Accueil
Titre : | Quand le travail s’invite, qu’en est-il des visées émancipatrices de la formation ? (2023) |
Auteurs : | Anne-Lise Ulmann ; Isabelle Fristalon |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Education permanente (n° 234-235, 2023/1-2) |
Article en page(s) : | pp. 99-105 |
Langues: | Français |
Catégories : |
Thésaurus CEREQ FORMATION DES ADULTES ; RELATION FORMATION-EMPLOI ; TRAVAIL ; FORMATEUR ; FORMATION PROFESSIONNELLE ; FORMATION SUR LE TAS ; CHAUFFEUR ROUTIER ; FRANCE ; ENSEIGNANT ; RECIT DE VIE ; SUISSE |
Résumé : | Depuis longtemps, la formation des adultes est suspectée de négliger les visées sociales qui étaient les siennes : former des citoyens. Cette suspicion est d’autant plus actuelle que la loi de 2018 assigne à la formation un objectif explicitement professionnel. On peut comprendre les craintes des partenaires sociaux à l’égard de ce « tournant utilitariste » dès lors que le travail s’invite dans la formation. L’article s’attache pourtant à faire l’hypothèse inverse : faire usage des situations de travail comme ressources pour la formation peut constituer un levier et permettre aux professionnels de tenir un point de vue sur leur activité, de s’émanciper d’un prescrit intenable et de réinstaurer des dialogues professionnels contribuant à plus de démocratie au sein des organisations. |
Document Céreq : | Non |
En ligne : | https://doi.org/10.3917/edpe.234.0099 |