Accueil
Titre : | Le travail de nuit : essentiellement dans le tertiaire (2014) |
Auteurs : | Elisabeth Algava |
Type de document : | Article : document électronique |
Dans : | Dares Analyses-Dares Indicateurs-Dares Résultats-Dares Focus (n° 062, Août 2014) |
Article en page(s) : | 8 p. |
Langues: | Français |
Catégories : |
Thésaurus CEREQ TRAVAIL DE NUIT ; ENQUETE SUR L'EMPLOI ; DEFINITION ; CHAMP PROFESSIONNEL ; FRANCE ; EUROPE ; ENQUETE SUR LES FORCES DE TRAVAIL |
Résumé : |
En 2012, 15,4 % des salariés (21,5 % des hommes et 9,3 % des femmes), soit 3,5 millions de personnes, travaillent la nuit, habituellement ou occasionnellement. C’est un million de salariés de plus qu’en 1991, l’augmentation étant particulièrement forte pour les femmes.
Le travail de nuit est le plus répandu dans le tertiaire : il concerne 30 % des salariés dans la fonction publique et 42 % dans les entreprises privées de services. Conducteurs de véhicules, policiers et militaires, infirmières, aides-soignantes et ouvriers qualifiés des industries de process sont les cinq familles professionnelles les plus concernées par le travail de nuit. Les intérimaires, les hommes trentenaires et les femmes de moins de 30 ans travaillent plus fréquemment la nuit. À autres caractéristiques comparables, les salariés qui travaillent la nuit ont une rémunération plus élevée mais des conditions de travail nettement plus difficiles que les autres salariés : ils sont soumis à des facteurs de pénibilité physique plus nombreux, une pression temporelle plus forte, des tensions avec leurs collègues ou le public plus fréquentes.(source : Dares) |
Document Céreq : | Non |
En ligne : | http://travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/2014-062.pdf |
Documents numériques (1)
2014-062.pdf Adobe Acrobat PDF |