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DEVELOPPEMENT RURALSynonyme(s)ZONE RURALE |



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Titre : L'histoire de l'Inra, entre science et politique Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Cornu ; Egizio Valceschini ; Odile Maeght-Bournay Editeur : Versailles : Quae Année de publication : 2018 Importance : 463 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7592-2637-5 Prix : 29 euros Langues : Français (fre) Catégories : Organisme Cité
INRA - INSTITUT NATIONAL DE LA RECHERCHE AGRONOMIQUE
Thésaurus CEREQ
ETUDE HISTORIQUE ; ORGANISME DE RECHERCHE ; AGRICULTURE ; INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE ; BIOLOGIE ; ECOLOGIE ; FRANCE ; ACTIVITE DE RECHERCHE ; POLITIQUE PUBLIQUE ; DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE ; DEVELOPPEMENT RURALRésumé : Alors que le monde industrialisé pensait en avoir fini avec la question des subsistances, la Seconde Guerre mondiale replace l’agriculture et l’alimentation au cœur des enjeux de la reconstruction. L’Europe de l’Ouest, ravagée et affaiblie, se tourne alors vers les États-Unis pour penser une modernisation capable de fonder une nouvelle expansion. En France, l’après-guerre est ainsi le théâtre d’une profonde transformation du monde rural sous l’effet de la diffusion volontariste du « progrès », instrument d’une mise à niveau de la productivité agricole au service de la restauration de la position française dans le monde. Dans ce contexte, la création en 1946 de l’Inra constitue un moment crucial de la rencontre entre science et politique, dans la quête d’une voie de développement qui mobilise les outils des sciences du vivant pour en rationaliser l’exploitation.
D’abord conçu comme un institut de recherche et d’expérimentation dévolu à la seule agriculture, l’Inra élargit peu à peu ses missions, déployant des compétences nouvelles sur les industries agroalimentaires, la nutrition, la biologie moléculaire ou encore l’environnement.
Serviteur zélé des politiques publiques de modernisation, l’institut s’affirme dans le concert des grands opérateurs de recherche, aux côtés du CNRS, de l’Inserm et de l’Institut Pasteur. Mais confronté à l’essor de la recherche privée, à l’effacement du volontarisme d’État et à la montée de la contestation des sciences et des techniques, il se trouve précocement contraint, dans les années 1980 et surtout 1990, à repenser en profondeur son identité et son rôle, dans la prise de conscience croissante de l’interconnexion des questions agricoles, alimentaires et environnementales. Au cÅ“ur des enjeux de l’économie de la connaissance du monde contemporain, la trajectoire historique de l’Inra représente une véritable énigme, observatoire privilégié de la genèse d’une gouvernance globale du vivant et de la sécurité alimentaire. Fondé sur une documentation originale et sur un recours à la mémoire des acteurs, le présent ouvrage constitue la première synthèse historique sur cet organisme de recherche. (4ème de couv.)Document Céreq : Non En savoir plus : voir le sommaire sur le site de l'éditeur Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=61787 L'histoire de l'Inra, entre science et politique [texte imprimé] / Pierre Cornu ; Egizio Valceschini ; Odile Maeght-Bournay . - Versailles : Quae, 2018 . - 463 p.
ISBN : 978-2-7592-2637-5 : 29 euros
Langues : Français (fre)
Catégories : Organisme Cité
INRA - INSTITUT NATIONAL DE LA RECHERCHE AGRONOMIQUE
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ETUDE HISTORIQUE ; ORGANISME DE RECHERCHE ; AGRICULTURE ; INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE ; BIOLOGIE ; ECOLOGIE ; FRANCE ; ACTIVITE DE RECHERCHE ; POLITIQUE PUBLIQUE ; DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE ; DEVELOPPEMENT RURALRésumé : Alors que le monde industrialisé pensait en avoir fini avec la question des subsistances, la Seconde Guerre mondiale replace l’agriculture et l’alimentation au cœur des enjeux de la reconstruction. L’Europe de l’Ouest, ravagée et affaiblie, se tourne alors vers les États-Unis pour penser une modernisation capable de fonder une nouvelle expansion. En France, l’après-guerre est ainsi le théâtre d’une profonde transformation du monde rural sous l’effet de la diffusion volontariste du « progrès », instrument d’une mise à niveau de la productivité agricole au service de la restauration de la position française dans le monde. Dans ce contexte, la création en 1946 de l’Inra constitue un moment crucial de la rencontre entre science et politique, dans la quête d’une voie de développement qui mobilise les outils des sciences du vivant pour en rationaliser l’exploitation.
D’abord conçu comme un institut de recherche et d’expérimentation dévolu à la seule agriculture, l’Inra élargit peu à peu ses missions, déployant des compétences nouvelles sur les industries agroalimentaires, la nutrition, la biologie moléculaire ou encore l’environnement.
Serviteur zélé des politiques publiques de modernisation, l’institut s’affirme dans le concert des grands opérateurs de recherche, aux côtés du CNRS, de l’Inserm et de l’Institut Pasteur. Mais confronté à l’essor de la recherche privée, à l’effacement du volontarisme d’État et à la montée de la contestation des sciences et des techniques, il se trouve précocement contraint, dans les années 1980 et surtout 1990, à repenser en profondeur son identité et son rôle, dans la prise de conscience croissante de l’interconnexion des questions agricoles, alimentaires et environnementales. Au cÅ“ur des enjeux de l’économie de la connaissance du monde contemporain, la trajectoire historique de l’Inra représente une véritable énigme, observatoire privilégié de la genèse d’une gouvernance globale du vivant et de la sécurité alimentaire. Fondé sur une documentation originale et sur un recours à la mémoire des acteurs, le présent ouvrage constitue la première synthèse historique sur cet organisme de recherche. (4ème de couv.)Document Céreq : Non En savoir plus : voir le sommaire sur le site de l'éditeur Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=61787 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1022310 O-36-18 Ouvrage CEREQ Bibliothèque Disponible Crowdsourcing public et innovation territoriale : le cas d’un living lab rural / Ingrid Fasshauer in Politiques et management public, vol. 34, n° 1-2 (janvier-juin 2017)
[article]
Titre : Crowdsourcing public et innovation territoriale : le cas d’un living lab rural Type de document : texte imprimé Auteurs : Ingrid Fasshauer ; Cathy Veil-Zadra Année de publication : 2017 Article en page(s) : pp. 61-82 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
DEVELOPPEMENT LOCAL ; INNOVATION ; TECHNOPOLE ; ORGANISATION DU TRAVAIL ; SECTEUR PUBLIC ; PROJET ; RESEAU D'ENTREPRISES ; MILIEU RURAL ; DEVELOPPEMENT RURAL ; POLITIQUE PUBLIQUE ; EVALUATION ; FRANCE ; TRAVAIL COLLABORATIF
Organisme Cité
Brie'NovRésumé : Dans notre société reposant sur l’économie de la connaissance, la compétitivité d’une organisation se définit par sa capacité à innover. Cela repose sur ses capacités propres incluant le passage par l'intrapreneuriat, des hubs d’innovation, des espaces ouverts d'innovations, des challenges internes... La direction « Innovation » tend à s’imposer dans les entreprises, présageant déjà de sa transversalité et de son importance dans la pérennité de l'entreprise. Des perméabilités entre public et privé sont recherchées afin de capter l’innovation dès sa naissance. L'organisation privée, l'entreprise, a bien compris que son existence et sa compétitivité sont dépendantes de sa capacité à créer un réseau où tous les acteurs sont interdépendants. De plus en plus d’entreprises font appel à « la foule » pour innover à travers le crowdsourcing (Howe, 2008). Fondée sur le principe que chacun est expert en quelque chose, l’appel à un grand nombre d’acteurs permet de capter de nouvelles idées et d’innover. Côté public, les appels à projets, les agences d'accompagnement et de sourcing sur des domaines particuliers mettent en place des réseaux et des relations avec tous les porteurs de projets même quand ils ne sont pas lauréats, afin de saisir les nouveaux changements, mouvements au niveau le plus micro : le territoire. De leur côté les acteurs territoriaux s’organisent eux aussi pour faire valoir leurs idées et influencer les politiques publiques. Il est donc envisageable, pour les organisations publiques, comme pour les organisations privées de faire appel à la foule sous forme de « citizensourcing » (Lukensmeyer et Torres, 2008). Notre question principale porte sur le phénomène de crowdsourcing généré par les organisations publiques et la manière dont il contribue à l'innovation territoriale. Quelle forme prend-t-il ? Est-il porteur d’une relation équilibrée entre tous les acteurs ? Nous reviendrons sur l'innovation dans la sphère publique, les acteurs et les réseaux en présence puis sur l’équilibre de la relation partenariale, ses déterminants, pour enfin mettre en lumière une structure innovante le Living Lab (LL). À travers l’étude de cas d’un living lab citoyen de Seine et Marne, Brie’Nov, nous étudierons les modalités d’émergence d’innovation territoriale intégrant collectivités, entreprises et citoyens. Nous mettons en évidence que l’influence réciproque des collectivités et des acteurs locaux sur l’innovation territoriale n’est pas suffisante pour co-construire des politiques publiques. Il peut y avoir des démarches parallèles avec quelques rares points de rencontre. Des horizons de temps différents, les frontières territoriales des collectivités apparaissent comme deux des freins principaux. (Source : revue) Document Céreq : Non Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=61321
in Politiques et management public > vol. 34, n° 1-2 (janvier-juin 2017) . - pp. 61-82[article] Crowdsourcing public et innovation territoriale : le cas d’un living lab rural [texte imprimé] / Ingrid Fasshauer ; Cathy Veil-Zadra . - 2017 . - pp. 61-82.
Langues : Français (fre)
in Politiques et management public > vol. 34, n° 1-2 (janvier-juin 2017) . - pp. 61-82
Catégories : Thésaurus CEREQ
DEVELOPPEMENT LOCAL ; INNOVATION ; TECHNOPOLE ; ORGANISATION DU TRAVAIL ; SECTEUR PUBLIC ; PROJET ; RESEAU D'ENTREPRISES ; MILIEU RURAL ; DEVELOPPEMENT RURAL ; POLITIQUE PUBLIQUE ; EVALUATION ; FRANCE ; TRAVAIL COLLABORATIF
Organisme Cité
Brie'NovRésumé : Dans notre société reposant sur l’économie de la connaissance, la compétitivité d’une organisation se définit par sa capacité à innover. Cela repose sur ses capacités propres incluant le passage par l'intrapreneuriat, des hubs d’innovation, des espaces ouverts d'innovations, des challenges internes... La direction « Innovation » tend à s’imposer dans les entreprises, présageant déjà de sa transversalité et de son importance dans la pérennité de l'entreprise. Des perméabilités entre public et privé sont recherchées afin de capter l’innovation dès sa naissance. L'organisation privée, l'entreprise, a bien compris que son existence et sa compétitivité sont dépendantes de sa capacité à créer un réseau où tous les acteurs sont interdépendants. De plus en plus d’entreprises font appel à « la foule » pour innover à travers le crowdsourcing (Howe, 2008). Fondée sur le principe que chacun est expert en quelque chose, l’appel à un grand nombre d’acteurs permet de capter de nouvelles idées et d’innover. Côté public, les appels à projets, les agences d'accompagnement et de sourcing sur des domaines particuliers mettent en place des réseaux et des relations avec tous les porteurs de projets même quand ils ne sont pas lauréats, afin de saisir les nouveaux changements, mouvements au niveau le plus micro : le territoire. De leur côté les acteurs territoriaux s’organisent eux aussi pour faire valoir leurs idées et influencer les politiques publiques. Il est donc envisageable, pour les organisations publiques, comme pour les organisations privées de faire appel à la foule sous forme de « citizensourcing » (Lukensmeyer et Torres, 2008). Notre question principale porte sur le phénomène de crowdsourcing généré par les organisations publiques et la manière dont il contribue à l'innovation territoriale. Quelle forme prend-t-il ? Est-il porteur d’une relation équilibrée entre tous les acteurs ? Nous reviendrons sur l'innovation dans la sphère publique, les acteurs et les réseaux en présence puis sur l’équilibre de la relation partenariale, ses déterminants, pour enfin mettre en lumière une structure innovante le Living Lab (LL). À travers l’étude de cas d’un living lab citoyen de Seine et Marne, Brie’Nov, nous étudierons les modalités d’émergence d’innovation territoriale intégrant collectivités, entreprises et citoyens. Nous mettons en évidence que l’influence réciproque des collectivités et des acteurs locaux sur l’innovation territoriale n’est pas suffisante pour co-construire des politiques publiques. Il peut y avoir des démarches parallèles avec quelques rares points de rencontre. Des horizons de temps différents, les frontières territoriales des collectivités apparaissent comme deux des freins principaux. (Source : revue) Document Céreq : Non Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=61321
[article]
Titre : Les usines à la campagne. Dossier Type de document : document électronique Année de publication : 2016 Article en page(s) : pp. 35-288 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
SECTEUR SECONDAIRE ; MILIEU RURAL ; DEVELOPPEMENT RURAL ; APPROCHE LOCALE ; MARCHE LOCAL DU TRAVAIL ; BASSIN D'EMPLOI ; STATISTIQUE D'EMPLOI ; ACTIVITE ECONOMIQUE REGIONALE ; ACTIVITE ECONOMIQUE SECTORIELLE ; POLITIQUE D'ENTREPRISE ; LOCALISATION D'ENTREPRISE ; INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE ; INDUSTRIE DU PAPIER-CARTON ; INDUSTRIE EXTRACTIVE-ENERGIE ; FABRICATION D'EQUIPEMENT MENAGER ; TRANSPORT FERROVIAIRE ; INDUSTRIE METALLURGIQUE ; INDUSTRIE DE LA PARFUMERIE ; INDUSTRIE DU PLASTIQUE ; INDUSTRIE DE LA CHAUSSURE ; ORGANISATION SYNDICALE ; SYNDICALISME SALARIE ; OUVRIER ; INDUSTRIALISATION ; AMENAGEMENT DU TERRITOIRE ; POLITIQUE INDUSTRIELLE ; SYSTEME PRODUCTIF ; TECHNOPOLE ; DEVELOPPEMENT LOCAL ; ECONOMIE INDUSTRIELLE ; ECONOMIE DE MARCHE ; POLITIQUE PUBLIQUE ; HISTOIRE D'ENTREPRISE ; FRANCE ; ITALIE ; BELGIQUE ; COTE D'IVOIRE ; ARGENTINE
Organisme Cité
CGT ; PAC ; Éco-Énergie ; Normandise ; MOULINEX ; Archer ; SODESUCRE ; INTERMARCHERésumé : Quand les campagnes françaises ne sont pas étudiées comme des territoires essentiellement agricoles, elles sont souvent regardées comme des espaces récréatifs ou de nature. Que ce soit dans la littérature universitaire ou dans les politiques d’aménagement du territoire, peu de place est accordée au secteur industriel rural, comme si l’industrie était forcément urbaine ou périurbaine. Or, les campagnes françaises sont aussi d’anciens bastions de l’industrialisation et témoignent aujourd’hui d’une vraie résistance de ce secteur économique : l’agro-alimentaire y côtoie la cosmétique, la chaussure ou encore la production d’énergie. Les espaces ruraux attirent non seulement pour leur forte réserve foncière, mais aussi parce que leur image de « tradition », d’« authenticité » et de « savoir-faire » constitue une ressource immatérielle forte qui peut être valorisée par tout type d’industrie, allant de l’artisanat aux multinationales. Mais pour rester concurrentielles et innovantes, ces entreprises doivent aussi tirer parti de l’ancrage en rural par des solidarités territoriales fortes, tout en restant ouvertes sur le marché extérieur. Plus qu’un simple panorama, nous proposons dans ce numéro 229 d’interroger les liens entre les usines et leurs territoires ruraux, et de comprendre les enjeux spécifiques des « usines à la campagne », de leur maintien, de leur création et de leur évolution. (Source : revue) Document Céreq : Non En ligne : http://www.cairn.info/revue-pour-2016-1.htm Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=59470
in Pour > n° 229 (2016/1) . - pp. 35-288[article] Les usines à la campagne. Dossier [document électronique] . - 2016 . - pp. 35-288.
Langues : Français (fre)
in Pour > n° 229 (2016/1) . - pp. 35-288
Catégories : Thésaurus CEREQ
SECTEUR SECONDAIRE ; MILIEU RURAL ; DEVELOPPEMENT RURAL ; APPROCHE LOCALE ; MARCHE LOCAL DU TRAVAIL ; BASSIN D'EMPLOI ; STATISTIQUE D'EMPLOI ; ACTIVITE ECONOMIQUE REGIONALE ; ACTIVITE ECONOMIQUE SECTORIELLE ; POLITIQUE D'ENTREPRISE ; LOCALISATION D'ENTREPRISE ; INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE ; INDUSTRIE DU PAPIER-CARTON ; INDUSTRIE EXTRACTIVE-ENERGIE ; FABRICATION D'EQUIPEMENT MENAGER ; TRANSPORT FERROVIAIRE ; INDUSTRIE METALLURGIQUE ; INDUSTRIE DE LA PARFUMERIE ; INDUSTRIE DU PLASTIQUE ; INDUSTRIE DE LA CHAUSSURE ; ORGANISATION SYNDICALE ; SYNDICALISME SALARIE ; OUVRIER ; INDUSTRIALISATION ; AMENAGEMENT DU TERRITOIRE ; POLITIQUE INDUSTRIELLE ; SYSTEME PRODUCTIF ; TECHNOPOLE ; DEVELOPPEMENT LOCAL ; ECONOMIE INDUSTRIELLE ; ECONOMIE DE MARCHE ; POLITIQUE PUBLIQUE ; HISTOIRE D'ENTREPRISE ; FRANCE ; ITALIE ; BELGIQUE ; COTE D'IVOIRE ; ARGENTINE
Organisme Cité
CGT ; PAC ; Éco-Énergie ; Normandise ; MOULINEX ; Archer ; SODESUCRE ; INTERMARCHERésumé : Quand les campagnes françaises ne sont pas étudiées comme des territoires essentiellement agricoles, elles sont souvent regardées comme des espaces récréatifs ou de nature. Que ce soit dans la littérature universitaire ou dans les politiques d’aménagement du territoire, peu de place est accordée au secteur industriel rural, comme si l’industrie était forcément urbaine ou périurbaine. Or, les campagnes françaises sont aussi d’anciens bastions de l’industrialisation et témoignent aujourd’hui d’une vraie résistance de ce secteur économique : l’agro-alimentaire y côtoie la cosmétique, la chaussure ou encore la production d’énergie. Les espaces ruraux attirent non seulement pour leur forte réserve foncière, mais aussi parce que leur image de « tradition », d’« authenticité » et de « savoir-faire » constitue une ressource immatérielle forte qui peut être valorisée par tout type d’industrie, allant de l’artisanat aux multinationales. Mais pour rester concurrentielles et innovantes, ces entreprises doivent aussi tirer parti de l’ancrage en rural par des solidarités territoriales fortes, tout en restant ouvertes sur le marché extérieur. Plus qu’un simple panorama, nous proposons dans ce numéro 229 d’interroger les liens entre les usines et leurs territoires ruraux, et de comprendre les enjeux spécifiques des « usines à la campagne », de leur maintien, de leur création et de leur évolution. (Source : revue) Document Céreq : Non En ligne : http://www.cairn.info/revue-pour-2016-1.htm Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=59470
[article]
Titre : Jeunesses rurales : dossier Type de document : document électronique Auteurs : Claire Lemêtre, dir. ; Sophie Orange, dir. Année de publication : 2016 Article en page(s) : pp. 5-82 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
JEUNE ; JEUNE EN DIFFICULTE ; MILIEU RURAL ; DEVELOPPEMENT RURAL ; SOCIOLOGIE DE L'EDUCATION ; FRANCE ; ACCES A L'EDUCATION ; CHEMINEMENT SCOLAIRE ; SYSTEME EDUCATIFRésumé : La question de la jeunesse rurale demeure un objet de recherche relativement sous-exploré par les sciences sociales. Son invisibilité tient pour beaucoup à ce qu’il s’agit d’une jeunesse « sans éclat » et « sans écart » qui ne se distingue ni par son excellence, ni par ses troubles. Ces jeunes ruraux ne font par ailleurs pas ou peu l’objet de politiques publiques spécifiques – du moins à l’échelle nationale – contrairement aux jeunes des quartiers.
Ce numéro de Savoir/Agir est consacré à cette jeunesse ordinaire à travers son rapport à l’école. Le parti pris est celui d’une sociologie de l’éducation qui dépasse et déborde les murs de l’école et prête attention aux configurations locales (familiales, amicales, conjugales, etc.) dans lesquelles sont pris les élèves.
Les auteurs ont cherché à déconstruire un certain nombre de conceptions essentialisantes, en tout cas fortement culturalistes, portées notamment par les chefs d’établissement et les acteurs locaux de l’orientation scolaire, qui tendent à attribuer aux élèves des campagnes un « manque d’ambitions » à l’égard des études. Ils proposent une approche en différence, en mettant en évidence les logiques propres de leurs représentations et de leurs pratiques.
Ils considèrent l’école et la jeunesse rurale au pluriel, contre une approche homogénéisante des espaces ruraux et de leurs habitants, en montrant la diversité des groupes sociaux qui composent les campagnes et les rapports entre ces groupes. Ils donnent ainsi à voir des écoles (primaires, publiques, privées, lycées, collèges, agricoles, etc.) et des élèves ruraux (garçons, filles, enfants d’artiÂsans, enfants de cadres, apprentis, etc.), mais aussi d’autres groupes sociaux investis autour de la cause scolaire (des parents d’élèves, des élus locaux, etc.).
Si la question scolaire constitue le point d’entrée des articles de ce dossier, ils pourront cependant sortir de ce cadre pour évoquer les loisirs, les engagements, les sociabilités ou encore les lieux privilégiés par les jeunes ruraux.Document Céreq : Non En ligne : http://www.cairn.info/revue-savoir-agir-2016-3.htm Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=60170
in Savoir/Agir > n° 37 (2016/3) . - pp. 5-82[article] Jeunesses rurales : dossier [document électronique] / Claire Lemêtre, dir. ; Sophie Orange, dir. . - 2016 . - pp. 5-82.
Langues : Français (fre)
in Savoir/Agir > n° 37 (2016/3) . - pp. 5-82
Catégories : Thésaurus CEREQ
JEUNE ; JEUNE EN DIFFICULTE ; MILIEU RURAL ; DEVELOPPEMENT RURAL ; SOCIOLOGIE DE L'EDUCATION ; FRANCE ; ACCES A L'EDUCATION ; CHEMINEMENT SCOLAIRE ; SYSTEME EDUCATIFRésumé : La question de la jeunesse rurale demeure un objet de recherche relativement sous-exploré par les sciences sociales. Son invisibilité tient pour beaucoup à ce qu’il s’agit d’une jeunesse « sans éclat » et « sans écart » qui ne se distingue ni par son excellence, ni par ses troubles. Ces jeunes ruraux ne font par ailleurs pas ou peu l’objet de politiques publiques spécifiques – du moins à l’échelle nationale – contrairement aux jeunes des quartiers.
Ce numéro de Savoir/Agir est consacré à cette jeunesse ordinaire à travers son rapport à l’école. Le parti pris est celui d’une sociologie de l’éducation qui dépasse et déborde les murs de l’école et prête attention aux configurations locales (familiales, amicales, conjugales, etc.) dans lesquelles sont pris les élèves.
Les auteurs ont cherché à déconstruire un certain nombre de conceptions essentialisantes, en tout cas fortement culturalistes, portées notamment par les chefs d’établissement et les acteurs locaux de l’orientation scolaire, qui tendent à attribuer aux élèves des campagnes un « manque d’ambitions » à l’égard des études. Ils proposent une approche en différence, en mettant en évidence les logiques propres de leurs représentations et de leurs pratiques.
Ils considèrent l’école et la jeunesse rurale au pluriel, contre une approche homogénéisante des espaces ruraux et de leurs habitants, en montrant la diversité des groupes sociaux qui composent les campagnes et les rapports entre ces groupes. Ils donnent ainsi à voir des écoles (primaires, publiques, privées, lycées, collèges, agricoles, etc.) et des élèves ruraux (garçons, filles, enfants d’artiÂsans, enfants de cadres, apprentis, etc.), mais aussi d’autres groupes sociaux investis autour de la cause scolaire (des parents d’élèves, des élus locaux, etc.).
Si la question scolaire constitue le point d’entrée des articles de ce dossier, ils pourront cependant sortir de ce cadre pour évoquer les loisirs, les engagements, les sociabilités ou encore les lieux privilégiés par les jeunes ruraux.Document Céreq : Non En ligne : http://www.cairn.info/revue-savoir-agir-2016-3.htm Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=60170 PermalinkPermalinkL’incursion des scientifiques dans l’organisation des marchés agricoles / Jean-Baptiste Paranthoën in Politix, n° 111 (2015/3)
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PermalinkPermalinkPermalinkLes élèves ruraux face à la stigmatisation des territoires / Yves Alpe in Agora débats jeunesses, n° 68 (2014/3)
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PermalinkProgramme de subventions régionales et leurs interactions avec la qualité "durable" des projets communaux de développement urbain et rural en France et en Allemagne / Ute Cornec in REM - Revue de l'économie méridionale, n° 233-234 (1-2/2011)
PermalinkPermalinkDes exemples de dispositifs permettant de faire évoluer le conseil et la formation en agronomie. Dossier / Christine Leclercq in Agronomie, Environnement & Sociétés, vol.3, n° 2 (décembre 2013)
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PermalinkL'accompagnement des projets méthanisation et photovoltaïque par les Chambres d'agriculture / Christophe Bersonnet in Pour, n° 218 (juin 2013)
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PermalinkÉoliennes, mise en valeur ou dégradation des campagnes ? / Jean Pilleboue in Pour, n° 218 (juin 2013)
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PermalinkPermalinkMieux valoriser les ressources rurales pour la production d'énergies renouvelables en développant des démarches intégrées à l'échelle des territoires / Yvan Tritz in Pour, n° 218 (juin 2013)
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PermalinkLa politique de transition énergétique de la Région Centre / Benoît Faucheux in Pour, n° 218 (juin 2013)
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PermalinkPermalinkPermalinkDe la ressource à la trajectoire : quelles stratégies de développement territorial ? / Hugues Francois in Géographie économie société, Vol. 15, n° 3 (2013/3)
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PermalinkPermalinkPourquoi le coût de l'éducation est-il plus élevé en zone rurale ? / Liliane Bonnal in Revue d'économie régionale et urbaine, n° 5 (Décembre 2011)
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PermalinkPermalinkPermalinkFormer au métier, former le métier. Le cas de l'enseignement agricole pour accompagner le changement. / Patrice Cayre in Education permanente, n° 185 (décembre 2010)
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PermalinkLe monde rural, précurseur en matière d’ingénierie de formation territoriale ? / Jérôme Gasztowtt in Education permanente, n° 185 (décembre 2010)
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PermalinkLa formation et l'accompagnement au service de la création et de la reprise d'entreprises. Dossier / Nelly Schutz-Stephan in Pour, n° 204 (mars 2010)
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PermalinkLes paradoxes de la formalisation de la relation salariale en milieu rural (Briançonnais) / Annie Lamanthe in Etudes rurales, n° 182 (2008/2)
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PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkLes embauches dans les zones de revitalisation rurale en 2006-2007 / Marion Bachelet in Premières Informations et Premières Synthèses, n° 49.3 (décembre 2009)
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PermalinkUn approccio territoriale al tema della povertà in Europa : dimensione rurale e urbana. / Paola Bertolini in Economia e lavoro, anno XLIII - n° 1 (gennaio-aprile 2009)
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPatrimoine rural : faire évoluer la formation pour répondre aux défis de la création et de la consolidation des emplois. / Dominique Zupan in Actualité de la formation permanente, n° 217 (novembre-décembre 2008)
PermalinkLe rôle de l'outil formation dans l'émergence d'un nouveau métier de "guide du goût". / Murielle Bousquet in Actualité de la formation permanente, n° 217 (novembre-décembre 2008)
PermalinkLes artisans de la "gentrification rurale" : trois manières d'être maçon dans les Hautes-Corbières. / Marc Perrenoud in Sociétés contemporaines, n° 71 (2008)
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PermalinkUn âge d'or actif : une analyse de la localisation aux USA des personnes âgées travaillant à leur compte. / Bertrand Venard in Humanisme et entreprise, n° 288 (juin 2008)
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PermalinkRapport d'information fait au nom de la Délégation à l'aménagement et au développement durable du territoire sur le nouvel espace rural français. / Jean Francois-Poncet (2008)
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PermalinkPermalinkLes services à la personne en milieu rural : un enjeu de développement des territoires. / Myriam Borel in ORM - MEMO, n° 37 (novembre 2007)
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PermalinkÀ quoi ne se réfèrent pas les référentiels métier des agents de développement local ? / Gilles Jeannot in Formation emploi, n° 100 (octobre-décembre 2007)
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PermalinkPolysémie des approches monétaires de la pauvreté : le dilemme rural-urbain au Sénégal. / Jean-Paul Minvielle in Recherches économiques de Louvain, vol. 73 - n° 2 (2007)
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PermalinkRessources humaines et territoires ruraux. / Françoise Dauty in Note du LIRHE, n° 440 (janvier 2007)
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PermalinkLes acteurs du développement rural confrontés à la valorisation du patrimoine : le cas du Larzac aveyronnais. / Michel Vernières in REM - Revue de l'économie méridionale, n° 217-218 (2007)
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