Accueil
| Titre : | Le point spécial : Les congés liés à l'enfant (2021) |
| Type de document : | Article : texte imprimé |
| Dans : | Liaisons sociales Les Thématiques (n° 90, juillet 2021) |
| Article en page(s) : | pp. 69-94 |
| Langues: | Français |
| Catégories : |
Thésaurus CEREQ FAMILLE ; RELATION TRAVAIL-FAMILLE ; CONGE ; CONGE PARENTAL ; TRAVAIL A TEMPS PARTIEL ; LEGISLATION DU TRAVAIL ; FRANCE |
| Résumé : |
Un salarié peut prendre un congé parental d’éducation ou travailler à temps partiel pour élever son enfant. Ce congé ouvre droit au versement d’une prestation.
Lorsque son enfant est victime d’une maladie, d’un handicap ou d’un accident d’une particulière gravité rendant indispensable une présence soutenue et des soins contraignants, le salarié bénéficie d’un congé de présence parentale, qui donne lieu au versement d’une prestation. Par ailleurs, le congé de proche aidant peut permettre au salarié de cesser son activité pour aider un enfant à charge handicapé. Depuis le 30 septembre 2020, ce congé donne lieu au versement d’une allocation journalière. Le congé de solidarité familiale peut également être mobilisé en cas de pathologie mettant en jeu le pronostic vital. En cas de décès d’un enfant, tout salarié a droit à un congé pour décès, dont la durée varie selon l’âge de l’enfant. Il peut également bénéficier, depuis le 1er juillet 2020, d’un congé de deuil dans l’année suivant le décès, lorsque l’enfant est âgé de moins de 25 ans. Ces différents congés sont limités dans le temps et s’appliquent sous réserve que le salarié en remplisse les conditions et, le cas échéant, que le besoin d’aide de l’enfant soit établi. |
| Document Céreq : | Non |
