
Détail de l'auteur
Auteur Maxime Quijoux |
Documents disponibles écrits par cet auteur



[article]
Titre : Start-up : avènement d’un mot d’ordre : Dossier Type de document : document électronique Auteurs : Maxime Quijoux, dir. ; Arnaud Saint-Martin, dir. Année de publication : 2020 Article en page(s) : pp. 15-77 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
START-UP ; ETUDE HISTORIQUE ; FRANCE ; SCIENCE ; ACTIVITE DE RECHERCHE ; GRANDE ENTREPRISE ; POLITIQUE DE RECHERCHE ; DOCTORATRésumé : Ce dossier prend acte de l’essor de ce mot d’ordre. Il propose d’en reconstituer la genèse, pourquoi il prend dans certains champs d’activité ici et maintenant, et selon quelles modalités le startuping parvient à s’installer. Rien n’assure que cette implantation de l’idiome de la start-up soit durable. Il se pourrait que cette emprise dans le milieu de la tech soit factice, de pur affichage, un effet de mode bientôt dépassé. En attendant de le constater, les articles que nous avons réunis envisagent différents aspects à partir d’études de cas ou de retours réflexifs. Document Céreq : Non En ligne : https://doi.org/10.3917/sava.051.0015 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=67264
in Savoir/Agir > n° 51 (2020/1) . - pp. 15-77[article] Start-up : avènement d’un mot d’ordre : Dossier [document électronique] / Maxime Quijoux, dir. ; Arnaud Saint-Martin, dir. . - 2020 . - pp. 15-77.
Langues : Français (fre)
in Savoir/Agir > n° 51 (2020/1) . - pp. 15-77
Catégories : Thésaurus CEREQ
START-UP ; ETUDE HISTORIQUE ; FRANCE ; SCIENCE ; ACTIVITE DE RECHERCHE ; GRANDE ENTREPRISE ; POLITIQUE DE RECHERCHE ; DOCTORATRésumé : Ce dossier prend acte de l’essor de ce mot d’ordre. Il propose d’en reconstituer la genèse, pourquoi il prend dans certains champs d’activité ici et maintenant, et selon quelles modalités le startuping parvient à s’installer. Rien n’assure que cette implantation de l’idiome de la start-up soit durable. Il se pourrait que cette emprise dans le milieu de la tech soit factice, de pur affichage, un effet de mode bientôt dépassé. En attendant de le constater, les articles que nous avons réunis envisagent différents aspects à partir d’études de cas ou de retours réflexifs. Document Céreq : Non En ligne : https://doi.org/10.3917/sava.051.0015 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=67264 « Vous allez trouver une façon d’être dirigeant. » Formation coopérative et résistances ouvrières dans une usine reprise par ses salariés / Maxime Quijoux in Politix, n° 126 (2019/2)
![]()
[article]
Titre : « Vous allez trouver une façon d’être dirigeant. » Formation coopérative et résistances ouvrières dans une usine reprise par ses salariés Type de document : document électronique Auteurs : Maxime Quijoux Année de publication : 2019 Article en page(s) : pp. 193-215 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
COOPERATIVE DE PRODUCTION ; REPRISE D'ENTREPRISE ; OUVRIER ; FORMATION PROFESSIONNELLE ; GESTION ; DEMOCRATIE ; DIVISION DU TRAVAIL ; ORGANISATION DU TRAVAIL ; SYNDICALISME SALARIE ; ORGANISATION SYNDICALE ; CONFLIT DU TRAVAIL ; IMPRIMERIE-PRESSE-EDITION ; ENTREPRISE EN DIFFICULTE ; RESTRUCTURATION D'ENTREPRISE ; POLITIQUE D'ENTREPRISE ; FRANCE ; ILE DE FRANCE
Organisme Cité
Confédération générale des SCOP ; Hélio-CorbeilRésumé : Les sociétés coopératives et participatives (SCOP) suscitent un regain d’intérêt depuis le milieu des années 2000 en France. Ancien, ce modèle réapparaît notamment à la faveur de certaines luttes salariales visant la reprise d’entreprise par les salariés. Cet engouement est rendu possible par la méconnaissance quasi généralisée des SCOP, y compris parmi les salariés engagés dans la reprise de leurs outils de travail. À partir d’une enquête au sein d’une imprimerie reprise par ses salariés en France métropolitaine, cet article vise à examiner la manière dont ces derniers sont formés à la démocratie d’entreprise par la principale organisation coopérative de France, la Confédération générale des SCOP. L’enquête montre que son travail d’accompagnement ne cherche pas à proposer des outils d’une meilleure répartition du pouvoir dans l’entreprise, mais à former une nouvelle classe de patrons vertueux. Cette ambition est néanmoins contrariée par des salariés fortement syndiqués qui refusent de reproduire le schéma antérieur à la reprise. Mais faute de modèle novateur, ils tendent à « syndicaliser » leurs pratiques coopératives, s’écartant finalement peu d’un modèle hiérarchique traditionnel. Document Céreq : Non En ligne : https://www.cairn.info/revue-politix-2019-2-page-193.htm Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=65840
in Politix > n° 126 (2019/2) . - pp. 193-215[article] « Vous allez trouver une façon d’être dirigeant. » Formation coopérative et résistances ouvrières dans une usine reprise par ses salariés [document électronique] / Maxime Quijoux . - 2019 . - pp. 193-215.
Langues : Français (fre)
in Politix > n° 126 (2019/2) . - pp. 193-215
Catégories : Thésaurus CEREQ
COOPERATIVE DE PRODUCTION ; REPRISE D'ENTREPRISE ; OUVRIER ; FORMATION PROFESSIONNELLE ; GESTION ; DEMOCRATIE ; DIVISION DU TRAVAIL ; ORGANISATION DU TRAVAIL ; SYNDICALISME SALARIE ; ORGANISATION SYNDICALE ; CONFLIT DU TRAVAIL ; IMPRIMERIE-PRESSE-EDITION ; ENTREPRISE EN DIFFICULTE ; RESTRUCTURATION D'ENTREPRISE ; POLITIQUE D'ENTREPRISE ; FRANCE ; ILE DE FRANCE
Organisme Cité
Confédération générale des SCOP ; Hélio-CorbeilRésumé : Les sociétés coopératives et participatives (SCOP) suscitent un regain d’intérêt depuis le milieu des années 2000 en France. Ancien, ce modèle réapparaît notamment à la faveur de certaines luttes salariales visant la reprise d’entreprise par les salariés. Cet engouement est rendu possible par la méconnaissance quasi généralisée des SCOP, y compris parmi les salariés engagés dans la reprise de leurs outils de travail. À partir d’une enquête au sein d’une imprimerie reprise par ses salariés en France métropolitaine, cet article vise à examiner la manière dont ces derniers sont formés à la démocratie d’entreprise par la principale organisation coopérative de France, la Confédération générale des SCOP. L’enquête montre que son travail d’accompagnement ne cherche pas à proposer des outils d’une meilleure répartition du pouvoir dans l’entreprise, mais à former une nouvelle classe de patrons vertueux. Cette ambition est néanmoins contrariée par des salariés fortement syndiqués qui refusent de reproduire le schéma antérieur à la reprise. Mais faute de modèle novateur, ils tendent à « syndicaliser » leurs pratiques coopératives, s’écartant finalement peu d’un modèle hiérarchique traditionnel. Document Céreq : Non En ligne : https://www.cairn.info/revue-politix-2019-2-page-193.htm Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=65840 Sauver son entreprise en créant une société coopérative / Maxime Quijoux in Sociologie du travail, vol. 60, n° 4 (octobre-décembre 2018)
![]()
[article]
Titre : Sauver son entreprise en créant une société coopérative : Engagement syndical et participation ouvrière Type de document : document électronique Auteurs : Maxime Quijoux Année de publication : 2018 Article en page(s) : mis en ligne le 29 novembre 2018 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
IMPRIMERIE-PRESSE-EDITION ; ENTREPRISE EN DIFFICULTE ; RESTRUCTURATION D'ENTREPRISE ; REPRISE D'ENTREPRISE ; COOPERATIVE DE PRODUCTION ; ORGANISATION SYNDICALE ; SYNDICALISME SALARIE ; REPRESENTANT DU PERSONNEL ; EXPRESSION DES SALARIES ; OUVRIER ; CLASSE OUVRIERE ; POLITIQUE D'ENTREPRISE ; ETUDE DE CAS ; FRANCE ; ILE DE FRANCE
Organisme Cité
IMPRIMERIE MAG-HELIORésumé : L’industrie en France est confrontée à un déclin ancien, que la crise des subprimes en 2008 n’a fait qu’aggraver. Face à la liquidation des entreprises et aux suppressions d’emplois, les syndicats ont longtemps privilégié la voie de l’accompagnement dans la fermeture des établissements, y compris lors de conflits importants. Pourtant, depuis le milieu des années 2000, on observe l’émergence d’une « nouvelle » forme de mobilisation consistant à s’opposer à l’arrêt de l’activité, en proposant le rachat de l’entreprise par ses salariés sous forme de Sociétés coopératives et participatives (SCOP). À partir du cas d’une imprimerie reprise à l’initiative de délégués syndicaux dans une ville d’Île-de-France, cet article vise à saisir les logiques de participation qui s’y déploient. Montées dans l’urgence, ces coopératives se caractérisent moins par des pratiques formalisées que par un ensemble de manières et d’interactions tributaires à la fois de l’histoire syndicale et des positions dans l’entreprise. La participation ouvrière se révèle alors comme un enjeu de luttes sur son acception. La question du pouvoir dans l’entreprise renvoie peu aux enjeux de politiques d’entreprise (organisation, stratégies) mais se cristallise essentiellement autour des dimensions matérialistes du travail (répartition des bénéfices). (Source : revue) Document Céreq : Non En ligne : https://journals.openedition.org/sdt/8224 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=63804
in Sociologie du travail > vol. 60, n° 4 (octobre-décembre 2018) . - mis en ligne le 29 novembre 2018[article] Sauver son entreprise en créant une société coopérative : Engagement syndical et participation ouvrière [document électronique] / Maxime Quijoux . - 2018 . - mis en ligne le 29 novembre 2018.
Langues : Français (fre)
in Sociologie du travail > vol. 60, n° 4 (octobre-décembre 2018) . - mis en ligne le 29 novembre 2018
Catégories : Thésaurus CEREQ
IMPRIMERIE-PRESSE-EDITION ; ENTREPRISE EN DIFFICULTE ; RESTRUCTURATION D'ENTREPRISE ; REPRISE D'ENTREPRISE ; COOPERATIVE DE PRODUCTION ; ORGANISATION SYNDICALE ; SYNDICALISME SALARIE ; REPRESENTANT DU PERSONNEL ; EXPRESSION DES SALARIES ; OUVRIER ; CLASSE OUVRIERE ; POLITIQUE D'ENTREPRISE ; ETUDE DE CAS ; FRANCE ; ILE DE FRANCE
Organisme Cité
IMPRIMERIE MAG-HELIORésumé : L’industrie en France est confrontée à un déclin ancien, que la crise des subprimes en 2008 n’a fait qu’aggraver. Face à la liquidation des entreprises et aux suppressions d’emplois, les syndicats ont longtemps privilégié la voie de l’accompagnement dans la fermeture des établissements, y compris lors de conflits importants. Pourtant, depuis le milieu des années 2000, on observe l’émergence d’une « nouvelle » forme de mobilisation consistant à s’opposer à l’arrêt de l’activité, en proposant le rachat de l’entreprise par ses salariés sous forme de Sociétés coopératives et participatives (SCOP). À partir du cas d’une imprimerie reprise à l’initiative de délégués syndicaux dans une ville d’Île-de-France, cet article vise à saisir les logiques de participation qui s’y déploient. Montées dans l’urgence, ces coopératives se caractérisent moins par des pratiques formalisées que par un ensemble de manières et d’interactions tributaires à la fois de l’histoire syndicale et des positions dans l’entreprise. La participation ouvrière se révèle alors comme un enjeu de luttes sur son acception. La question du pouvoir dans l’entreprise renvoie peu aux enjeux de politiques d’entreprise (organisation, stratégies) mais se cristallise essentiellement autour des dimensions matérialistes du travail (répartition des bénéfices). (Source : revue) Document Céreq : Non En ligne : https://journals.openedition.org/sdt/8224 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=63804
Titre : Adieux au patronat : Lutte et gestion ouvrières dans une usine reprise en coopérative. Type de document : texte imprimé Auteurs : Maxime Quijoux Editeur : Bellecombe-en-Bauges : Editions du Croquant Année de publication : 2018 Collection : Dynamiques socio-économiques Importance : 315 p ISBN/ISSN/EAN : 978-2-36512-177-4 Prix : 20 euros Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
SYNDICALISME SALARIE ; SYNDICALISME ; COOPERATIVE DE PRODUCTION ; IMPRIMERIE-PRESSE-EDITION ; ETUDE DE CAS ; FRANCE ; OUVRIER ; RESTRUCTURATION D'ENTREPRISE ; DEMOCRATIE ; ENQUETE ; SOCIOLOGIE ; POLITIQUE D'ENTREPRISE ; ORGANISATION D'ENTREPRISE
Organisme Cité
CGTRésumé : Le syndicalisme ouvrier en France appartient-il au passé ? Incapable d’enrayer le déclin que connaît l’industrie depuis quarante ans, il est également confronté à une crise sur le sens de son action militante. Pourtant, loin des échecs des grandes mobilisations nationales, des syndicalistes mènent des luttes sur leurs lieux de travail, dont on ne mesure pas toujours ni l’inventivité ni les effets. Hélio-Corbeil, imprimerie située à Corbeil-Essonnes, en est une illustration : en février 2012, emmenés par la CGT, les salariés parviennent à reprendre leur entreprise sous forme de Société Coopérative et Participative (Scop). 80 emplois sont sauvés et l’activité est alors relancée. À partir d’une enquête au long cours, mêlant immersion et travail d’archives, cet ouvrage revient sur l’origine de cette lutte et la mise en place de la coopérative. Il propose une vision différente du syndicalisme, où la gestion constitue une arme de résistance salariale, hier comme aujourd’hui, et s’interroge sur ses conditions d’appropriation. Face à la financiarisation de l’économie, le salut du monde ouvrier passera-t-il par la conquête du pouvoir dans l’entreprise ? (4ème de couv.) Document Céreq : Non Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=63123 Adieux au patronat : Lutte et gestion ouvrières dans une usine reprise en coopérative. [texte imprimé] / Maxime Quijoux . - Bellecombe-en-Bauges : Editions du Croquant, 2018 . - 315 p. - (Dynamiques socio-économiques) .
ISBN : 978-2-36512-177-4 : 20 euros
Langues : Français (fre)
Catégories : Thésaurus CEREQ
SYNDICALISME SALARIE ; SYNDICALISME ; COOPERATIVE DE PRODUCTION ; IMPRIMERIE-PRESSE-EDITION ; ETUDE DE CAS ; FRANCE ; OUVRIER ; RESTRUCTURATION D'ENTREPRISE ; DEMOCRATIE ; ENQUETE ; SOCIOLOGIE ; POLITIQUE D'ENTREPRISE ; ORGANISATION D'ENTREPRISE
Organisme Cité
CGTRésumé : Le syndicalisme ouvrier en France appartient-il au passé ? Incapable d’enrayer le déclin que connaît l’industrie depuis quarante ans, il est également confronté à une crise sur le sens de son action militante. Pourtant, loin des échecs des grandes mobilisations nationales, des syndicalistes mènent des luttes sur leurs lieux de travail, dont on ne mesure pas toujours ni l’inventivité ni les effets. Hélio-Corbeil, imprimerie située à Corbeil-Essonnes, en est une illustration : en février 2012, emmenés par la CGT, les salariés parviennent à reprendre leur entreprise sous forme de Société Coopérative et Participative (Scop). 80 emplois sont sauvés et l’activité est alors relancée. À partir d’une enquête au long cours, mêlant immersion et travail d’archives, cet ouvrage revient sur l’origine de cette lutte et la mise en place de la coopérative. Il propose une vision différente du syndicalisme, où la gestion constitue une arme de résistance salariale, hier comme aujourd’hui, et s’interroge sur ses conditions d’appropriation. Face à la financiarisation de l’économie, le salut du monde ouvrier passera-t-il par la conquête du pouvoir dans l’entreprise ? (4ème de couv.) Document Céreq : Non Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=63123 Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1022581 O-133-18 Ouvrage CEREQ Bibliothèque Sorti jusqu'au 29/12/2020 Quelle démocratie possible après les restructurations ? / Maxime Quijoux in Revue des conditions de travail (La), n° 7 (décembre 2017)
![]()
[article]
Titre : Quelle démocratie possible après les restructurations ? : L’exemple d’une imprimerie reprise par les salariés en Société Coopérative et Participative (SCOP) Type de document : document électronique Auteurs : Maxime Quijoux Année de publication : 2017 Article en page(s) : pp. 83-90 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
COOPERATIVE DE PRODUCTION ; ENQUETE ; ETHNOLOGIE ; REPRISE D'ENTREPRISE ; DEMOCRATIE ; ETUDE DE CAS ; IMPRIMERIE-PRESSE-EDITION ; SOCIALISATION PROFESSIONNELLE ; CHANGEMENT ORGANISATIONNEL ; FRANCERésumé : Dans le contexte actuel de restructurations de l’économie française, les Sociétés Coopératives et Participatives suscitent un intérêt croissant parmi de nombreux analystes, gestionnaires en tête. Caractérisé par des dimensions égalitaires et démocratiques, ce modèle d’entreprise est souvent présenté comme une alternative crédible. En dépit de certaines limites, les SCOP tirent leur résilience et leur performance des dimensions sociales de leur organisation coopérative. L’examen de situations concrètes renseigne pourtant rarement sur les usages de ces dispositifs participatifs ainsi que sur les propriétés sociales des salariés qui les font vivre. Cet article vise à combler ce vide : à partir d’une enquête ethnographique menée dans une imprimerie reprise par ses 80 salariés en région parisienne. Il entend rendre compte des dynamiques sous-jacentes des phénomènes participatifs au travail : loin d’une définition standardisée, la gouvernance coopérative est le produit à la fois de socialisations antérieures et de positions socialement différenciées dans l’entreprise. Elle est donc moins l’objet d’un consensus que d’une lutte. Celle-ci est néanmoins régulée, notamment par la composition ouvrière de la nouvelle direction. (Anact) Document Céreq : Non En ligne : https://www.anact.fr/node/11976 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=63270
in Revue des conditions de travail (La) > n° 7 (décembre 2017) . - pp. 83-90[article] Quelle démocratie possible après les restructurations ? : L’exemple d’une imprimerie reprise par les salariés en Société Coopérative et Participative (SCOP) [document électronique] / Maxime Quijoux . - 2017 . - pp. 83-90.
Langues : Français (fre)
in Revue des conditions de travail (La) > n° 7 (décembre 2017) . - pp. 83-90
Catégories : Thésaurus CEREQ
COOPERATIVE DE PRODUCTION ; ENQUETE ; ETHNOLOGIE ; REPRISE D'ENTREPRISE ; DEMOCRATIE ; ETUDE DE CAS ; IMPRIMERIE-PRESSE-EDITION ; SOCIALISATION PROFESSIONNELLE ; CHANGEMENT ORGANISATIONNEL ; FRANCERésumé : Dans le contexte actuel de restructurations de l’économie française, les Sociétés Coopératives et Participatives suscitent un intérêt croissant parmi de nombreux analystes, gestionnaires en tête. Caractérisé par des dimensions égalitaires et démocratiques, ce modèle d’entreprise est souvent présenté comme une alternative crédible. En dépit de certaines limites, les SCOP tirent leur résilience et leur performance des dimensions sociales de leur organisation coopérative. L’examen de situations concrètes renseigne pourtant rarement sur les usages de ces dispositifs participatifs ainsi que sur les propriétés sociales des salariés qui les font vivre. Cet article vise à combler ce vide : à partir d’une enquête ethnographique menée dans une imprimerie reprise par ses 80 salariés en région parisienne. Il entend rendre compte des dynamiques sous-jacentes des phénomènes participatifs au travail : loin d’une définition standardisée, la gouvernance coopérative est le produit à la fois de socialisations antérieures et de positions socialement différenciées dans l’entreprise. Elle est donc moins l’objet d’un consensus que d’une lutte. Celle-ci est néanmoins régulée, notamment par la composition ouvrière de la nouvelle direction. (Anact) Document Céreq : Non En ligne : https://www.anact.fr/node/11976 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=63270 PermalinkLes conflits du travail : enjeux scientifiques d’un phénomène global / Maxime Quijoux in Critique internationale, n° 64 (2014/3)
![]()
Permalink