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| Titre : | Bureaucratie, organisations et formalisation des savoirs (2016) |
| Auteurs : | Daniel Benamouzig ; Olivier Borraz |
| Type de document : | Article : document Ă©lectronique |
| Dans : | L'année sociologique (vol. 66, n° 1, 2016/1) |
| Article en page(s) : | pp. 9-30 |
| Langues: | Français |
| Catégories : |
Thésaurus CEREQ SOCIOLOGIE DES ORGANISATIONS ; SAVOIR ; ECONOMIE DE LA CONNAISSANCE ; CONDUITE DU CHANGEMENT ; BUREAUCRATIE ; ORGANISATION D'ENTREPRISE ; FRANCE |
| RĂ©sumĂ© : | La sociologie des organisations s’est construite autour d’une opposition fondatrice entre savoirs formels ou thĂ©oriques d’une part, savoirs pratiques ou informels, de l’autre. Cette opposition soulignait l’écart entre la vision surplombante des dirigeants, Ă©quipĂ©s de connaissances scientifiques ou lĂ©gales, et les savoirs empiriques des exĂ©cutants ; tout en justifiant le rĂ´le du sociologue, seul en position de donner accès aux comportements des acteurs au sein des organisations. Les transformations des organisations depuis les annĂ©es 1970, ont conduit Ă interroger cette opposition fondatrice. Les sociologues ont Ă©tudiĂ© comment des acteurs dĂ©veloppaient en pratique des savoirs qui pouvaient ensuite acquĂ©rir des propriĂ©tĂ©s forÂ- melles. Ce faisant, les travaux de sociologie des organisations ont soulignĂ© que l’usage de savoirs plus formalisĂ©s Ă des fins de contrĂ´le ou de coordination, pouvait induire des processus bureaucratiques. (Source : revue) |
| Document Céreq : | Non |
| En ligne : | http://www.cairn.info/revue-l-annee-sociologique-2016-1-page-9.htm |
