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| Titre : | La forme coordination : une catégorie sociale révélatrice de sens (1991) |
| Auteurs : | Patrick Rozenblatt |
| Type de document : | Article : texte imprimé |
| Dans : | Sociologie du travail (vol. 33 - n° 2, 1991) |
| Article en page(s) : | pp. 239-254 |
| Note générale : | COMMENTAIRE : La communication citée a été publiée sous le titre "Compromis d'entreprise, médiation syndicale et dynamique sociale (Réflexions à partir de la grèves de la SNECMA, mars-mai 1998)" dans le Cahiers du GIP "Mutations industrielles" n° 25 de févier 1989 (voir : E-66-89). |
| Langues: | Français |
| Catégories : |
Thésaurus CEREQ RELATIONS PROFESSIONNELLES ; CONFLIT DU TRAVAIL ; SYNDICALISME SALARIE ; PCS ; FRANCE ; ITALIE |
| Résumé : |
Dans une contribution au colloque international "La crise des Syndicats en Europe occidendale" organisé par l'Institut des sciences politiques de Paris les 9 et 10 mars 1989, l'auteur entamait une réflexion sur les coordinations.
Afin de l'étendre et de l'approfondir, il essaie de comprendre comment et pourquoi cette formule traverse et travaille, même sans conflit apparent, les collectifs de salariés et devient une catégorie pertinente pour analyser les mouvements sociaux. Ce n'est pas uniquement une réponse à la crise syndicale, c'est aussi une contribution des salariés à la reconstruction d'un espace démocratique d'expression notamment sur les modes de management. Avec cet objectif, il montre d'abord les conditions de l'émergence de cette nouvelle catégorie sociale. Ensuite, insistant sur son caractère symbolique, notamment en France et en Italie, il cherche les explications mobilisées pour la spécifier. Enfin, met en perspective ces deux dimensions de l'hypothèse initiale en questionnant le sens de la formule "coordination" par rapport au paradigme démocratique. |
