Résumé :
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L’engagement pour le commun se manifeste avec force. Il est au cœur des luttes sociales et écologiques (squat, occupation, Zone À Défendre…) et au centre d’une multiplicité d’expérimentations qui transforment en profondeur les formes de vie et d’activité (atelier coopératif, communauté de pratique, centre social autogéré…). Le commun est donc mis au travail par de nombreux collectifs qui refusent de se laisser déposséder de leur vie et de leurs espoirs tant par une gestion étatique lourdement technocratisée et bureaucratisée, que par le fonctionnement arbitraire et inégalitaire du marché. Le travail du commun puise son énergie émancipatrice dans cette double critique, critique de l’État qui dépossède les citoyens de l’administration des biens et services d’intérêt collectif, critique du marché qui isole les individus et corrompt systématiquement les possibilités de partage et de mutualisation. Ce livre laisse ouverts les parcours de lecture car les problématiques qu’ils traitent reste encore à inventer et à construire. (4ème de couv)
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