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Titre : | Chief Happiness Officer : quelles contributions au bien-ĂȘtre en entreprise ? (2020) |
Auteurs : | Sabrina Tanquerel ; Roland Condor |
Type de document : | Article : document Ă©lectronique |
Dans : | Gérer et comprendre (n° 140, 2020/2) |
Article en page(s) : | pp. 5-18 |
Langues: | Français |
Catégories : |
Thésaurus CEREQ METIER EN EMERGENCE ; SANTE AU TRAVAIL ; REPRESENTATION DU TRAVAIL ; ACTIVITE PROFESSIONNELLE ; PRATIQUE DE GRH ; FRANCE |
Mots-clés: | Chief Happiness Officer |
RĂ©sumĂ© : | LâintĂ©rĂȘt et la controverse suscitĂ©s par lâĂ©mergence de la fonction de Chief Happiness Officer (CHO) posent la question de sa contribution effective au bien-ĂȘtre au travail. Le CHO incarne-t-il une fonction « gadget » ou constitue-t-il une rĂ©elle avancĂ©e dans le dĂ©veloppement du bien-ĂȘtre en entreprise ? Pour rĂ©pondre Ă cette question, nous nous sommes appuyĂ©s sur la littĂ©rature consacrĂ©e au bien-ĂȘtre au travail et sur une Ă©tude qualitative menĂ©e auprĂšs de CHO ou apparentĂ©s. Nous montrons que si le recrutement de CHO sâinscrit dans une logique de contribution au bien-ĂȘtre hĂ©donique et de recherche de transversalitĂ©, il relĂšve assez peu dâune logique de bien-ĂȘtre eudĂ©monique. Nos rĂ©sultats montrent Ă©galement que le CHO peut ĂȘtre recrutĂ© dans une perspective utilitariste, ce qui peut compromettre sa contribution au bien-ĂȘtre sur le long terme. La contribution du CHO au bien-ĂȘtre est donc partielle et doit ĂȘtre complĂ©tĂ©e par dâautres dispositifs ou dâautres fonctions. |
Document Céreq : | Non |
En ligne : | https://doi.org/10.3917/geco1.140.0005 |