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Titre : | Identités professionnelles des formateurs d’enseignants d’EPS en UFR STAPS lors de l’année de préparation au CAPEPS (2014) |
Auteurs : | Youcef Alanbagi ; Ghislain Carlier ; Jacques Mikulovic |
Type de document : | Article : document Ă©lectronique |
Dans : | Recherches en éducation (n° 20, octobre 2014) |
Article en page(s) : | pp. 97-115 |
Langues: | Français |
Catégories : |
Thésaurus CEREQ ENSEIGNANT ; METIER DU SPORT ; EDUCATION PHYSIQUE-SPORT ; FORMATEUR ; FORMATION DE FORMATEUR ; PREPARATION AU CONCOURS ; ENSEIGNEMENT UNIVERSITAIRE ; IDENTITE PROFESSIONNELLE ; ANALYSE DU TRAVAIL ; FRANCE |
Résumé : | Depuis la création des quatorze unités d’enseignement et de recherche en éducation physique et sportive (UER EPS) en novembre 1968 suite à la loi Faure, puis des UFR STAPS en 1984, avec les débats entre savoirs théoriques et savoirs pratiques, la formation des enseignants d’éducation physique et sportive (EPS) est marquée par des tensions entre les orientations professionnelles et universitaires. Cet article aborde le regard sur les contenus de formation des futurs professeurs d’EPS au certificat d’aptitude au professorat d’EPS (CAPEPS) du point de vue des formateurs d’enseignants. Cette recherche permet de mettre en évidence une distribution des formateurs intervenant lors de l’année de préparation à ce concours. Elle s’appuie sur un corpus de quarante et un formateurs impliqués dans ces masters en sciences et techniques des activités physiques et sportives (STAPS) support de la préparation, lesquels sont interrogés à l’aide d’un questionnaire qui a fait l’objet d’une analyse factorielle des correspondances. L’étude met ainsi en relief trois pôles antagonistes de formateurs : les Scientifiques, les Didacticiens et les Sportifs. Elle permet également d’identifier les difficultés qu’ont les formateurs en STAPS à se représenter leur propre fonction au sein de l’Université. En effet, nous repérons que l’image que les formateurs se font de l’enseignant d’EPS débutant, au sortir de sa formation diplômante, n’est autre que celle qu’ils pensent avoir été. Cette recherche fait écho aux travaux de Peyronie (1998) montrant l’importance de la dimension expérientielle dans la construction identitaire, de même que ceux de Pérez-Roux (2011) quand elle s’intéresse à la construction identitaire des enseignants d’EPS. (Source : revue) |
Document Céreq : | Non |
En ligne : | https://doi.org/10.4000/ree.8110 |