Accueil
Titre : | Les racines de l’emprise et de la résilience patronale (2020) |
Auteurs : | Danièle Linhart |
Type de document : | Article : document Ă©lectronique |
Dans : | Nouvelle revue de psychosociologie (n° 29, 2020/1) |
Article en page(s) : | pp. 37-48 |
Langues: | Français |
Catégories : |
Thésaurus CEREQ SYNDICALISME PATRONAL ; ENCADREMENT ; TRAVAIL ; SAVOIR PROFESSIONNEL ; TAYLORISME ; CONFLIT DU TRAVAIL ; ORGANISATION SYNDICALE ; ORGANISATION DU TRAVAIL ; INDIVIDUALISATION DU SALAIRE ; FRANCE ; GESTION |
Mots-clés: | Emprise ; Subordination |
Résumé : | Le patronat bénéficie d’un avantage incontestable qui se résume en ce que, le plus souvent, les formes de contestation des modalités de la mise au travail et de la domination qu’il met en œuvre jouent en sa faveur. Notamment parce que le travail, outre qu’il est nécessaire pour gagner sa vie, représente un enjeu collectif et individuel primordial en termes de sens, d’identité, de valeurs. Mais le patronat démontre aussi son incroyable capacité à faire régulièrement son mea culpa, ce qui lui permet de reprendre la main sans se remettre en cause. Il a ainsi produit un modèle managérial qui personnalise la subordination et disqualifie la professionnalité. Cet article vise à analyser ces deux aspects de l’emprise managériale. |
Document Céreq : | Non |
En ligne : | https://doi.org/10.3917/nrp.029.0037 |