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Titre : | Du service public au service d'intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral. (2009) |
Auteurs : | David Flacher ; Hugues Jennequin |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | ProblÚmes économiques (n° 2967, mars 2009) |
Article en page(s) : | pp. 17-21 |
Note générale : | COMMENTAIRE : Cet article est initialement paru dans Regards croisés sur l'économie, septembre 2007, n° 2. |
Langues: | Français |
Catégories : |
Thésaurus CEREQ POLITIQUE PUBLIQUE ; PRIVATISATION ; SERVICE PUBLIC ; REFORME ; FRANCE |
RĂ©sumĂ© : | Dans la tradition française, le service public, dĂ©fini par LĂ©on Duguit (1859-1928) - principal reprĂ©sentant de ce qu'on a appelĂ© par la suite l'" Ecole de Bordeaux " -, se caractĂ©rise par des principes-attributs (Ă©galitĂ© de traitement des usagers, continuitĂ© du service, adaptabilitĂ© du service Ă l'Ă©volution des besoins et des techniques) ainsi que par la nature publique du fournisseur. L'apparition, en 2004, au niveau europĂ©en, de la notion de service (Ă©conomique) d'intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral (SEIG), que prĂ©figure en 1987 celle de " service universel ", a permis aux fournisseurs privĂ©s de produire des services jusque-lĂ rĂ©servĂ©s aux monopoles publics. Le processus de privatisation des services publics Ă©tait dĂšs lors en marche. Si la libĂ©ralisation devrait en thĂ©orie permettre de stimuler l'innovation et de dĂ©velopper l'offre, rien ne garantit, rappelle l'auteur, que les effets escomptĂ©s de la concurrence, notamment sur les prix, seront Ă la hauteur des attentes. (Source : DF) |
Note de contenu : | Le service public de demain. |