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Titre : | Encadrer : une tâche peu féminisée qui n’est pas réservée aux cadres (2022) |
Auteurs : | Hayet Bendekkiche ; Thierry Mainaud |
Type de document : | Article : document Ă©lectronique |
Dans : | INSEE Première (n° 1920, septembre 2022) |
Article en page(s) : | 4 p |
Langues: | Français |
Catégories : |
Thésaurus CEREQ ENCADREMENT ; CADRE ; PROFESSION INTERMEDIAIRE ; EMPLOYE ; OUVRIER ; SALARIE ; GENRE ; NIVEAU DE FORMATION ; TEMPS DE TRAVAIL ; HORAIRE DE TRAVAIL ; SECTEUR PRIVE ; SECTEUR PUBLIC ; FRANCE |
Résumé : |
En 2021, 13 % des salariés ont pour tâche principale de superviser le travail d’autres salariés. Les cadres et professions intermédiaires en constituent la majorité (50 % et 33 %), mais 16 % sont ouvriers ou employés.
Près de deux tiers des encadrants sont des hommes. Y compris à groupe socioprofessionnel donné, les hommes encadrent plus souvent que les femmes. La fonction d’encadrant est plus fréquente chez les quadragénaires ; elle est aussi davantage répandue dans le secteur privé que dans la fonction publique. La part d’encadrants est la plus élevée dans la construction et l’industrie. Encadrer va de pair avec une charge horaire plus importante et des horaires plus flexibles. En moyenne en 2021, 35 % des encadrants ont travaillé le soir au moins une fois sur une période de quatre semaines, contre 22 % des salariés sans tâche d’encadrement. Trois groupes d'encadrants se dessinent : les cadres du privé, au volume horaire important, les encadrants intermédiaires du privé, souvent aux 35 heures, et les encadrants du secteur public, avec plus de femmes et de temps partiels, mais aussi d’horaires atypiques. |
Document Céreq : | Non |
En ligne : | https://www.insee.fr/fr/statistiques/6527986 |
Documents numériques (1)
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