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Titre : | Quatre ans après le CAP ou le BEP, que gagnent-ils ? (1995) |
Auteurs : | Marc Bordigoni ; Michèle Mansuy |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Céreq Bref (n° 112, septembre 1995) |
Article en page(s) : | 4 p |
Langues: | Français |
Catégories : |
Thésaurus CEREQ SALAIRE ; JEUNE ; CAP - CERTIFICAT D'APTITUDE PROFESSIONNELLE ; BEP - BREVET D'ETUDES PROFESSIONNELLES ; NIVEAU V ; ENSEIGNEMENT TECHNIQUE-PROFESSIONNEL ; APPRENTISSAGE ; FILIERE DE FORMATION ; EMPLOI DES JEUNES ; LYCEEN ; ENQUETE D'INSERTION ; FRANCE |
Résumé : |
Quatre ans après la fin de l'enseignement professionnel court, la moitié des jeunes en situation d'emploi salarié à temps complet gagne plus de 5700 francs net par mois, primes et avantages compris. Les écarts tendent à se creuser au cours des premières années de vie active ; l'avantage salarial aux formations industrielles masculines se confirme. La meilleure reconnaissance du niveau de formation dans les emplois occupés dont bénéficient les anciens apprentis ne se traduit pas par un meilleur niveau de rémunération : étant peu employés dans les secteurs industriels les plus rémunérateurs leur niveau de salaire est globalement inférieur à celui des anciens lycéens. Cependant, dans les secteurs d'activité où l'apprentissage est très répandu (industrie agro-alimentaire, commerce, hôtellerie), ils ont des niveaux de salaire équivalents, voire meilleurs que ceux des jeunes formés au lycée.
Période couverte par le document : 1993 |
Document Céreq : | Oui |
Documents numériques (1)
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