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Titre : | Diplôme et carrière : un lien indéfectible ? : Le cas d’une grande entreprise de télécommunication (2017) |
Auteurs : | HĂ©dia Zannad ; GĂ©raldine Galindo |
Type de document : | Article : document Ă©lectronique |
Dans : | Management & Avenir (n° 92, 2017/2) |
Article en page(s) : | pp. 41-63 |
Langues: | Français |
Catégories : |
Thésaurus CEREQ RELATION FORMATION-EMPLOI ; CHEMINEMENT PROFESSIONNEL ; DIPLOME ; GRANDE ECOLE ; INEGALITES ; ETUDE DE CAS ; RECRUTEMENT ; CRITERE D'EMBAUCHE ; PRATIQUE DE GRH ; FRANCEOrganisme Cité Orange |
Résumé : | Si la centralité du diplôme dans le processus de recrutement et d’évolution du début de carrière est une affaire de bon sens, elle est plus difficile à accepter – voire à être perçue comme un motif de discrimination – lorsqu’elle perdure tout au long de la carrière, et notamment quand il s’agit d’accéder aux postes de direction d’une organisation, puisqu’on devrait plutôt s’attendre à ce que seules les compétences et performances soient prises en compte à ce stade. S’il est particulièrement difficile de mesurer l’impact socio-économique d’un système dans lequel les diplômés des grandes écoles ont un accès prioritaire aux fonctions dirigeantes des entreprises, il est en revanche plus aisé d’analyser, à un niveau individuel, le rôle joué par le diplôme dans la trajectoire des salariés. C’est cette question qui est soulevée dans le cadre d’une entreprise qui accorde de l’importance aux diplômes de prestige : le groupe Orange. Cette étude de cas montre que l’attitude des salariés face à l’accès privilégié des diplômés de grandes écoles aux postes de direction, n’est pas nécessairement négative et que les salariés qui « réussissent » malgré un diplôme de rang 2 ont mis en œuvre des mécanismes de compensations spécifiques telles que des compétences spécialisées, une forte mobilité géographique ou un travail en mode projet. (Source : revue) |
Document Céreq : | Non |
En ligne : | http://www.cairn.info/revue-management-et-avenir-2017-2-page-41.htm |