Accueil
Titre : | L’entreprise et la fabrique du bien commun (2018) |
Auteurs : | Marthe La Taille-Rivero |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Futuribles (n° 426, septembre-octobre 2018) |
Article en page(s) : | pp. 27-40 |
Langues: | Français |
Catégories : |
Thésaurus CEREQ ENTREPRISE ; ETHIQUE ; RESPONSABILITE SOCIALE D'ENTREPRISE ; FRANCE ; CULTURE D'ENTREPRISE ; MECENAT D'ENTREPRISE |
Résumé : | Il incombe donc tout naturellement à Marthe de La Taille-Rivero d’introduire cette série par un premier article relatant comment a germé en France, principalement après la Seconde Guerre mondiale, sous l’impulsion de quelques grands patrons et souvent sous l’influence des pays anglo-saxons, un certain souci du bien commun ; puis montrant l’accélération essentielle qui a été donnée à ce mouvement, à partir des années 1980, par Jacques Rigaud, président de l’Admical (l’Association pour le développement du mécénat industriel et commercial). Elle souligne aussi que si le soutien des entreprises a d’abord été ciblé sur des activités culturelles, leur champ d’intervention s’est ensuite considérablement diversifié pour s’étendre aux questions sociales, puis aux problèmes d’environnement et de développement durable, ainsi qu’aux enjeux de développement local. Son article indique également que leurs modes d’intervention ont eux-mêmes beaucoup évolué. Politique de responsabilité sociale et environnementale (RSE), politique de développement durable, mécénat, philanthropie… : tout cela ne participe-t-il que d’une politique de communication et d’image ou bien correspond-il à une profonde redistribution des rôles imposée, à une hybridation des fonctions porteuse d’un avenir différent du passé ? (Futuribles) |
Document Céreq : | Non |
En ligne : | https://doi.org/10.3917/futur.426.0027 |