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Titre : | La responsabilité sociale de l'entreprise à l'heure de la flexibilité des ressources humaines : l'employabilité est-elle un argument viable ? (2010) |
Auteurs : | Moez Ben yedder ; Lotfi Slimane |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Gérer et comprendre (n° 99, mars 2010) |
Article en page(s) : | pp. 42-52 |
Langues: | Français |
Catégories : |
Thésaurus CEREQ RESPONSABILITE SOCIALE D'ENTREPRISE ; EMPLOYABILITE ; FLEXIBILITE DE LA PRODUCTION ; FLEXIBILITE DU MARCHE DU TRAVAIL ; PRATIQUE DE GRH ; DEVELOPPEMENT DURABLE ; ACCES A LA FORMATION PROFESSIONNELLE ; FRANCEOrganisme Cité Centre d'études et de recherches sur les qualifications |
Résumé : | Plaçant l’intérêt des parties prenantes non sociétaires (comme les employés) au même degré d’importance que ceux des actionnaires, la responsabilité sociale de l’entreprise (RSE), en tant que concrétisation du développement durable par les entreprises, s’est imposée à ces dernières. Sur un autre plan, la flexibilité devient un aspect qui, bien que relativement ancien, est de plus en plus admis comme une voie possible d’un accroissement de la compétitivité de l’entreprise, voire d’une réorientation indispensable à sa viabilité. Cependant, la flexibilité (plus particulièrement dans sa dimension quantitative) est souvent décriée en raison des conséquences sociales qui peuvent découler de son adoption. Précarisation des salariés, compétition sur les coûts de main-d’œuvre entre sous-traitants, rupture du lien entre entreprise et travailleurs... : la flexibilité semble, par certains aspects, faire partie des pratiques « antisociales ». À partir de là , on voit mal comment une firme soucieuse d’adhérer à la logique sociale prônée par la RSE pourrait aussi se prévaloir d’une certaine flexibilité. Pourtant, dans la pratique, les logiques de la flexibilité et de la RSE semblent cohabiter. |
Document Céreq : | Non |
En ligne : | https://www.cairn.info/revue-gerer-et-comprendre1-2010-1-page-42.htm |