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Titre : | La place minorée des femmes dans les organisations. Exploration d'un facteur explicatif : la culture organisationnelle : Cas d'une entreprise de transport public (2012) |
Auteurs : | Marine Ponchut ; Isabelle Barth |
Type de document : | Article : document électronique |
Dans : | @GRH (n° 4, 2012/3) |
Article en page(s) : | pp. 11-31 |
Langues: | Français |
Catégories : |
Thésaurus CEREQ CULTURE D'ENTREPRISE ; GENRE ; DIVISION SEXUELLE DU TRAVAIL ; FEMME ; TRANSPORT URBAIN ; INTEGRATION DANS L'ENTREPRISE ; FRANCE |
Mots-clés: | genre |
Résumé : | L’une des causes des inégalités entre les hommes et les femmes sur le marché du travail est dépistable dans les structures des organisations, qui ne sont pas neutres sur le plan du genre comme on le suppose, mais qui ont été conçues par et pour des hommes. En développant cette théorie et en empruntant à Max Weber le concept de clôture sociale, Sarah Rutherford a théorisé le rapport entre culture organisationnelle et exclusion des femmes. Ses travaux ont abouti à une grille de lecture, qui permet de décrire les manifestations de la culture d’entreprise desservant l’intégration des femmes. En cernant le degré de fermeture d’une organisation à celles-ci, il serait alors possible d’imaginer les leviers pour amorcer un rééquilibrage entre les sexes. Nous avons testé sa grille sur la holding d’un groupe de transport de voyageurs afin de comprendre pourquoi les femmes ne sont pas présentes aux postes les plus hauts de la hiérarchie. Trois axes ont été identifiés comme étant à l’origine de la marginalisation des femmes : la congruence entre les caractéristiques masculines et les attentes sur les postes de direction, la séparation des sphères professionnelle et privée et la culture des longues heures de travail.(source revue) |
Document Céreq : | Non |
En ligne : | https://www.cairn.info/revue-agrh1-2012-3-page-11.htm |