée des conditions de l’éducation (en particulier de l’une d’entre elles, l’autorité) gagne à s’enrichir de : 1° l’analyse du type d’articulation entre individuel et collectif qu’incarnent les associations ; 2° l’optique d’une complémentarité entre les légitimités des divers lieux et acteurs éducatifs, associations comprises ; 3° l’examen des relations d’autorité qui peuvent se déployer dans les associations. Document Céreq : Non En ligne : https://doi.org/10.3917/cdle.049.0225 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=67749 Autorité et pouvoir dans la classe / Bernard André in Revue française de pédagogie, n° 205 (2018/4)
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[article]
Titre : Autorité et pouvoir dans la classe Type de document : document électronique Auteurs : Bernard André Année de publication : 2020 Article en page(s) : pp. 95-102 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
ENSEIGNANT ; POPULATION SCOLAIRE ; COMPORTEMENT ; SOCIOLOGIE DES ORGANISATIONS ; NEGOCIATION ; PHILOSOPHIE ; EDUCATION ; CONFLIT DU TRAVAIL ; VIOLENCE SCOLAIRE ; ETHIQUE PROFESSIONNELLE ; SUISSERésumé : S’il n’y a pas de situations sociales, fussent-elles pédagogiques, sans rapport de pouvoir, l’utilisation du mot pouvoir pour décrire l’action de l’enseignant fait controverse. Cependant, le refus de penser le pouvoir dans la classe peut contribuer à créer des situations propices aux abus de pouvoir de l’enseignant ou à des prises de pouvoir par des élèves, engendrant des affrontements stériles en termes d’apprentissage. Aborder les situations scolaires sous l’angle du pouvoir offre un intérêt particulier, celui de ne pas se centrer uniquement sur l’enseignant (l’autorité de l’enseignant, l’influence de l’enseignant), mais aussi d’analyser le pouvoir de l’élève sur le déroulement de la leçon ou de manière plus générale sur l’enseignant. Cette approche offre donc un surplus d’intelligibilité sur les situations scolaires qui nous paraît important. Document Céreq : Non En ligne : https://www.cairn.info/revue-francaise-de-pedagogie-2018-4-page-95.htm Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=67000
in Revue française de pédagogie > n° 205 (2018/4) . - pp. 95-102[article] Autorité et pouvoir dans la classe [document électronique] / Bernard André . - 2020 . - pp. 95-102.
Langues : Français (fre)
in Revue française de pédagogie > n° 205 (2018/4) . - pp. 95-102
Catégories : Thésaurus CEREQ
ENSEIGNANT ; POPULATION SCOLAIRE ; COMPORTEMENT ; SOCIOLOGIE DES ORGANISATIONS ; NEGOCIATION ; PHILOSOPHIE ; EDUCATION ; CONFLIT DU TRAVAIL ; VIOLENCE SCOLAIRE ; ETHIQUE PROFESSIONNELLE ; SUISSERésumé : S’il n’y a pas de situations sociales, fussent-elles pédagogiques, sans rapport de pouvoir, l’utilisation du mot pouvoir pour décrire l’action de l’enseignant fait controverse. Cependant, le refus de penser le pouvoir dans la classe peut contribuer à créer des situations propices aux abus de pouvoir de l’enseignant ou à des prises de pouvoir par des élèves, engendrant des affrontements stériles en termes d’apprentissage. Aborder les situations scolaires sous l’angle du pouvoir offre un intérêt particulier, celui de ne pas se centrer uniquement sur l’enseignant (l’autorité de l’enseignant, l’influence de l’enseignant), mais aussi d’analyser le pouvoir de l’élève sur le déroulement de la leçon ou de manière plus générale sur l’enseignant. Cette approche offre donc un surplus d’intelligibilité sur les situations scolaires qui nous paraît important. Document Céreq : Non En ligne : https://www.cairn.info/revue-francaise-de-pedagogie-2018-4-page-95.htm Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=67000 La philosophie et les questions vives de l’éducation / Michel Fabre in Les Sciences de l'éducation...Pour l'ère nouvelle, vol. 52, n° 1 (2019/1)
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[article]
Titre : La philosophie et les questions vives de l’éducation : Le cas de la Société francophone de philosophie de l’éducation (Sofphied) Type de document : document électronique Auteurs : Michel Fabre Année de publication : 2020 Article en page(s) : pp. 45-60 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
PHILOSOPHIE ; EDUCATION ; SCIENCE DE L'EDUCATION ; ASSOCIATION ; HISTOIRE D'ENTREPRISE ; SCIENCE HUMAINE ; FRANCE
Organisme Cité
SOFPHIED - Société francophone de Philosophie de l’ÉducationRésumé : Bien qu’institutionnellement moins représentée que jadis en sciences de l’éducation, la philosophie de l’éducation, ce « luxe inutile », existe néanmoins. Elle est active, comme en témoignent deux revues spécialisées (Penser l’éducation, Le Télémaque) ainsi qu’un certain nombre de colloques et d’ouvrages depuis les années 1990. En 2006 est créée la SOFPHIED (Société francophone de Philosophie de l’Éducation).
Comment situer institutionnellement cette approche de la philosophie de l’éducation entre les départements universitaires de philosophie, les sciences humaines, la formation des enseignants, les pratiques au sein des départements de science de l’éducation ? Comment caractériser la démarche philosophique qu’entend promouvoir cette société savante ? Quelles sont les problématiques traitées dans ses colloques et publications ? On entend donner une idée des travaux en prenant le fil conducteur des trois fonctions assignées à la philosophie de l’éducation : la fonction épistémologique, la fonction élucidatrice et la fonction axiologique. On montrera comment, dans cette perspective, les questions vives de l’éducation d’aujourd’hui sont abordées, dans leur radicalité, à l’aide des outils conceptuels forgés par les diverses traditions philosophiques.Document Céreq : Non En ligne : https://www.cairn.info/revue-les-sciences-de-l-education-pour-l-ere-nouvelle-201 [...] Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=66713
in Les Sciences de l'éducation...Pour l'ère nouvelle > vol. 52, n° 1 (2019/1) . - pp. 45-60[article] La philosophie et les questions vives de l’éducation : Le cas de la Société francophone de philosophie de l’éducation (Sofphied) [document électronique] / Michel Fabre . - 2020 . - pp. 45-60.
Langues : Français (fre)
in Les Sciences de l'éducation...Pour l'ère nouvelle > vol. 52, n° 1 (2019/1) . - pp. 45-60
Catégories : Thésaurus CEREQ
PHILOSOPHIE ; EDUCATION ; SCIENCE DE L'EDUCATION ; ASSOCIATION ; HISTOIRE D'ENTREPRISE ; SCIENCE HUMAINE ; FRANCE
Organisme Cité
SOFPHIED - Société francophone de Philosophie de l’ÉducationRésumé : Bien qu’institutionnellement moins représentée que jadis en sciences de l’éducation, la philosophie de l’éducation, ce « luxe inutile », existe néanmoins. Elle est active, comme en témoignent deux revues spécialisées (Penser l’éducation, Le Télémaque) ainsi qu’un certain nombre de colloques et d’ouvrages depuis les années 1990. En 2006 est créée la SOFPHIED (Société francophone de Philosophie de l’Éducation).
Comment situer institutionnellement cette approche de la philosophie de l’éducation entre les départements universitaires de philosophie, les sciences humaines, la formation des enseignants, les pratiques au sein des départements de science de l’éducation ? Comment caractériser la démarche philosophique qu’entend promouvoir cette société savante ? Quelles sont les problématiques traitées dans ses colloques et publications ? On entend donner une idée des travaux en prenant le fil conducteur des trois fonctions assignées à la philosophie de l’éducation : la fonction épistémologique, la fonction élucidatrice et la fonction axiologique. On montrera comment, dans cette perspective, les questions vives de l’éducation d’aujourd’hui sont abordées, dans leur radicalité, à l’aide des outils conceptuels forgés par les diverses traditions philosophiques.Document Céreq : Non En ligne : https://www.cairn.info/revue-les-sciences-de-l-education-pour-l-ere-nouvelle-201 [...] Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=66713 PermalinkL’éducation de Nietzsche. Réactualisation des considérations sur l’honneur / Olivier Marty in Recherches en éducation, n° 39 (janvier 2020)
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PermalinkPermalinkPermalinkTous les féminismes sont-ils solubles dans l’éducation ? / Viviane Albenga in Travail, genre et sociétés, n° 42 (2019/2)
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PermalinkAutorité de la formation, autorité du formateur / Camille Roelens in Recherches en éducation, n° 38 (novembre 2019)
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Permalink« Souffrance en France » 20 ans plus tard. Dossier / Isabelle Gernet in Travailler, n° 42 (2019/2)
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PermalinkPour de nouveaux outils de critique sociale de l’entreprise / Adélaïde de Lastic in Revue internationale de psychosociologie et de gestion des comportements organisationnels, Vol. XXV, n° 60 (2019/60)
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PermalinkEn quoi les différentes pratiques de débats démocratiques, s’appuyant sur les Humanités, peuvent-elles contribuer à lutter contre les inégalités scolaires et sociales ? / Edwige Chirouter in Education et socialisation - Les cahiers du CERFEE, n° 53 (2019)
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PermalinkPermalinkPermalinkQu’est-ce qu’une norme professionnelle ? / Eirick Prairat in Recherches en éducation, n° 35 (janvier 2019)
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PermalinkPermalinkÉconomie et philosophie de l’exploitation / Fabrice Tricou in Cahiers d'économie politique, n° 75 (2018/2)
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PermalinkLouis Legrand et la recherche en éducation. Perspectives historiques et philosophiques. Dossier / Pierre Kahn in Les Sciences de l'éducation...Pour l'ère nouvelle, vol. 51, n° 2 (2018/2)
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PermalinkAux sources de la confiance dans la relation éducative. Dossier / Hubert Vincent in Recherches en éducation, n° 31 (janvier 2018)
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PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkEnquête sur les parcours des professeurs de philosophie en sciences de l’éducation (1968-1979) – Du ciel des idées à l’étude des pratiques éducatives / Gaspard Fontbonne in Les Sciences de l'éducation...Pour l'ère nouvelle, vol. 50, n° 1-2 (2017/1-2)
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PermalinkPour une philosophie normative de la vie scolaire / Xavier Riondet in Carrefours de l'éducation, n° 43 (2017/1)
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PermalinkPermalinkLa pédagogie charismatique de Gilles Deleuze à Vincennes / Charles Soulié in Actes de la recherche en sciences sociales, n° 216-217 (2017/1-2)
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PermalinkLa faute à DEWEY. À propos de quelques contresens sur sa philosophie de l’éducation / Michel Fabre in Recherches en éducation, n° 28 (mars 2017)
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PermalinkDemocracy, Philosophy, and the Selection of Capabilities / Morten Fibieger Byskov in Journal of Human Development and Capabilities, Vol. 18, n° 1 (February 2017)
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PermalinkLe règne de la fin. Dossier in Revue internationale de psychosociologie et de gestion des comportements organisationnels, Vol. XXIII, n° 55 (2017/1)
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PermalinkPermalinkLes contributions de Marc Fleurbaey à l’économie et à la philosophie / François Maniquet in Revue économique, vol. 68, n° 1 (janvier 2017)
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PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkLes grands penseurs de l'éducation / Martine Fournier in Sciences humaines, Les grands dossiers, n° 45 (décembre 2016 - janvier-février 2017)
PermalinkEn quels sens le travail vivant est-il une catégorie politique ? / Jean-Philippe Deranty in Travailler, n° 36 (2016/2)
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PermalinkEn quoi le travail échappe-t-il aux théories de la justice ? / Emmanuel Renault in Travailler, n° 36 (2016/2)
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PermalinkPermalinkTravail et banalité du mal. Le concept arendtien de travail / Dominique Girardot in Travailler, n° 35 (2016/1)
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