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Titre : | Evaluation de l'expérimentation "Science Insert " : rapport d'évaluation réalisé par le Céreq et remis au Fonds d'expérimentation pour la jeunesse |
Auteurs : | Jean-Marie Dubois ; Maurice Baslé ; Nathalie Beaupère |
Type de document : | document Ă©lectronique |
Editeur : | Paris : Fonds d'Expérimentation pour la Jeunesse (FEJ), 2012 |
Format : | 92 p. |
Langues: | Français |
Catégories : |
Affiliation Céreq Céreq - Centre associé de RennesThésaurus CEREQ EVALUATION ; ETUDIANT ; SCIENCE ; RELATION ECOLE-ENTREPRISE ; INSERTION PROFESSIONNELLE ; RAPPORT ; FRANCE ; BRETAGNE |
RĂ©sumĂ© : | Le projet Science insert de l’universitĂ© de Rennes 1 a Ă©tĂ© rendu Ă©ligible a l’appel a projets n°1 lance en 2009 par le Haut Commissariat a la jeunesse et finance par le Fonds d’expĂ©rimentation pour la jeunesse. L’objectif Ă©tait de tester les moyens d’obtenir une plus grand proximitĂ© des Ă©tudiants scientifiques, en cours d’études, avec des interlocuteurs externes du marche du travail (entreprises, futurs employeurs, intermĂ©diaires de l’emploi, …), afin d’aider les Ă©tudiants a mieux identifier et valoriser leurs compĂ©tences et amĂ©liorer les conditions de leur insertion professionnelle. L’évaluation a Ă©tĂ© non expĂ©rimentale, les conditions d’un contrefactuel n’ayant pas Ă©tĂ© rĂ©unies. Les plans d’action de Science insert ont Ă©tĂ© rendus Ă©valuables par le CĂ©req au moyen de 3 outils du monitoring et de l’évaluation (arbre des objectifs, sociogramme des acteurs, diagramme logique d’impact). L’évaluation chemin faisant a emprunte a un mix de mĂ©thodes et d’outils et a permis, entre autres, d’observer les rĂ©alisations, d’analyser les publics bĂ©nĂ©ficiaires et non bĂ©nĂ©ficiaires, afin de tester l’évolution de l’acculturation des Ă©tudiants scientifiques a l’insertion professionnelle par la mĂ©thode des doubles diffĂ©rences. Les rĂ©sultats de l’évaluation prĂ©sentes font apparaitre avec un bon indice de confiance que le SOIE a Ă©tĂ© en capacitĂ© de professionnaliser et de systĂ©matiser les actions sur les thĂ©matiques de l’insertion professionnelle dans les formations (modules TRS/TRE, forum des masters scientifiques, etc.), de faciliter la concertation des acteurs et de mettre en place des outils numĂ©riques qui centralisent les ressources de l’établissement. Il apparaĂ®t sans conteste que, pour les porteurs et les enseignants rencontres, ces outils ont offert la possibilitĂ© a l’UniversitĂ© de ≪ rattraper son retard ≫ sur les formations concurrentes dont les Ă©coles d’ingĂ©nieurs. Ce projet a Ă©galement Ă©tĂ© l’opportunitĂ© de rendre le SOIE plus visible aux yeux des Ă©tudiants, enseignants et entreprises. Les contextes singuliers de l’innovation Science insert ne permettent pas de conclure directement sur la transfĂ©rabilite. Les conditions initiales d’un tel programme semblent avoir Ă©tĂ© facteurs de rĂ©ussite, notamment car elles s’inscrivaient dans une politique d’établissement impliquant une majoritĂ© d’acteurs, des enseignants aux services techniques dont ceux d’appui aux innovations numĂ©riques. Seule une Ă©valuation ex-post en 2013-2014 pourrait cependant permettre d’amĂ©liorer la preuve de la rĂ©ussite d’un programme de cette nature sur l’insertion professionnelle des diplĂ´mes. |
Document Céreq : | Non |