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Titre : | L’insertion professionnelle des jeunes sortis d’une formation initiale en environnement en 2010 |
Auteurs : | France. CGDD - Commissariat général au développement durable (Paris) |
Type de document : | document Ă©lectronique |
Editeur : | Paris : Commissariat général au développement durable, 2015 |
Collection : | Etudes et documents, ISSN 2102-4723, num. 131 |
Format : | 76 p |
Langues: | Français |
Catégories : |
Thésaurus CEREQ INSERTION PROFESSIONNELLE ; NIVEAU DE FORMATION ; JEUNE ; FRANCE ; RAPPORT ; METIER DE L'ENVIRONNEMENT ; ECOLOGIE ; METIER DE L'EXTRACTION-ENERGIE ; ENQUETE GENERATION 2010 ; CHEMINEMENT PROFESSIONNEL ; EVOLUTION DES QUALIFICATIONS |
Résumé : | En 2010, environ 668 000 jeunes ont quitté pour la première fois le système éducatif en France métropolitaine, après avoir suivi une formation allant du niveau V (CAP, BEP) au niveau I (master, diplôme d’ingénieur). Parmi eux, plus de 22500 jeunes étaient inscrits en formation initiale en environnement, représentant 3,4% de l’ensemble des sortants. Ils débutent dans la vie active dans un contexte économique difficile marqué par la dégradation du marché du travail. Trois ans après, ils sont interrogés afin qu’ils décrivent leur parcours professionnel depuis leur sortie du système éducatif et la situation qu’ils occupent en termes d’emploi. Les indicateurs qui en découlent ainsi que les typologies de trajectoires permettent de caractériser l’insertion professionnelle des jeunes issus des formations environnementales. Si l’insertion revêt des réalités différentes selon le niveau d’études, la voie de formation, selon s’il s’agit d’un homme ou d’une femme ou bien selon les spécialités étudiées, le domaine de formation demeure le principal déterminant à l’insertion professionnelle. Les spécialités « Prévention et réduction des pollutions, nuisances et risques » et « Maîtrise de l’énergie et énergies renouvelables » semblent ainsi les plus favorables. Même si les chances d’insertion sont légèrement plus faibles pour les « formés » en environnement par rapport aux autres sortants de formation, l’évolution des indicateurs d’insertion sur les trois générations d’enquêtés (2004, 2007 et 2010) indique que les sortants des formations environnementales semblent résister un peu mieux à ce contexte économique difficile. Si le fait d’avoir suivi une formation dans le domaine de l’environnement est déterminant à l’exercice d’une profession spécifiquement environnementale (appelée « profession verte ») ou dont le contenu évolue pour intégrer les problématiques environnementales (appelée « profession verdissante »), ils ne sont que 41% à exercer un métier dans ce domaine en 2013 ; c’est 6 points de moins qu’en 2010. (CGDD) |
Document Céreq : | Non |
En ligne : | http://www.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/ED131.pdf |
Documents numériques (1)
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