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Résumé :
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L’ouvrage est composé des textes d’interventions prononcées lors d’une rencontre qui s’est tenue en janvier 2014 en Suisse à la Haute école pédagogique du canton de Vaud. L’examen des résultats d’études financées par le Fonds national suisse de la recherche scientifique et la Haute école pédagogique a nourri les analyses de la nature du néolibéralisme. Est-il uniquement de nature économique ? Est-il applicable en tant que pensée à une problématique sociale et culturelle ? Peut-on le réduire à une approche gestionnaire comme le New Public Management ? Ces questions sont discutées à partir de divers champs disciplinaires tels que la pédagogie, la sociologie, l’économie et la philosophie. Les problèmes centraux abordés dans les textes sont d’une part la question du changement dans les espaces de pouvoir décisionnel en matière de politiques éducatives et, d’autre part, le fait que les politiques éducatives se résument de plus en plus à de la gouvernance et de la gestion. Dans ce domaine, l’État n’est plus tout-puissant. On assiste à une globalisation et, paradoxalement, à la montée de revendications locales et surtout à la nécessité de considérer chaque individu dans sa singularité. Les textes ouvrent un débat sur l’intérêt mais aussi sur les limites de la pensée néolibérale dans l’éducation et la formation. (4ème de couv.)
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