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Titre : | Comprendre les parcours inclusifs et les dynamiques inclusives : observations, analyses et perspectives - Dossier (2022) |
Auteurs : | Diane Bedoin, dir. ; Maryan Lemoine, dir. ; Geneviève Zoïa, dir. |
Type de document : | Article : document Ă©lectronique |
Dans : | Education et socialisation - Les cahiers du CERFEE (n° 65, 2022) |
Article en page(s) : | mis en ligne le 30 septembre 2022 |
Langues: | Français |
Catégories : |
Thésaurus CEREQ HANDICAPE ; FAMILLE ; POPULATION SCOLAIRE ; ENSEIGNANT ; SCOLARISATION ; CHEMINEMENT SCOLAIRE ; BELGIQUE ; IDENTITE PROFESSIONNELLE ; FRANCE ; ETHIQUE ; ENSEIGNEMENT SCOLAIREOrganisme Cité ULIS - Unité localisée pour l’inclusion scolaire |
Résumé : | Ce numéro d’Éducation et socialisation, les Cahiers du CERFEE vise ainsi, à partir de la présentation d’exemples, d’expériences et de vécus, à éclairer ce qui se joue dans l’« invention du quotidien » (de Certeau, 1980) en mobilisant deux entrées conceptuelles comme outils analytiques. D’une part, parler de « parcours inclusifs » permet de considérer la dimension narrative et l’approche biographique, en première personne. La visée est de rendre compte des actions et des moyens mis en œuvre pour y parvenir ainsi que des expériences vécues par les sujets directement concernés –élèves, familles ou professionnels (Bedoin & Janner-Raimondi, 2016, 2017). Comment perçoivent-ils et vivent-ils leur situation ? Quels récits font-ils des expériences vécues ? Sur quels événements, décisifs selon eux, accentuent-ils leur propos ? Se situent-ils dans la continuité ou en rupture (avec qui ? avec quoi ?) Au fil de leurs cheminements, quelles rencontres ont pu être nouées, qui se sont révélées centrales dans leur parcours inclusif ? D’autre part, parler de « dynamiques inclusives », c’est proposer de regarder les choses dans leur mouvement, au sein d’interactions, dans les configurations étudiées (Elias, 1991), à hauteur des familles, des professionnels ou encore des acteurs institutionnels. L’objectif est alors de donner à voir, à comprendre ce qu’ils font et comment ils le conçoivent, et ainsi, dans ces circonstances, d’interroger ce que cela fait bouger dans les collectifs de travail, leurs organisations et leurs institutions (Lemoine, 2020 ; Lemoine et al., 2012). Qui prend l’initiative ? Selon quelles lectures des situations et des enjeux, et à quel moment les acteurs se mobilisent-ils ? Quels choix, importants ou plus anodins, selon eux, contribuent alors à nourrir les dynamiques inclusives ? Qui les portent et les animent ? Que produisent enfin ces dynamiques pour les acteurs ? |
Document Céreq : | Non |
En ligne : | https://doi.org/10.4000/edso.19880 |