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| Titre : | Espoirs et désillusions de la formation au Portugal. (1992) |
| Auteurs : | Marianne Lacomblez ; Isabel Freitas |
| Type de document : | Article : texte imprimé |
| Dans : | Formation emploi (n° 37, janvier-mars 1992) |
| Article en page(s) : | pp. 3-13 |
| Langues: | Français |
| Catégories : |
Thésaurus CEREQ FORMATION PROFESSIONNELLE ; ENSEIGNEMENT TECHNIQUE-PROFESSIONNEL ; SYSTEME EDUCATIF ; POLITIQUE DE L'EDUCATION ; POLITIQUE DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ; ETUDE HISTORIQUE ; PORTUGAL |
| Résumé : |
Les quarante-huit années de Salazarisme ont été contradictoires en matière d'éducation, favorisant d'un côté la production d'une élite ouvrière, de l'autre freinant l'accès à l'éducation et à la formation de la grande masse de la population. Dans un pays à la fois d'innovations et d'analphabétisme, la société portugaise identifie volontiers formation et lutte contre l'inégalité sociale. La formation professionnelle restera longtemps marquée de ces contradictions même après 1974 ; trop difficile pour une grande partie des élèves, permettant aux autres d'échapper aux emplois ouvriers auxquels elle devait conduire.
A partir de 1985, la formation devient un élément de modernisation du pays, en particulier la formation continue. L'aide du Fonds social européen s'articule mal avec l'histoire et les nécessités du pays, même si elle a contribué à faire de la "modernisation" un objectif national. Mais, du coup, la formation professionnelle s'est concentrée sur la formation continue avec souvent des objectifs étroits sans que le problèmes de la formation professionnelle de base soit résolu. |
| Document Céreq : | Oui |
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