Accueil
| Titre : | Le niveau de diplôme dans les secteurs d'activité (1991) |
| Auteurs : | Monique Bonneau |
| Type de document : | Article : texte imprimé |
| Dans : | Formation emploi (n° 33, janvier-mars 1991) |
| Article en page(s) : | pp. 54-63 |
| Langues: | Français |
| Catégories : |
Thésaurus CEREQ NIVEAU DE FORMATION ; SECTEUR ECONOMIQUE ; STRUCTURE D'EMPLOI ; NON DIPLOME ; STATISTIQUE DE L'EDUCATION ; FRANCE |
| Résumé : |
La diminution régulière du nombre de non-diplômés caractérise l'évolution de la population active. En 1975, la moitié des actifs occupés étaient non diplômés ; en 1989, ils sont un peu plus d'un tiers. Avec le développement du chômage, l'écart se creuse entre les "sans-emplois" et les actifs occupés, la sélection éliminant plus souvent les non-diplômés.
La diffusion des diplômés n'est pas uniforme dans les secteurs d'activité. On peut distinguer trois groupes dans l'industrie : les secteurs à faible formation initiale (agriculture, industries agro-alimentaires et biens de consommation), les secteurs à formation professionnelle (biens intermédiaires et construction de véhicules) et les secteurs à formation technique ou supérieure (biens d'équipement et énergie). Les services concentrent l'essentiel des créations d'emplois et absorbent la grande majorité des titulaires d'un diplôme supérieur au baccalauréat. Les transports, la réparation automobile, le commerce et les hôtels-cafés-restaurants peuvent être qualifiés de secteurs à "formation professionnelle" tandis que les télécommunications et l'administration sont de secteurs à "formation technique ou générale". Il est intéressant de constater que les positions sectorielles restent identiques entre 1983 et 1989. |
| Document Céreq : | Oui |
Documents numériques (1)
 FEM335.pdf Adobe Acrobat PDF |
