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Titre : | L'élévation du niveau de formation des jeunes recrutés : étude d'un cas (1987) |
Auteurs : | Sylvie Célérier |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Formation emploi (n° 17, janvier-mars 1987) |
Article en page(s) : | pp. 32-40 |
Langues: | Français |
Catégories : |
Thésaurus CEREQ NIVEAU DE FORMATION ; GESTION DE L'EMPLOI ; RECRUTEMENT ; PREMIER EMPLOI ; INDUSTRIE TEXTILE ; FRANCEAffiliation Céreq Céreq |
Résumé : | Quels problèmes se posent à l'entreprise lorsqu'elle embauche une main-d'œuvre plus jeune et davantage formée ? Cette question est examinée à travers l'étude d'un cas, celui d'un établissement textile qui a vu ses effectifs augmenter dans la dernière période, au moment où il procédait à la réorganisation de la production en liaison avec la mise en œuvre d'une nouvelle stratégie commerciale. Les jeunes diplômés sont affectés à des postes peu qualifiés dont le contenu n'a pas varié. Comment expliquer alors la sélection à l'embauche des jeunes ? L'établissement a cherché à faire face aux difficultés surgies de la rapide mutation technologique de l'unité de production en multipliant les embauches de techniciens et d'ouvriers davantage formés, desquels on attend une plus grande maîtrise de l'activité. Pour les ouvriers, le niveau de formation, plus que la spécialité, devient un élément important d'une « nouvelle professionnalisé », qui cherche à se faire reconnaître en termes de rémunération et de carrière. Mais des tensions apparaissent entre la nécessité de l'évolution des carrières ouvrières et l'impossibilité de les mettre en place, la gestion de la main-d'œuvre restant fortement imprégnée par le modèle taylorien. |
Document Céreq : | Non |
En ligne : | https://doi.org/10.3406/forem.1987.1192 |
Documents numériques (1)
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