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| Titre : | La promotion sociale en France. |
| Auteurs : | Claude Dubar, Éditeur scientifique ; Charles Gadéa, Éditeur scientifique ; Yves Palazzeschi ; Christiane Rolle ; Boel Berner ; Claudine Fontanon ; Paul Santelmann ; Jean-François Chosson ; Richard Lick ; François Pottier ; Alain Chenu ; Gérard Podevin ; Jean-Jacques Paul |
| Type de document : | texte imprimé |
| Editeur : | Villeneuve d'Ascq : Presses Universitaires du Septentrion, 1999 |
| Collection : | Sociologie |
| ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-85939-574-2 |
| Format : | 278 p. |
| Langues: | Français |
| Catégories : |
Thésaurus CEREQ PROMOTION SOCIALE ; ECONOMIE DU TRAVAIL ; CHEMINEMENT PROFESSIONNEL ; FORMATION PROFESSIONNELLE ; FORMATION DES ADULTES ; FORMATION TOUT AU LONG DE LA VIE ; MOBILITE PROFESSIONNELLE ; POLITIQUE DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ; CO-INVESTISSEMENT EN FORMATION ; INGENIEUR ; OUVRIER ; EMPLOYE ; SALAIRE ; ETUDE HISTORIQUE ; ENQUETE FQP - FORMATION ET QUALIFICATION PROFESSIONNELLE ; INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE ; FRANCE ; EUROPE ; ALLEMAGNE ; ITALIEOrganisme Cité CNAM - CONSERVATOIRE NATIONAL DES ARTS ET METIERS ; AFPA ; CESI ; CENTRE D'ETUDES SUPERIEURES INDUSTRIELLES ; CFPPA |
| Résumé : | Cet ouvrage est le prolongement d'une journée d'études organisée par le laboratoire Printemps, en 1996, afin d'engager un débat autour de l'histoire des dispositifs de "promotion sociale" en France et d'éclairer la notion européenne de "formation tout au long de la vie". Les conséquences de la crise économique ont, en effet, substitué la notion de promotion sociale par celle de formation tout au long de la vie, afin de faire face à l'employabilité. Un glissement linguistique s'est ainsi opéré sur le terme de "promotion sociale", jusqu'à sa disparition de la dernière loi quinquennale de 1993. Les éclairages comparatifs européens montrent des processus historiques communs ainsi que des convergences partielles entre les diverses trajectoires des législations. Ainsi, les questions de "promotion sociale" font intervenir trois types de préoccupations : une conjoncture économique (comme le montre l'exemple suédois des années 30 à 60), une signification politique (illustrée par le thème de la deuxième chance et la défense de la méritocratie) et un mécanisme social (lié aux politiques de gestion de l'emploi). Cependant, malgré ces transformations, des institutions qui structurent le champ de la "promotion sociale" perdurent. En France, c'est le cas du Conservatoire national des arts et métiers, des Centres de formation professionnelle et de promotion agricole ou du Centre d'études supérieures industrielles. Par ailleurs, les effectifs d'adultes formés tout au long de la vie restent stables alors qu'on assiste, dans le même temps, à une explosion des effectifs de la formation professionnelle continue. Les publics des formations d'ingénieur, notamment au CNAM, sont constitués en grande partie de techniciens dotés de BTS ou DUT. Ainsi, la stabilité dans le temps des flux de stagiaires "en cours de promotion sociale" dépendrait de la sélectivité de ces formations. Enfin, la notion de promotion sociale est liée à des catégorisations et des processus sociaux particuliers. |
Exemplaires (1)
| Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
|---|---|---|---|---|---|
| 1027485 | O-74-99 | Ouvrage | CEREQ | Bibliothèque | Disponible |
