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Dépouillements


Le service public au Conseil d’État : comment un grand corps se professionnalise en captant une idée (1872-1940) / Charles Bosvieux-Onyekwelu in Sociologie du travail, vol. 60, n° 4 (octobre-décembre 2018)
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[article]
Titre : Le service public au Conseil d’État : comment un grand corps se professionnalise en captant une idée (1872-1940) Type de document : document électronique Auteurs : Charles Bosvieux-Onyekwelu Année de publication : 2018 Article en page(s) : mis en ligne le 29 novembre 2018 Langues : Français (fre) Catégories : Organisme Cité
CONSEIL D'ETAT
Thésaurus CEREQ
INSTITUTION ; SERVICE PUBLIC ; FONCTION PUBLIQUE D'ETAT ; SOCIOLOGIE DU TRAVAIL ; HAUT FONCTIONNAIRE ; PROFESSION ; DROIT ; JUSTICE ; CONDITION DE TRAVAIL ; CHEMINEMENT PROFESSIONNEL ; PROFESSIONNALISATION ; ETUDE HISTORIQUE ; FRANCERésumé : En France, à partir des années 1870 et tout au long de la IIIe République, l’usage de la notion de service public devient de plus en plus fréquent, sous l’impulsion, en particulier, du Conseil d’État et du développement du droit administratif. Conjointement avec certains professeurs de droit, les membres du Conseil voient alors dans cette notion un possible paradigme pour leur discipline en même temps qu’un moyen, face à la concurrence des civilistes, d’organiser leur « juridiction » (au sens propre comme au sens de l’écologie des professions d’Andrew Abbott). La référence au service public permet, en outre, de républicaniser, tout en le professionnalisant, un corps qui, dans un contexte de démocratisation, a besoin de se relégitimer. À partir d’une enquête prosopographique et d’une exploitation des archives de l’institution, l’article décrit le travail de ces juristes d’État pour reconfigurer le champ du droit et faire reconnaître le périmètre de leur segment professionnel. Il montre que la jurisprudence sur les services publics ressortit bien davantage à une culture administrative qu’à une idéologie politique. (Source : revue) Document Céreq : Non En ligne : https://journals.openedition.org/sdt/8069 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=63801
in Sociologie du travail > vol. 60, n° 4 (octobre-décembre 2018) . - mis en ligne le 29 novembre 2018[article] Le service public au Conseil d’État : comment un grand corps se professionnalise en captant une idée (1872-1940) [document électronique] / Charles Bosvieux-Onyekwelu . - 2018 . - mis en ligne le 29 novembre 2018.
Langues : Français (fre)
in Sociologie du travail > vol. 60, n° 4 (octobre-décembre 2018) . - mis en ligne le 29 novembre 2018
Catégories : Organisme Cité
CONSEIL D'ETAT
Thésaurus CEREQ
INSTITUTION ; SERVICE PUBLIC ; FONCTION PUBLIQUE D'ETAT ; SOCIOLOGIE DU TRAVAIL ; HAUT FONCTIONNAIRE ; PROFESSION ; DROIT ; JUSTICE ; CONDITION DE TRAVAIL ; CHEMINEMENT PROFESSIONNEL ; PROFESSIONNALISATION ; ETUDE HISTORIQUE ; FRANCERésumé : En France, à partir des années 1870 et tout au long de la IIIe République, l’usage de la notion de service public devient de plus en plus fréquent, sous l’impulsion, en particulier, du Conseil d’État et du développement du droit administratif. Conjointement avec certains professeurs de droit, les membres du Conseil voient alors dans cette notion un possible paradigme pour leur discipline en même temps qu’un moyen, face à la concurrence des civilistes, d’organiser leur « juridiction » (au sens propre comme au sens de l’écologie des professions d’Andrew Abbott). La référence au service public permet, en outre, de républicaniser, tout en le professionnalisant, un corps qui, dans un contexte de démocratisation, a besoin de se relégitimer. À partir d’une enquête prosopographique et d’une exploitation des archives de l’institution, l’article décrit le travail de ces juristes d’État pour reconfigurer le champ du droit et faire reconnaître le périmètre de leur segment professionnel. Il montre que la jurisprudence sur les services publics ressortit bien davantage à une culture administrative qu’à une idéologie politique. (Source : revue) Document Céreq : Non En ligne : https://journals.openedition.org/sdt/8069 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=63801 L’ambivalence du « métier ». Métier de l’organisation contre métier de l’ingénieur dans une entreprise aéronautique / Hadrien Coutant in Sociologie du travail, vol. 60, n° 4 (octobre-décembre 2018)
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[article]
Titre : L’ambivalence du « métier ». Métier de l’organisation contre métier de l’ingénieur dans une entreprise aéronautique Type de document : document électronique Auteurs : Hadrien Coutant Année de publication : 2018 Article en page(s) : mis en ligne le 29 novembre 2018 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
INDUSTRIE AERONAUTIQUE ; RECHERCHE-DEVELOPPEMENT ; INGENIEUR ; RESTRUCTURATION D'ENTREPRISE ; ORGANISATION D'ENTREPRISE ; ORGANISATION DU TRAVAIL ; PROJET ; AUTONOMIE PROFESSIONNELLE ; REPRESENTATION DU TRAVAIL ; PSYCHOSOCIOLOGIE DU TRAVAIL ; POLITIQUE D'ENTREPRISE ; FRANCE
Organisme Cité
AvionixRésumé : On s’intéresse, dans cet article, à la mise en Å“uvre de la régulation du travail par le métier dans un groupe aéronautique. Geste rationalisateur de la direction visant à réguler l’activité de conception, la construction du métier n’est pas considérée par une majorité d’ingénieurs de développement comme un moyen d’accroître leur autonomie, mais plutôt comme une innovation organisationnelle porteuse de contraintes accrues dans leur travail. Cette ambition managériale donne à voir, par les résistances de l’organisation et des acteurs qu’elle suscite, les ressorts du fonctionnement organisationnel autant que les représentations des ingénieurs et leur rapport à leur travail. L’article montre en quoi la construction du métier dans cette entreprise est une rationalisation du travail de conception qui entre en tension avec l’organisation par projets. Ce travail de rationalisation suscite peu d’engagement de la part des ingénieurs eux-mêmes qui voient le métier — au sens de structure organisationnelle — comme une remise en cause de leur métier — au sens individuel de maîtrise de gestes et d’objets techniques. L’analyse des différentes stratégies qu’ils mettent en Å“uvre permet de mettre au jour la tension entre la façon dont les ingénieurs de développement conçoivent leur métier et la façon dont l’organisation cherche à réguler le métier. L’autonomie des ingénieurs tient dans leur maîtrise de systèmes techniques plus que dans la maîtrise de spécialités précises. (Source : revue) Document Céreq : Non En ligne : https://journals.openedition.org/sdt/8118 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=63802
in Sociologie du travail > vol. 60, n° 4 (octobre-décembre 2018) . - mis en ligne le 29 novembre 2018[article] L’ambivalence du « métier ». Métier de l’organisation contre métier de l’ingénieur dans une entreprise aéronautique [document électronique] / Hadrien Coutant . - 2018 . - mis en ligne le 29 novembre 2018.
Langues : Français (fre)
in Sociologie du travail > vol. 60, n° 4 (octobre-décembre 2018) . - mis en ligne le 29 novembre 2018
Catégories : Thésaurus CEREQ
INDUSTRIE AERONAUTIQUE ; RECHERCHE-DEVELOPPEMENT ; INGENIEUR ; RESTRUCTURATION D'ENTREPRISE ; ORGANISATION D'ENTREPRISE ; ORGANISATION DU TRAVAIL ; PROJET ; AUTONOMIE PROFESSIONNELLE ; REPRESENTATION DU TRAVAIL ; PSYCHOSOCIOLOGIE DU TRAVAIL ; POLITIQUE D'ENTREPRISE ; FRANCE
Organisme Cité
AvionixRésumé : On s’intéresse, dans cet article, à la mise en Å“uvre de la régulation du travail par le métier dans un groupe aéronautique. Geste rationalisateur de la direction visant à réguler l’activité de conception, la construction du métier n’est pas considérée par une majorité d’ingénieurs de développement comme un moyen d’accroître leur autonomie, mais plutôt comme une innovation organisationnelle porteuse de contraintes accrues dans leur travail. Cette ambition managériale donne à voir, par les résistances de l’organisation et des acteurs qu’elle suscite, les ressorts du fonctionnement organisationnel autant que les représentations des ingénieurs et leur rapport à leur travail. L’article montre en quoi la construction du métier dans cette entreprise est une rationalisation du travail de conception qui entre en tension avec l’organisation par projets. Ce travail de rationalisation suscite peu d’engagement de la part des ingénieurs eux-mêmes qui voient le métier — au sens de structure organisationnelle — comme une remise en cause de leur métier — au sens individuel de maîtrise de gestes et d’objets techniques. L’analyse des différentes stratégies qu’ils mettent en Å“uvre permet de mettre au jour la tension entre la façon dont les ingénieurs de développement conçoivent leur métier et la façon dont l’organisation cherche à réguler le métier. L’autonomie des ingénieurs tient dans leur maîtrise de systèmes techniques plus que dans la maîtrise de spécialités précises. (Source : revue) Document Céreq : Non En ligne : https://journals.openedition.org/sdt/8118 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=63802 Écouter le personnel. Évaluer un dispositif d’évaluation / Marlène Benquet in Sociologie du travail, vol. 60, n° 4 (octobre-décembre 2018)
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Titre : Écouter le personnel. Évaluer un dispositif d’évaluation Type de document : document électronique Auteurs : Marlène Benquet Année de publication : 2018 Article en page(s) : mis en ligne le 29 novembre 2018 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
GRANDE DISTRIBUTION ; CONDITION DE TRAVAIL ; EXPRESSION DES SALARIES ; REPRESENTATION DU TRAVAIL ; PRATIQUE DE GRH ; RELATIONS PROFESSIONNELLES ; SANTE AU TRAVAIL ; ENQUETE ; SOCIOLOGIE DES ORGANISATIONS ; EVALUATION ; ENCADREMENT ; EVALUATION DU PERSONNEL ; FRANCERésumé : Cet article a pour objectif de résoudre l’énigme du déploiement à partir de 1990, puis de l’abandon en 2012, d’un dispositif d’évaluation de l’état d’esprit des salariés dans un groupe français de grande distribution. Il est fondé sur une enquête ethnographique menée au sein du département des ressources humaines du groupe et auprès de l’une des animatrices locales du dispositif, ainsi que sur des entretiens réalisés avec des cadres dirigeants et des salariés. Il traite de la diversité des usages de ce dispositif, appelé « les écoutes du personnel ». Il montre qu’un outil d’évaluation peut être simultanément utilisé à des fins diverses par un même groupe d’usagers. Si certaines d’entre elles font l’objet d’un large affichage, y compris à destination de publics extérieurs à l’organisation, d’autres sont poursuivies plus discrètement et n’apparaissent qu’à la faveur de l’observation directe des différentes utilisations l’outil. L’article montre en outre que ses appropriations par différents groupes d’usagers produisent des effets globaux qui peuvent n’être voulus par personne tout en étant le résultat des fins visées par chacun. Ce faisant, nous plaidons pour une approche microsociologique des dispositifs d’évaluation centrée sur la description de leurs usages en proposant, pour la conduire, de mobiliser la notion de référence d’évaluation. (Source : revue) Document Céreq : Non En ligne : https://journals.openedition.org/sdt/8190 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=63803
in Sociologie du travail > vol. 60, n° 4 (octobre-décembre 2018) . - mis en ligne le 29 novembre 2018[article] Écouter le personnel. Évaluer un dispositif d’évaluation [document électronique] / Marlène Benquet . - 2018 . - mis en ligne le 29 novembre 2018.
Langues : Français (fre)
in Sociologie du travail > vol. 60, n° 4 (octobre-décembre 2018) . - mis en ligne le 29 novembre 2018
Catégories : Thésaurus CEREQ
GRANDE DISTRIBUTION ; CONDITION DE TRAVAIL ; EXPRESSION DES SALARIES ; REPRESENTATION DU TRAVAIL ; PRATIQUE DE GRH ; RELATIONS PROFESSIONNELLES ; SANTE AU TRAVAIL ; ENQUETE ; SOCIOLOGIE DES ORGANISATIONS ; EVALUATION ; ENCADREMENT ; EVALUATION DU PERSONNEL ; FRANCERésumé : Cet article a pour objectif de résoudre l’énigme du déploiement à partir de 1990, puis de l’abandon en 2012, d’un dispositif d’évaluation de l’état d’esprit des salariés dans un groupe français de grande distribution. Il est fondé sur une enquête ethnographique menée au sein du département des ressources humaines du groupe et auprès de l’une des animatrices locales du dispositif, ainsi que sur des entretiens réalisés avec des cadres dirigeants et des salariés. Il traite de la diversité des usages de ce dispositif, appelé « les écoutes du personnel ». Il montre qu’un outil d’évaluation peut être simultanément utilisé à des fins diverses par un même groupe d’usagers. Si certaines d’entre elles font l’objet d’un large affichage, y compris à destination de publics extérieurs à l’organisation, d’autres sont poursuivies plus discrètement et n’apparaissent qu’à la faveur de l’observation directe des différentes utilisations l’outil. L’article montre en outre que ses appropriations par différents groupes d’usagers produisent des effets globaux qui peuvent n’être voulus par personne tout en étant le résultat des fins visées par chacun. Ce faisant, nous plaidons pour une approche microsociologique des dispositifs d’évaluation centrée sur la description de leurs usages en proposant, pour la conduire, de mobiliser la notion de référence d’évaluation. (Source : revue) Document Céreq : Non En ligne : https://journals.openedition.org/sdt/8190 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=63803 Sauver son entreprise en créant une société coopérative / Maxime Quijoux in Sociologie du travail, vol. 60, n° 4 (octobre-décembre 2018)
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[article]
Titre : Sauver son entreprise en créant une société coopérative : Engagement syndical et participation ouvrière Type de document : document électronique Auteurs : Maxime Quijoux Année de publication : 2018 Article en page(s) : mis en ligne le 29 novembre 2018 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
IMPRIMERIE-PRESSE-EDITION ; ENTREPRISE EN DIFFICULTE ; RESTRUCTURATION D'ENTREPRISE ; REPRISE D'ENTREPRISE ; COOPERATIVE DE PRODUCTION ; ORGANISATION SYNDICALE ; SYNDICALISME SALARIE ; REPRESENTANT DU PERSONNEL ; EXPRESSION DES SALARIES ; OUVRIER ; CLASSE OUVRIERE ; POLITIQUE D'ENTREPRISE ; ETUDE DE CAS ; FRANCE ; ILE DE FRANCE
Organisme Cité
IMPRIMERIE MAG-HELIORésumé : L’industrie en France est confrontée à un déclin ancien, que la crise des subprimes en 2008 n’a fait qu’aggraver. Face à la liquidation des entreprises et aux suppressions d’emplois, les syndicats ont longtemps privilégié la voie de l’accompagnement dans la fermeture des établissements, y compris lors de conflits importants. Pourtant, depuis le milieu des années 2000, on observe l’émergence d’une « nouvelle » forme de mobilisation consistant à s’opposer à l’arrêt de l’activité, en proposant le rachat de l’entreprise par ses salariés sous forme de Sociétés coopératives et participatives (SCOP). À partir du cas d’une imprimerie reprise à l’initiative de délégués syndicaux dans une ville d’Île-de-France, cet article vise à saisir les logiques de participation qui s’y déploient. Montées dans l’urgence, ces coopératives se caractérisent moins par des pratiques formalisées que par un ensemble de manières et d’interactions tributaires à la fois de l’histoire syndicale et des positions dans l’entreprise. La participation ouvrière se révèle alors comme un enjeu de luttes sur son acception. La question du pouvoir dans l’entreprise renvoie peu aux enjeux de politiques d’entreprise (organisation, stratégies) mais se cristallise essentiellement autour des dimensions matérialistes du travail (répartition des bénéfices). (Source : revue) Document Céreq : Non En ligne : https://journals.openedition.org/sdt/8224 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=63804
in Sociologie du travail > vol. 60, n° 4 (octobre-décembre 2018) . - mis en ligne le 29 novembre 2018[article] Sauver son entreprise en créant une société coopérative : Engagement syndical et participation ouvrière [document électronique] / Maxime Quijoux . - 2018 . - mis en ligne le 29 novembre 2018.
Langues : Français (fre)
in Sociologie du travail > vol. 60, n° 4 (octobre-décembre 2018) . - mis en ligne le 29 novembre 2018
Catégories : Thésaurus CEREQ
IMPRIMERIE-PRESSE-EDITION ; ENTREPRISE EN DIFFICULTE ; RESTRUCTURATION D'ENTREPRISE ; REPRISE D'ENTREPRISE ; COOPERATIVE DE PRODUCTION ; ORGANISATION SYNDICALE ; SYNDICALISME SALARIE ; REPRESENTANT DU PERSONNEL ; EXPRESSION DES SALARIES ; OUVRIER ; CLASSE OUVRIERE ; POLITIQUE D'ENTREPRISE ; ETUDE DE CAS ; FRANCE ; ILE DE FRANCE
Organisme Cité
IMPRIMERIE MAG-HELIORésumé : L’industrie en France est confrontée à un déclin ancien, que la crise des subprimes en 2008 n’a fait qu’aggraver. Face à la liquidation des entreprises et aux suppressions d’emplois, les syndicats ont longtemps privilégié la voie de l’accompagnement dans la fermeture des établissements, y compris lors de conflits importants. Pourtant, depuis le milieu des années 2000, on observe l’émergence d’une « nouvelle » forme de mobilisation consistant à s’opposer à l’arrêt de l’activité, en proposant le rachat de l’entreprise par ses salariés sous forme de Sociétés coopératives et participatives (SCOP). À partir du cas d’une imprimerie reprise à l’initiative de délégués syndicaux dans une ville d’Île-de-France, cet article vise à saisir les logiques de participation qui s’y déploient. Montées dans l’urgence, ces coopératives se caractérisent moins par des pratiques formalisées que par un ensemble de manières et d’interactions tributaires à la fois de l’histoire syndicale et des positions dans l’entreprise. La participation ouvrière se révèle alors comme un enjeu de luttes sur son acception. La question du pouvoir dans l’entreprise renvoie peu aux enjeux de politiques d’entreprise (organisation, stratégies) mais se cristallise essentiellement autour des dimensions matérialistes du travail (répartition des bénéfices). (Source : revue) Document Céreq : Non En ligne : https://journals.openedition.org/sdt/8224 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=63804 Michel Anteby, L’École des patrons. Silence et morales d’entreprise à la Business School de Harvard / Marianne Blanchard in Sociologie du travail, vol. 60, n° 4 (octobre-décembre 2018)
[article]
Titre : Michel Anteby, L’École des patrons. Silence et morales d’entreprise à la Business School de Harvard Type de document : document électronique Auteurs : Marianne Blanchard Année de publication : 2018 Article en page(s) : mis en ligne le 29 novembre 2018 Langues : Français (fre) Catégories : Affiliation Céreq
Céreq - Centre associé de Toulouse
Thésaurus CEREQ
NOTE DE LECTURE ; CHEF D'ENTREPRISE ; SYNDICALISME PATRONAL ; SOCIALISATION ; ENSEIGNANT ; ETATS UNISDocument Céreq : Non Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=64351
in Sociologie du travail > vol. 60, n° 4 (octobre-décembre 2018) . - mis en ligne le 29 novembre 2018[article] Michel Anteby, L’École des patrons. Silence et morales d’entreprise à la Business School de Harvard [document électronique] / Marianne Blanchard . - 2018 . - mis en ligne le 29 novembre 2018.
Langues : Français (fre)
in Sociologie du travail > vol. 60, n° 4 (octobre-décembre 2018) . - mis en ligne le 29 novembre 2018
Catégories : Affiliation Céreq
Céreq - Centre associé de Toulouse
Thésaurus CEREQ
NOTE DE LECTURE ; CHEF D'ENTREPRISE ; SYNDICALISME PATRONAL ; SOCIALISATION ; ENSEIGNANT ; ETATS UNISDocument Céreq : Non Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=64351