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Titre : | Fragilisation de la définition collective du travail bien fait… et emprise des indicateurs d’activité (2020) |
Auteurs : | Marc Loriol |
Type de document : | Article : document Ă©lectronique |
Dans : | Nouvelle revue de psychosociologie (n° 29, 2020/1) |
Article en page(s) : | pp. 63-73 |
Langues: | Français |
Catégories : |
Thésaurus CEREQ TRAVAIL EN EQUIPE ; INDICATEUR ; GESTION ; FRANCE ; MOTIVATION ; POLICIER ; EVALUATION ; SOUFFRANCE AU TRAVAIL ; POLICE ; ART ; ETUDE DE CAS |
Mots-clés: | Emprise |
Résumé : | La mise en place d’indicateurs d’activité dans les organisations publiques ou privées comme mode de management produit une réduction du sens du travail et une fragilisation des règles de métier. Cela induit des résistances de la part des salariés et des collectifs de travail. Pourtant, dans certains cas, le chiffre peut devenir une référence importante pour les salariés. Les cas de deux policiers d’une brigade de police de proximité et d’une scène de musiques actuelles (smac), issus de deux recherches qualitatives (observations et entretiens), illustrent le lien entre l’attachement aux résultats quantitatifs d’activité et la difficulté à construire ensemble un sens positif et valorisant au travail. La comparaison avec d’autres collectifs de travail dans des organisations du même type permet de mettre en évidence les limites et les risques d’une valorisation de soi par les chiffres. |
Document Céreq : | Non |
En ligne : | https://doi.org/10.3917/nrp.029.0063 |