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Auteur Yasmine Siblot |
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[article]
Titre : En bas à gauche ? : Les effets différenciés de la socialisation institutionnelle d’agentes subalternes du public Type de document : document électronique Auteurs : Yasmine Siblot Année de publication : 2021 Article en page(s) : pp. 47-75 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
FONCTIONNAIRE ; FEMME DE MENAGE ; METIER DE L'HOTELLERIE-RESTAURATION ; AGENT TERRITORIAL ; ECOLE ; SOCIOLOGIE ; INSTITUTION ; CLASSE POPULAIRE ; EMPLOI DES FEMMES ; IDENTITE CULTURELLE ; SOCIALISATION ; SOCIALISATION PROFESSIONNELLE ; SOCIOLOGIE DES ORGANISATIONS ; CHEMINEMENT PROFESSIONNEL ; BNQ - BAS NIVEAU DE QUALIFICATION ; TRAVAIL NON QUALIFIE ; STATUT ; REPRESENTATION DU TRAVAIL ; TRAVAILLEUR MIGRANT ; DISCRIMINATION RACIALE ; ILE DE FRANCE ; FRANCERésumé : Cet article se centre sur les groupes situés « en bas, à gauche » de l’espace social et vise à caractériser les composantes scolaires, institutionnelles et professionnelles de leur capital culturel. Fondé sur une enquête ethnographique menée en banlieue parisienne, il propose une analyse centrée sur un groupe professionnel : les agentes des écoles (« agentes d’entretien et de restauration » et « agentes territoriales spécialisées des écoles maternelles »). La démarche adoptée consiste à mener l’analyse de leurs rapports à « l’école » et à « l’État » (c’est-à -dire aux institutions publiques) en observant leurs pratiques et discours à partir de l’espace de travail que constituent pour elles les écoles. La socialisation statutaire et professionnelle de ces agentes comporte une dimension culturelle et symbolique qui les situe bien « en bas, à gauche » de l’espace social, y compris pour les moins scolarisées (comme le montre sur ce terrain le cas d’agentes portugaises). Néanmoins, le capital culturel de ces fractions des classes populaires ne se confond pas avec des ressources scolaires, il recouvre également des ressources institutionnelles et professionnelles. Enfin, du fait de la diversité des trajectoires qui conduisent à ces emplois peu qualifiés du public et de l’importance de la précarité en leur sein, elle s’accompagne d’une hétérogénéité de positionnements moraux et politiques. Document Céreq : Non En ligne : https://doi.org/10.3917/pox.130.0047 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=69336
in Politix > n° 130 (2020/2) . - pp. 47-75[article] En bas à gauche ? : Les effets différenciés de la socialisation institutionnelle d’agentes subalternes du public [document électronique] / Yasmine Siblot . - 2021 . - pp. 47-75.
Langues : Français (fre)
in Politix > n° 130 (2020/2) . - pp. 47-75
Catégories : Thésaurus CEREQ
FONCTIONNAIRE ; FEMME DE MENAGE ; METIER DE L'HOTELLERIE-RESTAURATION ; AGENT TERRITORIAL ; ECOLE ; SOCIOLOGIE ; INSTITUTION ; CLASSE POPULAIRE ; EMPLOI DES FEMMES ; IDENTITE CULTURELLE ; SOCIALISATION ; SOCIALISATION PROFESSIONNELLE ; SOCIOLOGIE DES ORGANISATIONS ; CHEMINEMENT PROFESSIONNEL ; BNQ - BAS NIVEAU DE QUALIFICATION ; TRAVAIL NON QUALIFIE ; STATUT ; REPRESENTATION DU TRAVAIL ; TRAVAILLEUR MIGRANT ; DISCRIMINATION RACIALE ; ILE DE FRANCE ; FRANCERésumé : Cet article se centre sur les groupes situés « en bas, à gauche » de l’espace social et vise à caractériser les composantes scolaires, institutionnelles et professionnelles de leur capital culturel. Fondé sur une enquête ethnographique menée en banlieue parisienne, il propose une analyse centrée sur un groupe professionnel : les agentes des écoles (« agentes d’entretien et de restauration » et « agentes territoriales spécialisées des écoles maternelles »). La démarche adoptée consiste à mener l’analyse de leurs rapports à « l’école » et à « l’État » (c’est-à -dire aux institutions publiques) en observant leurs pratiques et discours à partir de l’espace de travail que constituent pour elles les écoles. La socialisation statutaire et professionnelle de ces agentes comporte une dimension culturelle et symbolique qui les situe bien « en bas, à gauche » de l’espace social, y compris pour les moins scolarisées (comme le montre sur ce terrain le cas d’agentes portugaises). Néanmoins, le capital culturel de ces fractions des classes populaires ne se confond pas avec des ressources scolaires, il recouvre également des ressources institutionnelles et professionnelles. Enfin, du fait de la diversité des trajectoires qui conduisent à ces emplois peu qualifiés du public et de l’importance de la précarité en leur sein, elle s’accompagne d’une hétérogénéité de positionnements moraux et politiques. Document Céreq : Non En ligne : https://doi.org/10.3917/pox.130.0047 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=69336 Introduction. Les rapports à l’école comme rapports à l’État / Lorenzo Barrault-Stella in Politix, n° 130 (2020/2)
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[article]
Titre : Introduction. Les rapports à l’école comme rapports à l’État Type de document : document électronique Auteurs : Lorenzo Barrault-Stella ; Philippe Bongrand ; Cédric Hugrée ; Yasmine Siblot Année de publication : 2021 Article en page(s) : pp. 7-22 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
SOCIOLOGIE DE L'EDUCATION ; ETAT ; SOCIOLOGIE ; SOCIALISATION ; CLASSE SOCIALE ; INSTITUTION ; FONCTION PUBLIQUE ; FAMILLE ; RELATION ECOLE-FAMILLE ; ETABLISSEMENT D'ENSEIGNEMENT ; FRANCERésumé : En France, plusieurs traditions de recherche ont étudié le système scolaire, son essor, et plus particulièrement les inégalités sociales de scolarisation et leurs conséquences en matière de différenciation sociale et symbolique des groupes sociaux. Mais ces études se préoccupent rarement d’examiner comment les rapports à l’école participent de rapports plus larges aux institutions publiques. Ces interrogations n’ont pas non plus été au cÅ“ur des recherches sur l’État : les analyses des politiques scolaires ne mettent pas à l’épreuve l’hypothèse de la dimension étatique des rapports à l’école des parents et élèves. Enfin, les recherches consacrées aux rapports « ordinaires » aux institutions, si elles accordent une place déterminante aux ressources scolaires et culturelles, interrogent rarement la portée des pratiques et des représentations liées à la scolarisation sur les rapports à d’autres institutions. Ce dossier entend contribuer à ces questionnements en proposant d’étudier l’école sans oublier l’État et, réciproquement, d’interroger la portée de l’école lorsqu’on enquête sur l’État. L’enjeu plus général de ce dossier est ainsi de placer la socialisation à l’État et les usages sociaux des institutions publiques au cÅ“ur de l’analyse des rapports à l’école, pour saisir de quelle manière sont déterminés, construits et façonnés les rapports à l’ordre étatique, aux diverses institutions administratives et politiques qui composent l’État. Document Céreq : Non En ligne : https://doi.org/10.3917/pox.130.0007 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=69328
in Politix > n° 130 (2020/2) . - pp. 7-22[article] Introduction. Les rapports à l’école comme rapports à l’État [document électronique] / Lorenzo Barrault-Stella ; Philippe Bongrand ; Cédric Hugrée ; Yasmine Siblot . - 2021 . - pp. 7-22.
Langues : Français (fre)
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SOCIOLOGIE DE L'EDUCATION ; ETAT ; SOCIOLOGIE ; SOCIALISATION ; CLASSE SOCIALE ; INSTITUTION ; FONCTION PUBLIQUE ; FAMILLE ; RELATION ECOLE-FAMILLE ; ETABLISSEMENT D'ENSEIGNEMENT ; FRANCERésumé : En France, plusieurs traditions de recherche ont étudié le système scolaire, son essor, et plus particulièrement les inégalités sociales de scolarisation et leurs conséquences en matière de différenciation sociale et symbolique des groupes sociaux. Mais ces études se préoccupent rarement d’examiner comment les rapports à l’école participent de rapports plus larges aux institutions publiques. Ces interrogations n’ont pas non plus été au cÅ“ur des recherches sur l’État : les analyses des politiques scolaires ne mettent pas à l’épreuve l’hypothèse de la dimension étatique des rapports à l’école des parents et élèves. Enfin, les recherches consacrées aux rapports « ordinaires » aux institutions, si elles accordent une place déterminante aux ressources scolaires et culturelles, interrogent rarement la portée des pratiques et des représentations liées à la scolarisation sur les rapports à d’autres institutions. Ce dossier entend contribuer à ces questionnements en proposant d’étudier l’école sans oublier l’État et, réciproquement, d’interroger la portée de l’école lorsqu’on enquête sur l’État. L’enjeu plus général de ce dossier est ainsi de placer la socialisation à l’État et les usages sociaux des institutions publiques au cÅ“ur de l’analyse des rapports à l’école, pour saisir de quelle manière sont déterminés, construits et façonnés les rapports à l’ordre étatique, aux diverses institutions administratives et politiques qui composent l’État. Document Céreq : Non En ligne : https://doi.org/10.3917/pox.130.0007 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=69328 Etre comme tout le monde. Employées et ouvriers dans la France contemporaine / Olivier Masclet (2020)
Titre : Etre comme tout le monde. Employées et ouvriers dans la France contemporaine Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivier Masclet, dir. ; Thomas Amossé, dir. ; Lise Bernard, dir. ; Marie Cartier, dir. ; Marie-Hélène Lechien, dir. ; Olivier Schwartz, dir. ; Yasmine Siblot, dir. Editeur : Paris : Raisons d'agir Année de publication : 2020 Collection : Cours et travaux Importance : 473 p ISBN/ISSN/EAN : 979-10-97084-06-6 Prix : 24 euros Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
OUVRIER ; EMPLOYE ; FRANCE ; RECIT DE VIE ; CLASSE OUVRIERE ; CLASSE POPULAIRE ; CHEMINEMENT PROFESSIONNEL ; CHEMINEMENT SCOLAIRE ; POPULATION D'ORIGINE ETRANGERE ; DECLASSEMENT PROFESSIONNEL ; MOBILITE SOCIALE ; GENRE ; MENAGE ; RELATION TRAVAIL-FAMILLE ; SOCIALISATION PROFESSIONNELLE ; FEMMERésumé : Il est question dans ce livre de ces femmes et de ces hommes, employées ou ouvriers, qui vivent des revenus de leur travail et s’efforcent de « s’en sortir » par eux-mêmes. Ces travailleurs représentent, aujourd’hui encore, un groupe social stable et important. Beaucoup plus qu’autrefois, ils entrent en interaction directe avec les membres des classes moyennes et supérieures, comme clients ou professionnels de services (garde d’enfants, santé, éducation, commerce, sécurité, transports publics, etc.). Par leurs aspirations, leur fréquentation plus longue du système scolaire, leur accès à la consommation, ils se rapprochent des catégories moyennes ; en même temps, ils demeurent éloignés du capital culturel, leurs ressources économiques restent incertaines et leur travail, peu payé et peu considéré, est toujours subalterne. Par des portraits de couples et de familles, résidant dans des espaces aussi bien ruraux qu’urbains, de générations et d’âges différents, ce livre éclaire ce que signifie « s’en sortir » ou plus exactement « s’en sortir à peu près » dans la société française actuelle. À rebours des discours convenus sur la « France périphérique » ou sur le « déclassement des classes moyennes », il donne à voir les conditions d’existence de ces classes populaires, stables mais fragiles, leurs pratiques à la fois publiques (travail, sociabilités, engagements bénévoles, rapport à la politique et aux institutions) et privées (économie domestique, rapports de genre et entre générations, loisirs individuels et « temps pour soi »). Cette série de 21 portraits montre comment ces femmes et ces hommes travaillent à « être comme tout le monde », c’est-à -dire à éviter la relégation parmi les « assistés » et à s’affirmer comme membres à part entière de ce que Robert Castel appelait la « société des semblables ». Elle fait comprendre leurs aspirations autant que leurs déceptions et leurs griefs, la manière dont ils s’efforcent de jouer le jeu d’un ordre social qui pourtant leur fait peu crédit. (4ème de couv.) Document Céreq : Non En savoir plus : voir le sommaire sur le site de l'éditeur Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=67607 Etre comme tout le monde. Employées et ouvriers dans la France contemporaine [texte imprimé] / Olivier Masclet, dir. ; Thomas Amossé, dir. ; Lise Bernard, dir. ; Marie Cartier, dir. ; Marie-Hélène Lechien, dir. ; Olivier Schwartz, dir. ; Yasmine Siblot, dir. . - Paris : Raisons d'agir, 2020 . - 473 p. - (Cours et travaux) .
ISBN : 979-10-97084-06-6 : 24 euros
Langues : Français (fre)
Catégories : Thésaurus CEREQ
OUVRIER ; EMPLOYE ; FRANCE ; RECIT DE VIE ; CLASSE OUVRIERE ; CLASSE POPULAIRE ; CHEMINEMENT PROFESSIONNEL ; CHEMINEMENT SCOLAIRE ; POPULATION D'ORIGINE ETRANGERE ; DECLASSEMENT PROFESSIONNEL ; MOBILITE SOCIALE ; GENRE ; MENAGE ; RELATION TRAVAIL-FAMILLE ; SOCIALISATION PROFESSIONNELLE ; FEMMERésumé : Il est question dans ce livre de ces femmes et de ces hommes, employées ou ouvriers, qui vivent des revenus de leur travail et s’efforcent de « s’en sortir » par eux-mêmes. Ces travailleurs représentent, aujourd’hui encore, un groupe social stable et important. Beaucoup plus qu’autrefois, ils entrent en interaction directe avec les membres des classes moyennes et supérieures, comme clients ou professionnels de services (garde d’enfants, santé, éducation, commerce, sécurité, transports publics, etc.). Par leurs aspirations, leur fréquentation plus longue du système scolaire, leur accès à la consommation, ils se rapprochent des catégories moyennes ; en même temps, ils demeurent éloignés du capital culturel, leurs ressources économiques restent incertaines et leur travail, peu payé et peu considéré, est toujours subalterne. Par des portraits de couples et de familles, résidant dans des espaces aussi bien ruraux qu’urbains, de générations et d’âges différents, ce livre éclaire ce que signifie « s’en sortir » ou plus exactement « s’en sortir à peu près » dans la société française actuelle. À rebours des discours convenus sur la « France périphérique » ou sur le « déclassement des classes moyennes », il donne à voir les conditions d’existence de ces classes populaires, stables mais fragiles, leurs pratiques à la fois publiques (travail, sociabilités, engagements bénévoles, rapport à la politique et aux institutions) et privées (économie domestique, rapports de genre et entre générations, loisirs individuels et « temps pour soi »). Cette série de 21 portraits montre comment ces femmes et ces hommes travaillent à « être comme tout le monde », c’est-à -dire à éviter la relégation parmi les « assistés » et à s’affirmer comme membres à part entière de ce que Robert Castel appelait la « société des semblables ». Elle fait comprendre leurs aspirations autant que leurs déceptions et leurs griefs, la manière dont ils s’efforcent de jouer le jeu d’un ordre social qui pourtant leur fait peu crédit. (4ème de couv.) Document Céreq : Non En savoir plus : voir le sommaire sur le site de l'éditeur Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=67607 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1023531 O-70-20 Ouvrage CEREQ Bibliothèque Disponible
[article]
Titre : Ouvriers et employés aujourd’hui : Une photo de classe Type de document : document électronique Auteurs : Yasmine Siblot ; Marie Cartier ; Isabelle Coutant ; Olivier Masclet ; Nicolas Renahy Année de publication : 2019 Article en page(s) : pp. 27-38 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
CLASSE POPULAIRE ; CLASSE SOCIALE ; PCS ; OUVRIER ; EMPLOYE ; MOBILITE SOCIALE ; FRANCE ; MOBILITE GEOGRAPHIQUERésumé : Pour saisir quelques-uns des principaux traits des classes populaires aujourd’hui, nous mobiliserons ici des données produites à partir des PCS (professions et catégories socioprofessionnelles). Les indépendants étant souvent étudiés à part, il est usuel de se concentrer sur les salariés d’exécution – donc sur les « ouvriers » et les « employés » – pour étudier les composantes populaires de la population active. Les frontières entre ces deux catégories sont souvent, et de plus en plus, flottantes. Ce flottement se retrouve dans la nomenclature des PCS : suivant le statut de leur employeur, les salariés du nettoyage peuvent être classés « employés » (pour les salariés de particulier) ou « ouvriers » (pour les salariés d’une entreprise) ; les cuisiniers qualifiés sont classés « ouvriers », les cuisiniers non qualifiés sont classés « employés » ; les gondoliers, qui rangent les produits sur les rayons de grandes surfaces, sont classés « employés », tandis que ceux qui poussent les chariots sont « ouvriers », alors qu’il s’agit souvent de la même personne , etc. Ces exemples mettent en lumière le fait que ces catégories sont construites avec moins de finesse que celles de « professions intermédiaires » et de « cadres ». Document Céreq : Non En ligne : https://www.cairn.info/revue-savoir-agir-2019-2-page-27.htm Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=66009
in Savoir/Agir > n° 48 (2019/2) . - pp. 27-38[article] Ouvriers et employés aujourd’hui : Une photo de classe [document électronique] / Yasmine Siblot ; Marie Cartier ; Isabelle Coutant ; Olivier Masclet ; Nicolas Renahy . - 2019 . - pp. 27-38.
Langues : Français (fre)
in Savoir/Agir > n° 48 (2019/2) . - pp. 27-38
Catégories : Thésaurus CEREQ
CLASSE POPULAIRE ; CLASSE SOCIALE ; PCS ; OUVRIER ; EMPLOYE ; MOBILITE SOCIALE ; FRANCE ; MOBILITE GEOGRAPHIQUERésumé : Pour saisir quelques-uns des principaux traits des classes populaires aujourd’hui, nous mobiliserons ici des données produites à partir des PCS (professions et catégories socioprofessionnelles). Les indépendants étant souvent étudiés à part, il est usuel de se concentrer sur les salariés d’exécution – donc sur les « ouvriers » et les « employés » – pour étudier les composantes populaires de la population active. Les frontières entre ces deux catégories sont souvent, et de plus en plus, flottantes. Ce flottement se retrouve dans la nomenclature des PCS : suivant le statut de leur employeur, les salariés du nettoyage peuvent être classés « employés » (pour les salariés de particulier) ou « ouvriers » (pour les salariés d’une entreprise) ; les cuisiniers qualifiés sont classés « ouvriers », les cuisiniers non qualifiés sont classés « employés » ; les gondoliers, qui rangent les produits sur les rayons de grandes surfaces, sont classés « employés », tandis que ceux qui poussent les chariots sont « ouvriers », alors qu’il s’agit souvent de la même personne , etc. Ces exemples mettent en lumière le fait que ces catégories sont construites avec moins de finesse que celles de « professions intermédiaires » et de « cadres ». Document Céreq : Non En ligne : https://www.cairn.info/revue-savoir-agir-2019-2-page-27.htm Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=66009 Saisir les dynamiques de genre en milieu populaire depuis la scène du travail subalterne / Christelle Avril in Sociologie du travail, vol. 61, n° 3 (juillet-septembre 2019)
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Titre : Saisir les dynamiques de genre en milieu populaire depuis la scène du travail subalterne : Introduction Type de document : document électronique Auteurs : Christelle Avril ; Marie Cartier ; Yasmine Siblot Année de publication : 2019 Article en page(s) : mis en ligne le 11 septembre 2019 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
CLASSE POPULAIRE ; DIVISION SEXUELLE DU TRAVAIL ; GENRE ; SOCIOLOGIE DU TRAVAIL ; TRAVAIL SALARIE ; SOCIOLOGIE DES ORGANISATIONS ; EMPLOI DES FEMMES ; MOBILITE PROFESSIONNELLE ; EMPLOYE ; OUVRIERRésumé : Ce texte est l’introduction au numéro spécial « Genre et classes populaires au travail », qui réunit des travaux prenant pour objet les rapports de genre au sein du salariat subalterne, avec pour originalité de se centrer sur les relations entre les sexes dans cette zone de l’espace professionnel, au sens des interactions concrètes entre femmes et hommes. Nous revenons dans un premier temps sur les travaux de sociologie analysant les relations de pouvoir internes aux univers de travail à la lumière du genre, comme la ségrégation sexuée inter- et intra-professionnelle ou encore la reproduction des stéréotypes de genre. Cette revue de la littérature permet de souligner un point aveugle que ce numéro entreprend d’éclairer : l’étude des effets de la mixité et des interactions directes entre les sexes dans le salariat subalterne. Dans un deuxième temps sont mis en relief les apports originaux des six articles composant le numéro thématique : quatre enquêtes récentes, une note critique portant sur des travaux d’histoire peu connus des sociologues, et la traduction d’un article de deux sociologues américaines paru en 1994. Dans un troisième temps, nous ouvrons des perspectives de recherche complémentaires pour explorer les dynamiques des rapports sociaux de classe, de genre, mais aussi de race ou d’âge, au sein du salariat subalterne et des classes populaires. Document Céreq : Non En ligne : https://journals.openedition.org/sdt/21148 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=65703
in Sociologie du travail > vol. 61, n° 3 (juillet-septembre 2019) . - mis en ligne le 11 septembre 2019[article] Saisir les dynamiques de genre en milieu populaire depuis la scène du travail subalterne : Introduction [document électronique] / Christelle Avril ; Marie Cartier ; Yasmine Siblot . - 2019 . - mis en ligne le 11 septembre 2019.
Langues : Français (fre)
in Sociologie du travail > vol. 61, n° 3 (juillet-septembre 2019) . - mis en ligne le 11 septembre 2019
Catégories : Thésaurus CEREQ
CLASSE POPULAIRE ; DIVISION SEXUELLE DU TRAVAIL ; GENRE ; SOCIOLOGIE DU TRAVAIL ; TRAVAIL SALARIE ; SOCIOLOGIE DES ORGANISATIONS ; EMPLOI DES FEMMES ; MOBILITE PROFESSIONNELLE ; EMPLOYE ; OUVRIERRésumé : Ce texte est l’introduction au numéro spécial « Genre et classes populaires au travail », qui réunit des travaux prenant pour objet les rapports de genre au sein du salariat subalterne, avec pour originalité de se centrer sur les relations entre les sexes dans cette zone de l’espace professionnel, au sens des interactions concrètes entre femmes et hommes. Nous revenons dans un premier temps sur les travaux de sociologie analysant les relations de pouvoir internes aux univers de travail à la lumière du genre, comme la ségrégation sexuée inter- et intra-professionnelle ou encore la reproduction des stéréotypes de genre. Cette revue de la littérature permet de souligner un point aveugle que ce numéro entreprend d’éclairer : l’étude des effets de la mixité et des interactions directes entre les sexes dans le salariat subalterne. Dans un deuxième temps sont mis en relief les apports originaux des six articles composant le numéro thématique : quatre enquêtes récentes, une note critique portant sur des travaux d’histoire peu connus des sociologues, et la traduction d’un article de deux sociologues américaines paru en 1994. Dans un troisième temps, nous ouvrons des perspectives de recherche complémentaires pour explorer les dynamiques des rapports sociaux de classe, de genre, mais aussi de race ou d’âge, au sein du salariat subalterne et des classes populaires. Document Céreq : Non En ligne : https://journals.openedition.org/sdt/21148 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=65703 « Eux/nous/ils » ? Sociabilités et contacts sociaux en milieu populaire / Marie-Hélène Lechien in Sociologie, vol. 10, n° 1 (2019/1)
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PermalinkEntretenir un rapport mobilisé à sa condition sociale en milieu populaire / Yasmine Siblot in Sociétés contemporaines, n° 109 (2018/1)
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PermalinkLes relations de guichet : interactions de classes et classements sociaux / Yasmine Siblot in Lien social et politiques, n° 75 (2016)
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PermalinkDe la sociologie de la classe ouvrière à la sociologie des classes populaires / Nicolas Renahy in Savoir/Agir, n° 34 (2015/4)
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PermalinkPermalinkContraintes et ambivalences du travail d’accueil du public / Yasmine Siblot in Informations sociales, n° 158 (mars-avril 2010)
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PermalinkPermalinkAu-delà du stress au travail : une sociologie des agents publics au contact des usagers. / Françoise Piotet (2008)
PermalinkPermalinkPermalinkDe l'intérêt général à l'utilité sociale. La reconfiguration de l'action publique entre Etat, associations et participation citoyenne. / Henry Noguès (2006)
PermalinkClasses populaires et services publics. / Christelle Avril in Sociétés contemporaines, n° 58 (2005)
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PermalinkPolitiques des espaces urbains. / Sylvie Tissot in Actes de la recherche en sciences sociales, n° 159 (septembre 2005)
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