Accueil
Titre : | Le pouvoir d’agir des salariés au prisme de la formation : les promesses non tenues d’une doctrine managériale (2014) |
Auteurs : | Coralie Perez |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Relations industrielles / Industrial relations (n° 69-1, Hiver/Winter 2014) |
Article en page(s) : | pp. 3-27 |
Langues: | Français |
Catégories : |
Thésaurus CEREQ MOTIVATION ; EMPLOYE ; AUTONOMIE PROFESSIONNELLE ; REPRESENTATION DE LA FORMATION ; PRATIQUE DE GRH ; FORMATION PROFESSIONNELLE ; COMPETENCE ; POLITIQUE D'ENTREPRISE ; INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE ; PSYCHOLOGIE DU TRAVAIL ; FRANCEOrganisme Cité Centre d'études et de recherches sur les qualifications ; Soda |
Résumé : | La volonté affichée de donner des capacités d’agir aux salariés s’incarne dans le concept d’« habilitation » (empowerment) qui désigne des formes d’initiative et de participation accordées aux salariés, d’amplitude toutefois variable. Dans une perspective critique qui inspire notre travail, l’« habilitation » peut être vue comme une rhétorique managériale destinée à mobiliser la subjectivité des salariés tout en voilant les rapports de domination. En tout état de cause, la formation devrait constituer une ressource susceptible d’accroître le pouvoir d’agir des salariés et être conçue par les directions et perçue par les salariés comme telle. Comment et avec qui conçoit-on une politique de formation en cohérence avec ce projet ? Comment (et dans quelle mesure) cette politique contribue-t-elle effectivement à l’« habilitation » des salariés ? (...) (source : RI/IR) |
Document Céreq : | Non |
En savoir plus : | voir la présentation complète de l'article |