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Titre : | Job training, new technology and labour turnover. (1996) |
Auteurs : | Christine Greenhalgh ; George Mavrotas |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | British Journal of Industrial Relations (vol. 34, n° 1, March 1996) |
Article en page(s) : | pp. 131-150 |
Langues: | Anglais |
Catégories : |
Thésaurus CEREQ FORMATION PROFESSIONNELLE EN ENTREPRISE ; MUTATION TECHNOLOGIQUE ; ROTATION DE LA MAIN D'OEUVRE ; MOBILITE PROFESSIONNELLE ; NIVEAU DE FORMATION ; RECHERCHE-DEVELOPPEMENT ; EMPLOI DES FEMMES ; SECTEUR PUBLIC ; EVALUATION DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ; MARCHE INTERNE DU TRAVAIL ; ROYAUME UNI |
RĂ©sumĂ© : | Une enquĂȘte, menĂ©e auprĂšs d'un large Ă©chantillon de salariĂ©s en Grande-Bretagne entre 1984 et 1989, tente d'Ă©valuer la formation professionnelle continue. Les rĂ©sultats montrent une incidence importante en terme de mobilitĂ© professionnelle externe pour les jeunes et pour ceux dont le niveau de formation initiale est dĂ©jĂ Ă©levĂ©. Les employĂ©s du secteur public ont un niveau de formation continue important tout en ayant une faible mobilitĂ© : peut-ĂȘtre est-ce la raison pour laquelle les pouvoirs publics prĂȘtent peu d'attention Ă cette question. Une diffĂ©rence apparaĂźt entre les hommes et les femmes dans le secteur de la recherche-dĂ©veloppement en fonction de la rapiditĂ© de l'adoption des innovations techniques : les hommes sont plus formĂ©s et moins mobiles que les femmes. L'introduction rapide de nouvelles technologies entraĂźnera une baisse de la mobilitĂ© des femmes et une forte demande de formation. |