Accueil
Titre : | Les formations non déclarées : complément ou alternative aux formations déclarées ? (1991) |
Auteurs : | Elisabeth Serfaty ; Emmanuel Delame |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Formation emploi (n° 34 Numéro spécial, avril-juin 1991) |
Article en page(s) : | pp. 63-72 |
Langues: | Français |
Catégories : |
Thésaurus CEREQ FORMATION SUR LE TAS ; STATISTIQUE DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ; FORMATION PROFESSIONNELLE EN ENTREPRISE ; PCS ; ENQUETE ; FRANCE |
Résumé : |
Se fondant sur l'exploitation d'une enquĂȘte auprĂšs de 640 entreprises, cet article fait le point des connaissances sur les pratiques de formation en entreprises dans leur exhaustivitĂ©.
Son objectif est d'abord descriptif : identifier selon leur nature puis évaluer (en dépenses et en durée) les différentes pratiques de formation, et particuliÚrement celles échappant à la mesure définie par la loi. Les stages de formation de forme classique mais non déclarés et surtout la formation sur le tas (la moins formalisée) sont les pratiques les plus diffusées mais leur ampleur dans l'entreprise reste nettement inférieure à celle des formations déclarées. L'approche est aussi analytique : comparer ces différentes pratiques selon leur usage dans les entreprises. La substitution des formations déclarées par des pratiques plus informelles dans certaines entreprises, notamment les plus petites, ne se confirme pas. Néanmoins, on constate une spécificité d'objectifs et de publics concernés par les pratiques de formation liées à l'exercice du travail. Le personnel d'exécution y trouve ainsi une possibilité de se former plus ouverte que dans le cadre des formations répondant plus directement aux normes légales. |
Document Céreq : | Oui |
Documents numériques (1)
FEM346.pdf Adobe Acrobat PDF |