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| Titre : | Vers un allongement de la vie professionnelle. (1992) |
| Auteurs : | Geneviève Reday-Mulvey |
| Type de document : | Article : texte imprimé |
| Dans : | Futuribles (n° 170, novembre 1992) |
| Article en page(s) : | pp. 39-65 |
| Langues: | Français |
| Catégories : |
Thésaurus CEREQ ARDTT ; TEMPS DE TRAVAIL ; RETRAITE ; FLEXIBILITE DU MARCHE DU TRAVAIL ; POLITIQUE DE L'EMPLOI ; FRANCE |
| Résumé : | G. Reday-Mulvey plaide ici en faveur d'un allongement de la durée de l'activité professionnelle qui tendrait à devenir la période la plus courte de la vie entre des études longues et une retraite de plus en plus précoce. Elle étudie les différents systèmes de retraite partielle ou progressive qui s'inscrivent comme des éléments d'une flexibilité bien conduite de l'emploi. A cet égard, la France fait cavalier seul depuis une quinzaine d'années en pratiquant une politique très active des pré-retraites. Pour les entreprises, il s'agit souvent d'une façon élégante de se "débarrasser" de certains salariés sur le critère de l'âge et non des compétences. Cette pratique coûteuse pour les finances publiques est le plus souvent mal acceptée par les principaux intéressés. Mais la tendance s'infléchit. D'une part la formation continue pendant la durée de la vie professionnelle y contribue ; d'autre part, les perspectives futures de pénurie de travailleurs qualifiés incitent les DRH à obtenir de leurs employés en fin de carrière autant de compétence, de motivation et de mobilité que dans leur passé professionnel. |
