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Titre : | Entreprises, RSE et au-delà . À propos d’une enquête sur l’entreprise post-RSE (2019) |
Auteurs : | Marthe La Taille-Rivero |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Futuribles (n° 431, juillet-août 2019) |
Article en page(s) : | pp. 89-96 |
Langues: | Français |
Catégories : |
Thésaurus CEREQ RESPONSABILITE SOCIALE D'ENTREPRISE ; ENTREPRISE ; CONDUITE DU CHANGEMENT ; PARTICIPATION AUX BENEFICES ; FRANCE ; CHANGEMENT SOCIAL ; DEVELOPPEMENT DURABLE |
Résumé : | Voici plus de 40 ans que la responsabilité sociale des entreprises (RSE) a émergé en tant que concept précis appelé à se diffuser dans le monde économique. C’est en effet en 1976 que l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a adopté une liste de principes directeurs visant à en être le cadre de référence. Depuis, la RSE s’est progressivement institutionnalisée en Europe (livre vert de la Commission européenne en 2001, directive de 2014 imposant aux entreprises de publier leur bilan RSE…) et les entreprises semblent globalement jouer le jeu. Poursuivant la série sur le rôle des entreprises dans la fabrique du bien commun (ouverte dans le numéro 426, puis prolongée dans les numéros 427 et 429 de la revue Futuribles), Marthe de La Taille-Rivero montre ici, au travers d’un rapport publié fin 2018 par l’Institut de l’entreprise sur l’entreprise post-RSE, comment les entreprises, en particulier en France, ont intégré cette exigence de RSE. Le document souligne aussi comment, au regard des nouveaux défis sociaux, environnementaux…, elles pourraient aller au-delà de la RSE classique et « placer l’actionnariat au cœur du réacteur » visant à favoriser le bien commun. L’étape suivante pourrait, selon ce rapport, consister à allier le profit de l’actionnaire et l’intérêt général, l’entreprise se trouvant au centre de l’équation. (Futuribles) |
Document Céreq : | Non |
En ligne : | https://doi.org/10.3917/futur.431.0089 |