Résumé :
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Accusée à tort de beaucoup des maux économiques et sociaux que connaissent les sociétés, l'économie mondiale bénéficie le plus souvent à l'ensemble des partenaires. La peur première de la concurrence irrésistible du tiers-monde, qui se traduirait par une baisse du niveau moyen d'emploi et des salaires, et de la concurrence sans merci entre pays développés, rendue responsable de la mort des entreprises les moins dynamiques, est non fondée. Le système complexe de la mondialisation des échanges repose en effet sur le progrès technique, qui est au coeur du problème, et non sur la compétition entre pays. Provocation, vigueur et limpidité sont les caractéristiques principales de cet ouvrage qui analyse les vertus et les limites du libre échange.
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