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| Titre : | Quelle utilité les CAP et BEP tertiaires ont-ils aujourd'hui ? (2003) |
| Auteurs : | Thomas Couppié ; Alberto Lopez |
| Type de document : | Article : texte imprimé |
| Dans : | Céreq Bref (n° 196, avril 2003) |
| Article en page(s) : | 4 p. |
| Langues: | Français |
| Catégories : |
Thésaurus CEREQ BEP - BREVET D'ETUDES PROFESSIONNELLES ; OFFRE DE FORMATION PROFESSIONNELLE ; CAP - CERTIFICAT D'APTITUDE PROFESSIONNELLE ; INSERTION PROFESSIONNELLE ; DEBUTANT ; EMPLOYE ; EMPLOI TERTIAIRE ; FRANCE ; ENQUETE GENERATION 1992 ; ENQUETE GENERATION 1998 |
| Résumé : | Changements dans l'organisation du travail, développement de nouvelles technologies. l'environnement de travail des employés a profondément évolué au cours des dernières décennies. Dans ce contexte, les jeunes titulaires d'un CAP ou d'un BEP tertiaire sont de plus en plus exposés à la concurrence des plus diplômés. En début de vie active, leurs conditions d'insertion professionnelle ne sont, de fait, guère favorables. Est-ce à dire que leurs diplômes n'ont plus de valeur sur le marché du travail et plus aucune vertu ? Pas nécessairement, car si les emplois administratifs de base sont pratiquement fermés aux débutants n'ayant en poche qu'un BEP, sur d'autres domaines professionnels un diplôme de ce niveau n'en reste pas moins un atout. De plus, même lorsqu'ils ont été formés à des emplois accaparés par les plus diplômés, les jeunes titulaires d'un CAP ou d'un BEP tertiaire échappent davantage aux longues périodes de chômage et aux emplois précaires que les non diplômés. |
| Document Céreq : | Oui |
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