Accueil
Titre : | Quitter l’entreprise qui a financé une formation : une pratique paradoxale ? (2017) |
Auteurs : | Benoît Cart ; Valérie Henguelle ; Marie-Hélène Toutin |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Formation emploi (n° 137, janvier-mars 2017) |
Article en page(s) : | pp. 119-139 |
Langues: | Français |
Catégories : |
Affiliation Céreq Céreq - Centre associé de LilleThésaurus CEREQ FORMATION PROFESSIONNELLE ; FINANCEMENT DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ; TRANSFERABILITE DES COMPETENCES ; MOBILITE PROFESSIONNELLE ; SALARIE ; POLITIQUE SALARIALE D'ENTREPRISE ; FORMATION PROFESSIONNELLE EN ENTREPRISE ; ECONOMETRIE ; EMPLOYABILITE ; ENQUETE DIFES2 ; ENQUETE CVTS ; FRANCE |
Résumé : | Le contrôle des externalités de la formation est au cœur de la problématique de Becker : l’entreprise qui a financé une « formation spécifique » devrait mettre tout en œuvre pour conserver les salariés formés. Or, le dispositif DIFES-CVTS (respectivement dispositif d’information sur la formation employeur-salarié et Continuing vocational Training Survey), qui permet de préciser la notion de formation « quasi-spécifique », montre qu’une part non négligeable des salariés ayant bénéficié de ce type de formation quitte néanmoins l’entreprise. Les résultats économétriques prouvent également que le cofinancement de la formation ne protège pas les salariés de la sortie de l’entreprise, voire même favorise leur départ. Au final, ce sont donc les usages de la formation qui sont questionnés. |
Document Céreq : | Non |
En ligne : | https://doi.org/10.4000/formationemploi.5017 |