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Titre : | Les bonnes raisons d'une refondation sociale. (2000) |
Auteurs : | Bernard Brunhes |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Droit social (n° 6, juin 2000) |
Article en page(s) : | pp. 571-573 |
Langues: | Français |
Catégories : |
Thésaurus CEREQ NEGOCIATION COLLECTIVE ; CHANGEMENT SOCIAL ; ETAT ; PARTENAIRES SOCIAUX ; INDIVIDUALISATION DU SALAIRE ; BRANCHE PROFESSIONNELLE ; FRANCE |
RĂ©sumĂ© : | Cinq raisons justifient une refondation de la nĂ©gociation collective : le transfert des nĂ©gociations des groupes industriels vers les Ă©tablissements, le dĂ©veloppement de l'emploi dans les PME, oĂč les syndicats sont souvent absents, l'individualisation des conditions de travail et de rĂ©munĂ©ration, la substitution de la notion de qualification par celle de compĂ©tence qui conduit Ă l'inadaptation des grilles et enfin l'externalisation croissante des activitĂ©s de l'entreprise. En Europe, la nĂ©gociation de branche tend Ă s'effacer. Cela est dangereux, pour les PME notamment. Quand Ă l'Etat, jusqu'ici trĂšs inscrit dans le paysage social français, il n'est pas prĂ©sent dans les nĂ©gociations de l'annĂ©e 2000. |