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Titre : | Le cas d'une formation homologuée pour une action de reconversion (1990) |
Auteurs : | Marie-Eve Balut |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Formation emploi (n° 32, octobre-décembre 1990) |
Article en page(s) : | pp. 28-36 |
Langues: | Français |
Catégories : |
Thésaurus CEREQ VALIDATION DES ACQUIS ; OUVRIER NON QUALIFIE ; OUVRIER ; CHEMINEMENT PROFESSIONNEL ; HOMOLOGATION DE TITRE ; CONTENU DE FORMATION ; FORMATION PROFESSIONNELLE EN ENTREPRISE ; CERTIFICATION ; EXPERIENCE ; ETUDE DE CAS ; METIER DE L'ELECTRICITE-ELECTRONIQUE ; FRANCE |
Résumé : |
L'entreprise, filiale d'un groupe de l'électricité-électronique, est composée à plus de 50 % d'ouvriers spécialisés dans des tâches en voie de disparition ou d'automatisation, d'où la nécessité de procéder à une reconversion interne de sa main-d'oeuvre. La formation homologuée est l'instrument de cette mutation. Les contraintes d'organisation de l'activité productive ont pesé sur les conditions de mise en oeuvre de la formation et de sélection des stagiaires. La certification constitue un enjeu de négociation majeur au sein de l'entreprise. Elle constitue une contrepartie donnée aux salariés qui acceptent de s'engager dans l'action lourde de formation (630 heures réparties sur trois ans) conçue par l'employeur.
Cette formation fournit la main-d'oeuvre qualifiée dont l'entreprise a besoin et contribue à éviter des licenciements. Elle n'entraîne une promotion que si le salarié accède à un poste plus qualifié. |
Document Céreq : | Oui |
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