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Titre : | Une VAE à l’université, et après ? (2016) |
Auteurs : | Gilles Pinte |
Type de document : | Article : document Ă©lectronique |
Dans : | Ripes - Revue internationale de pédagogie de l'enseignement supérieur (n° 32-2, printemps 2016) |
Article en page(s) : | mis en ligne le 20 juin 2016 |
Langues: | Français |
Catégories : |
Thésaurus CEREQ VALIDATION DES ACQUIS ; UNIVERSITE ; FRANCE ; PROMOTION ; MOBILITE PROFESSIONNELLE ; REINSERTION PROFESSIONNELLE ; CHEMINEMENT PROFESSIONNEL |
Résumé : |
Le dispositif français de validation des acquis de l’expérience (VAE) consiste à prendre en compte l’expérience non formelle et informelle acquise par un individu. Ce dispositif a été conçu comme une quatrième voie de certification après la formation initiale, la formation continue et l’apprentissage. En permettant la validation totale d’un diplôme, l’objectif voulu par le législateur était de promouvoir la promotion professionnelle. Après plus de dix années de mise en place, de nombreux aspects de la VAE ont été étudiés par des chercheurs : la motivation des candidats, l’analyse de l’expérience, la notion d’accompagnement dans le processus de validation… Peu de recherches par contre se sont intéressées à l’après VAE, c’est-à -dire aux « effets » de la VAE sur la promotion professionnelle, la rémunération, la reconversion, le retour à l’emploi. C’est pour éclairer ces effets que nous proposons dans cet article les résultats d’une enquête réalisée auprès de 223 candidats d’une université qui ont suivi une procédure de VAE pour des diplômes allant du diplôme universitaire de technologie ou de la licence jusqu’au master 2. |
Document Céreq : | Non |
En ligne : | http://ripes.revues.org/1081 |