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Modalités actuelles de gestion au travail en tant que politique de subjectivation. Défis pour la psychodynamique du travail / Cecilia Ros in Travailler, n° 44 (2020/2)
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Titre : Modalités actuelles de gestion au travail en tant que politique de subjectivation. Défis pour la psychodynamique du travail Titre original : Las actuales modalidades de gestión en el trabajo como polÃtica de subjetivación. DesafÃos para la psicodinámica del trabajo Type de document : document électronique Auteurs : Cecilia Ros Congrès : Congrès: Colloque international de Psychodynamique et Psychopathologie du Travail « Quelle psychodynamique du travail, pour quel travail, pour qui ? Changements dans le travail. Nouveaux défis pour la PDT » - CIPPT10 (10e; 21 au 23 août 2019; Sao Paulo, Brésil) Année de publication : 2020 Article en page(s) : pp. 71-86 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
TRAVAIL ; GESTION ; PSYCHOLOGIE DU TRAVAIL ; EMOTION ; SOCIOLOGIE DES ORGANISATIONS ; CONDITION DE TRAVAIL ; TRAVAIL SALARIE ; UNIVERSITE ; ENSEIGNANT ; CHERCHEUR ; EVALUATION DU PERSONNEL ; GRANDE ENTREPRISE ; SANTE AU TRAVAIL ; SOUFFRANCE AU TRAVAIL ; ARGENTINERésumé : Les modalités de gestion du travail à cette étape du capitalisme actuel impliquent à la fois une reformulation du travail et du sujet. La prétendue « gestion managériale » a introduit une véritable politique de subjectivation sur la base du développement de dispositifs dont le but est l’intensification de l’engagement subjectif dans l’activité professionnelle en même temps que dans la prise de responsabilité individuelle sur la propre employabilité. L’objectif est de rendre invisible le rapport entre, d’un côté, des modes de production et des modèles de gestion du travail et, de l’autre, les conditions d’accès et de permanence dans le marché de travail, ainsi que leurs conséquences sur la dynamique plaisir-souffrance. Parmi les mécanismes que les formes actuelles d’organisation du travail mettent en pratique, nous analyserons la fonction performative et autodisciplinante des systèmes d’évaluation et la gestion des émotions dans un groupe de travailleurs en Argentine – avec l’objectif de nous interroger et de les interroger depuis la perspective de la psychodynamique du travail. Document Céreq : Non En ligne : https://doi.org/10.3917/trav.044.0071 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=68750
in Travailler > n° 44 (2020/2) . - pp. 71-86[article] Modalités actuelles de gestion au travail en tant que politique de subjectivation. Défis pour la psychodynamique du travail = Las actuales modalidades de gestión en el trabajo como polÃtica de subjetivación. DesafÃos para la psicodinámica del trabajo [document électronique] / Cecilia Ros / Congrès: Colloque international de Psychodynamique et Psychopathologie du Travail « Quelle psychodynamique du travail, pour quel travail, pour qui ? Changements dans le travail. Nouveaux défis pour la PDT » - CIPPT10 (10e; 21 au 23 août 2019; Sao Paulo, Brésil) . - 2020 . - pp. 71-86.
Langues : Français (fre)
in Travailler > n° 44 (2020/2) . - pp. 71-86
Catégories : Thésaurus CEREQ
TRAVAIL ; GESTION ; PSYCHOLOGIE DU TRAVAIL ; EMOTION ; SOCIOLOGIE DES ORGANISATIONS ; CONDITION DE TRAVAIL ; TRAVAIL SALARIE ; UNIVERSITE ; ENSEIGNANT ; CHERCHEUR ; EVALUATION DU PERSONNEL ; GRANDE ENTREPRISE ; SANTE AU TRAVAIL ; SOUFFRANCE AU TRAVAIL ; ARGENTINERésumé : Les modalités de gestion du travail à cette étape du capitalisme actuel impliquent à la fois une reformulation du travail et du sujet. La prétendue « gestion managériale » a introduit une véritable politique de subjectivation sur la base du développement de dispositifs dont le but est l’intensification de l’engagement subjectif dans l’activité professionnelle en même temps que dans la prise de responsabilité individuelle sur la propre employabilité. L’objectif est de rendre invisible le rapport entre, d’un côté, des modes de production et des modèles de gestion du travail et, de l’autre, les conditions d’accès et de permanence dans le marché de travail, ainsi que leurs conséquences sur la dynamique plaisir-souffrance. Parmi les mécanismes que les formes actuelles d’organisation du travail mettent en pratique, nous analyserons la fonction performative et autodisciplinante des systèmes d’évaluation et la gestion des émotions dans un groupe de travailleurs en Argentine – avec l’objectif de nous interroger et de les interroger depuis la perspective de la psychodynamique du travail. Document Céreq : Non En ligne : https://doi.org/10.3917/trav.044.0071 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=68750 L’organisation gestionnaire du travail et la clinique des idéologies défensives / Duarte Rolo in Travailler, n° 44 (2020/2)
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Titre : L’organisation gestionnaire du travail et la clinique des idéologies défensives Type de document : document électronique Auteurs : Duarte Rolo Congrès : Congrès: Colloque international de Psychodynamique et Psychopathologie du Travail « Quelle psychodynamique du travail, pour quel travail, pour qui ? Changements dans le travail. Nouveaux défis pour la PDT » - CIPPT10 (10e; 21 au 23 août 2019; Sao Paulo, Brésil) Année de publication : 2020 Article en page(s) : pp. 103-110 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
TRAVAIL ; SOUFFRANCE AU TRAVAIL ; COMPORTEMENT ; RISQUE PSYCHOSOCIAL ; REPRESENTATION DU TRAVAIL ; ORGANISATION DU TRAVAIL ; GESTION ; PSYCHOLOGIE DU TRAVAIL ; IDEOLOGIE ; FRANCERésumé : En déstructurant la coopération, l’organisation gestionnaire du travail a produit une transformation des formes de souffrance au travail. L’évolution de ces formes de souffrance s’est accompagnée d’une transformation des stratégies défensives. Dans cet article, nous analyserons deux formes spécifiques de défenses : la stratégie individuelle de défense par la défection et les idéologies défensives. Nous mettrons en lien ces modalités de défense contre la souffrance au travail et l’évolution des comportements politiques de nos concitoyens, en montrant que la dégradation du rapport au travail joue un rôle de premier plan dans la montée des comportements et des politiques autoritaires. Document Céreq : Non En ligne : https://doi.org/10.3917/trav.044.0103 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=68751
in Travailler > n° 44 (2020/2) . - pp. 103-110[article] L’organisation gestionnaire du travail et la clinique des idéologies défensives [document électronique] / Duarte Rolo / Congrès: Colloque international de Psychodynamique et Psychopathologie du Travail « Quelle psychodynamique du travail, pour quel travail, pour qui ? Changements dans le travail. Nouveaux défis pour la PDT » - CIPPT10 (10e; 21 au 23 août 2019; Sao Paulo, Brésil) . - 2020 . - pp. 103-110.
Langues : Français (fre)
in Travailler > n° 44 (2020/2) . - pp. 103-110
Catégories : Thésaurus CEREQ
TRAVAIL ; SOUFFRANCE AU TRAVAIL ; COMPORTEMENT ; RISQUE PSYCHOSOCIAL ; REPRESENTATION DU TRAVAIL ; ORGANISATION DU TRAVAIL ; GESTION ; PSYCHOLOGIE DU TRAVAIL ; IDEOLOGIE ; FRANCERésumé : En déstructurant la coopération, l’organisation gestionnaire du travail a produit une transformation des formes de souffrance au travail. L’évolution de ces formes de souffrance s’est accompagnée d’une transformation des stratégies défensives. Dans cet article, nous analyserons deux formes spécifiques de défenses : la stratégie individuelle de défense par la défection et les idéologies défensives. Nous mettrons en lien ces modalités de défense contre la souffrance au travail et l’évolution des comportements politiques de nos concitoyens, en montrant que la dégradation du rapport au travail joue un rôle de premier plan dans la montée des comportements et des politiques autoritaires. Document Céreq : Non En ligne : https://doi.org/10.3917/trav.044.0103 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=68751
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Titre : Travail, précarisation et subjectivité Type de document : document électronique Auteurs : Christophe Dejours Congrès : Congrès: Colloque international de Psychodynamique et Psychopathologie du Travail « Quelle psychodynamique du travail, pour quel travail, pour qui ? Changements dans le travail. Nouveaux défis pour la PDT » - CIPPT10 (10e; 21 au 23 août 2019; Sao Paulo, Brésil) Année de publication : 2020 Article en page(s) : pp. 195-214 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
TRAVAIL PRECAIRE ; SOUFFRANCE AU TRAVAIL ; SANTE AU TRAVAIL ; TRAVAIL ; GESTION ; ORGANISATION DU TRAVAIL ; PSYCHOLOGIE DU TRAVAIL ; SAVOIR PROFESSIONNEL ; SOCIOLOGIE DES ORGANISATIONS ; CONDITION DE TRAVAIL ; RYTHME DE TRAVAIL ; REPRESENTATION DU TRAVAIL ; COMPORTEMENT ; RELATION HUMAINE ; FRANCERésumé : La précarisation de l’emploi occupe une place importante dans l’étiologie des formes contemporaines de la souffrance au travail. Elle génère des stratégies de défense spécifiques contre cette souffrance qui aggravent la soumission des salariés. Lutter contre les conséquences de la précarisation sur la santé implique de reprendre l’analyse des ressorts psychiques du rapport domination-servitude d’une part ; de renouveler la conception de l’action rationnelle en vue de transformer l’organisation du travail et d’améliorer la prévention des pathologies mentales liées au travail d’autre part. Document Céreq : Non En ligne : https://doi.org/10.3917/trav.044.0195 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=68755
in Travailler > n° 44 (2020/2) . - pp. 195-214[article] Travail, précarisation et subjectivité [document électronique] / Christophe Dejours / Congrès: Colloque international de Psychodynamique et Psychopathologie du Travail « Quelle psychodynamique du travail, pour quel travail, pour qui ? Changements dans le travail. Nouveaux défis pour la PDT » - CIPPT10 (10e; 21 au 23 août 2019; Sao Paulo, Brésil) . - 2020 . - pp. 195-214.
Langues : Français (fre)
in Travailler > n° 44 (2020/2) . - pp. 195-214
Catégories : Thésaurus CEREQ
TRAVAIL PRECAIRE ; SOUFFRANCE AU TRAVAIL ; SANTE AU TRAVAIL ; TRAVAIL ; GESTION ; ORGANISATION DU TRAVAIL ; PSYCHOLOGIE DU TRAVAIL ; SAVOIR PROFESSIONNEL ; SOCIOLOGIE DES ORGANISATIONS ; CONDITION DE TRAVAIL ; RYTHME DE TRAVAIL ; REPRESENTATION DU TRAVAIL ; COMPORTEMENT ; RELATION HUMAINE ; FRANCERésumé : La précarisation de l’emploi occupe une place importante dans l’étiologie des formes contemporaines de la souffrance au travail. Elle génère des stratégies de défense spécifiques contre cette souffrance qui aggravent la soumission des salariés. Lutter contre les conséquences de la précarisation sur la santé implique de reprendre l’analyse des ressorts psychiques du rapport domination-servitude d’une part ; de renouveler la conception de l’action rationnelle en vue de transformer l’organisation du travail et d’améliorer la prévention des pathologies mentales liées au travail d’autre part. Document Céreq : Non En ligne : https://doi.org/10.3917/trav.044.0195 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=68755 De la mise à l’agenda au reflux. Les directions syndicales et les souffrances psychiques du travail (1950-1982) / Rémy Ponge in Sociologie du travail, vol. 62, n° 4 (octobre-décembre 2020)
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Titre : De la mise à l’agenda au reflux. Les directions syndicales et les souffrances psychiques du travail (1950-1982) Type de document : document électronique Auteurs : Rémy Ponge Année de publication : 2020 Article en page(s) : mis en ligne le 12 décembre 2020 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
ORGANISATION SYNDICALE ; REPRESENTANT DU PERSONNEL ; CONFLIT DU TRAVAIL ; OUVRIER NON QUALIFIE ; CONDITION DE TRAVAIL ; SANTE AU TRAVAIL ; RISQUE PSYCHOSOCIAL ; SOUFFRANCE AU TRAVAIL ; GENRE ; EMPLOI DES FEMMES ; FEMME ; ERGONOMIE ; TAYLORISME ; FRANCE
Organisme Cité
CFDT ; CGTRésumé : Quelle place les organisations syndicales ont-elles occupée dans les processus de mise en visibilité et d’occultation des souffrances psychiques liées au travail ? Pour répondre à cette question, nous nous intéressons au travail des conseillers techniques en charge de la santé au travail dans les deux principaux syndicats de travailleurs français, la CFDT et la CGT, entre 1950 et 1982. Cette démarche permet tout d’abord de prendre à rebours l’idée selon laquelle les directions syndicales ne se seraient pas préoccupées des questions de santé au travail. Elle met ensuite en lumière que, si la thématique des souffrances psychiques du travail connaît une forte visibilité à partir des années 1990 autour du « stress » des cadres, c’est d’abord en lien avec la situation des travailleuses peu qualifiées qu’elle est constituée en problème social et syndical. Cette thématique émerge ainsi dans les années 1950-1960 dans un contexte de recomposition des recherches en santé au travail portée par des scientifiques proches du mouvement social et de fortes mobilisations ouvrières. Au sein des directions confédérales, la mise à l’agenda de ce sujet est portée par des conseillers techniques épaulés par ces scientifiques militants. Cet article souligne ainsi le rôle des mobilisations sociales et des collaborations avec des scientifiques dans l’émergence de la thématique des souffrances psychiques, mais aussi des acteurs de l’ombre des confédérations, les conseillers techniques, dans sa mise à l’agenda. Il met enfin en évidence que la construction de revendications et d’actions syndicales sur ce sujet, tout comme son reflux à partir du milieu des années 1970, est étroitement articulée aux enjeux internes à ces organisations et à leurs priorités stratégiques. Document Céreq : Non En ligne : https://doi.org/10.4000/sdt.35647 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=69007
in Sociologie du travail > vol. 62, n° 4 (octobre-décembre 2020) . - mis en ligne le 12 décembre 2020[article] De la mise à l’agenda au reflux. Les directions syndicales et les souffrances psychiques du travail (1950-1982) [document électronique] / Rémy Ponge . - 2020 . - mis en ligne le 12 décembre 2020.
Langues : Français (fre)
in Sociologie du travail > vol. 62, n° 4 (octobre-décembre 2020) . - mis en ligne le 12 décembre 2020
Catégories : Thésaurus CEREQ
ORGANISATION SYNDICALE ; REPRESENTANT DU PERSONNEL ; CONFLIT DU TRAVAIL ; OUVRIER NON QUALIFIE ; CONDITION DE TRAVAIL ; SANTE AU TRAVAIL ; RISQUE PSYCHOSOCIAL ; SOUFFRANCE AU TRAVAIL ; GENRE ; EMPLOI DES FEMMES ; FEMME ; ERGONOMIE ; TAYLORISME ; FRANCE
Organisme Cité
CFDT ; CGTRésumé : Quelle place les organisations syndicales ont-elles occupée dans les processus de mise en visibilité et d’occultation des souffrances psychiques liées au travail ? Pour répondre à cette question, nous nous intéressons au travail des conseillers techniques en charge de la santé au travail dans les deux principaux syndicats de travailleurs français, la CFDT et la CGT, entre 1950 et 1982. Cette démarche permet tout d’abord de prendre à rebours l’idée selon laquelle les directions syndicales ne se seraient pas préoccupées des questions de santé au travail. Elle met ensuite en lumière que, si la thématique des souffrances psychiques du travail connaît une forte visibilité à partir des années 1990 autour du « stress » des cadres, c’est d’abord en lien avec la situation des travailleuses peu qualifiées qu’elle est constituée en problème social et syndical. Cette thématique émerge ainsi dans les années 1950-1960 dans un contexte de recomposition des recherches en santé au travail portée par des scientifiques proches du mouvement social et de fortes mobilisations ouvrières. Au sein des directions confédérales, la mise à l’agenda de ce sujet est portée par des conseillers techniques épaulés par ces scientifiques militants. Cet article souligne ainsi le rôle des mobilisations sociales et des collaborations avec des scientifiques dans l’émergence de la thématique des souffrances psychiques, mais aussi des acteurs de l’ombre des confédérations, les conseillers techniques, dans sa mise à l’agenda. Il met enfin en évidence que la construction de revendications et d’actions syndicales sur ce sujet, tout comme son reflux à partir du milieu des années 1970, est étroitement articulée aux enjeux internes à ces organisations et à leurs priorités stratégiques. Document Céreq : Non En ligne : https://doi.org/10.4000/sdt.35647 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=69007 Fragilisation de la définition collective du travail bien fait… et emprise des indicateurs d’activité / Marc Loriol in Nouvelle revue de psychosociologie, n° 29 (2020/1)
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Titre : Fragilisation de la définition collective du travail bien fait… et emprise des indicateurs d’activité Type de document : document électronique Auteurs : Marc Loriol Année de publication : 2020 Article en page(s) : pp. 63-73 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
TRAVAIL EN EQUIPE ; INDICATEUR ; GESTION ; FRANCE ; MOTIVATION ; POLICIER ; EVALUATION ; SOUFFRANCE AU TRAVAIL ; POLICE ; ART ; ETUDE DE CASMots-clés : Emprise Résumé : La mise en place d’indicateurs d’activité dans les organisations publiques ou privées comme mode de management produit une réduction du sens du travail et une fragilisation des règles de métier. Cela induit des résistances de la part des salariés et des collectifs de travail. Pourtant, dans certains cas, le chiffre peut devenir une référence importante pour les salariés. Les cas de deux policiers d’une brigade de police de proximité et d’une scène de musiques actuelles (smac), issus de deux recherches qualitatives (observations et entretiens), illustrent le lien entre l’attachement aux résultats quantitatifs d’activité et la difficulté à construire ensemble un sens positif et valorisant au travail. La comparaison avec d’autres collectifs de travail dans des organisations du même type permet de mettre en évidence les limites et les risques d’une valorisation de soi par les chiffres. Document Céreq : Non En ligne : https://doi.org/10.3917/nrp.029.0063 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=67611
in Nouvelle revue de psychosociologie > n° 29 (2020/1) . - pp. 63-73[article] Fragilisation de la définition collective du travail bien fait… et emprise des indicateurs d’activité [document électronique] / Marc Loriol . - 2020 . - pp. 63-73.
Langues : Français (fre)
in Nouvelle revue de psychosociologie > n° 29 (2020/1) . - pp. 63-73
Catégories : Thésaurus CEREQ
TRAVAIL EN EQUIPE ; INDICATEUR ; GESTION ; FRANCE ; MOTIVATION ; POLICIER ; EVALUATION ; SOUFFRANCE AU TRAVAIL ; POLICE ; ART ; ETUDE DE CASMots-clés : Emprise Résumé : La mise en place d’indicateurs d’activité dans les organisations publiques ou privées comme mode de management produit une réduction du sens du travail et une fragilisation des règles de métier. Cela induit des résistances de la part des salariés et des collectifs de travail. Pourtant, dans certains cas, le chiffre peut devenir une référence importante pour les salariés. Les cas de deux policiers d’une brigade de police de proximité et d’une scène de musiques actuelles (smac), issus de deux recherches qualitatives (observations et entretiens), illustrent le lien entre l’attachement aux résultats quantitatifs d’activité et la difficulté à construire ensemble un sens positif et valorisant au travail. La comparaison avec d’autres collectifs de travail dans des organisations du même type permet de mettre en évidence les limites et les risques d’une valorisation de soi par les chiffres. Document Céreq : Non En ligne : https://doi.org/10.3917/nrp.029.0063 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=67611 Articuler performance économique et santé mentale des travailleurs / Nicolas Chaignot Delage in Ad machina, n° 3 (2019)
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PermalinkLa genèse organisationnelle de la souffrance au travail : cadrage conceptuel / Catherine Beaudry in Ad machina, n° 3 (2019)
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PermalinkVers la construction d’une culture organisationnelle de santé mentale au service des acteurs de changement dans l’économie sociale et solidaire / Clarisse Broucke in Ad machina, n° 3 (2019)
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PermalinkTravail réflexif de groupes de parole avec médiation élèves / enseignants en lycée / Sandra Loustallet-Sens in Questions d'orientation, vol. 90, n° 1 (mars 2020)
PermalinkSurveiller et prévenir la souffrance au travail : tensions et ambiguïtés d’une cellule d’écoute / Romain Juston Morival in Connaissance de l'emploi, n° 155 (février 2020)
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PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkLe bonheur, simple mode managériale ? / Yvan Barel in Revue des sciences de gestion, n° 297-298 (2019/3-4)
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PermalinkL’évolution de l’identité de métier des conseillers d’orientation à l’aune des transformations de l’organisation du travail scolaire au Québec / Simon Viviers in Education et sociétés, n° 43 (2019/1)
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PermalinkQuitter son métier, sortir de l’école : ce que disent du travail enseignant des projets féminins de reconversion professionnelle / Sophie Devineau in Education et sociétés, n° 43 (2019/1)
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PermalinkNégocier la souffrance puis le bien-être au travail / Catherine Vincent in Droit social, n° 11 (novembre 2019)
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PermalinkPour une analyse des idéologies du travail : le marxisme face à la psychodynamique du travail / Daria Saburova in Travailler, n° 42 (2019/2)
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Permalink« Souffrance en France » 20 ans plus tard. Dossier / Isabelle Gernet in Travailler, n° 42 (2019/2)
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PermalinkUne approche littéraire de la souffrance au travail / Marc Loriol in Revue des conditions de travail (La), n° 9 (septembre 2019)
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PermalinkCoursier à vélo de l'ubérisation / Elisabeth Leblanc in Revue des conditions de travail (La), n° 9 (septembre 2019)
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PermalinkEntrepreneurs en détresse cherchent soutien désespérément / Sonia Boussaguet in Entreprendre & Innover, n° 39 (2018/4)
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PermalinkLibérer la parole entrepreneuriale : des « Rebondisseurs français » témoignent / Claire Blain in Entreprendre & Innover, n° 39 (2018/4)
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PermalinkLe retour sur soi, condition du rebond après un échec entrepreneurial / Marie-Josée Bernard in Entreprendre & Innover, n° 39 (2018/4)
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PermalinkPermalinkLes pratiques en psychodynamique du travail. Partie II. Dossier / Congrès: Colloque International de Psychodynamique et Psychopathologie du Travail "Les pratiques en psychodynamique du travail : du terrain en entreprise à la consultation en cabinet" - CIPPT9 (9ème; 19 et 20 octobre 2017; Maison de la Chimie, Paris) in Travailler, n° 41 (2019/1)
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PermalinkLa prise en charge de la souffrance au travail / Jonathan Benelbaz in Revue internationale de psychosociologie et de gestion des comportements organisationnels, Vol. XXIV, n° 59 (2018)
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PermalinkProcessus démentiels et enjeux du négatif en gériatrie / Christine Louchard Chardon in Revue internationale de psychosociologie et de gestion des comportements organisationnels, Vol. XXIV, n° 59 (2018)
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PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkRisques psychosociaux : envisager le burnout comme un processus organisationnel / Ludovic Picart in RIMHE - Revue Interdisciplinaire sur le Management et l'Humanisme, n° 33 (2018/4)
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PermalinkQuand le stress professionnel dégénère en souffrance au travail : cas des enseignants-chercheurs tunisiens / Lamia Hechiche-Salah in @GRH, n° 27 (2018/2)
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PermalinkSoigner les dynamiques de don pour soigner le travail / Anouk Grevin in Recherches en Sciences de Gestion, n° 126 (2018/3)
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PermalinkEn première ligne. Le personnel face à la violence dans les établissement socio-éducatifs : une question de genre / Morgane Kuehni in Regards Sociologiques, n° 52 (septembre 2018)
PermalinkDéfis professionnels et dynamique plaisir-souffrance dans le travail éducatif : une typologie des équipes / Morgane Kuehni in Travailler, n° 40 (2018/2)
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PermalinkLes pratiques en psychodynamique du travail : du terrain en entreprise à la consultation en cabinet. Dossier / Christophe Dejours in Travailler, n° 40 (2018/2)
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PermalinkClarification et évaluation des termes du contrat psychologique / Khaled Saboune in @GRH, n° 25 (2017/4)
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PermalinkUne atteinte aux capacités de travail : l'usure des articulations / Ariane Leroyer in Connaissance de l'emploi, n° 140 (mars 2018)
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PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkLes clivages institutionnels souffrances de l’entre soi au travail / Sydney Gaultier in Pistes, vol. 19, n° 3 (2017)
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PermalinkProposition d’un modèle conceptuel du traumatisme vicariant appliqué à la gestion des ressources humaines / Julien Cusin in Revue de gestion des ressources humaines, n° 104 (avril-mai-juin 2017)
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PermalinkHistoire et actualité du concept de souffrance éthique / Duarte Rolo in Travailler, n° 37 (2017/1)
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PermalinkLes mécanismes institutionnels de déliaison dans un service de formation interne / Catherine Langlois in Travailler, n° 37 (2017/1)
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PermalinkPlaisir et souffrance dans le travail Partie II. Dossier / Plaisir et souffrance dans le travail (1986-1988) in Travailler, n° 37 (2017/1)
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